Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
L' Atelier des photographes du XIX siecle
7 janvier 2012

Calais - Vue du Port

  •  Le Port :

Le nouveau port de Calais est l' un des plus beaux et des mieux aménagés de la France entière; Dès 1874 on avait reconnu l' insuffisance des anciens bassins et projeté tout un ensemble de travaux qui étaient commencés quand la disparition de la vieille enceinte fortifiée permit de leur donner une nouvelle extension; L' inauguration officielle en fut faite par le Président CARNOT le 3 juin 1889 et les travaux furent complètement terminés pour la partir Est en 1896. Depuis on a amélioré beaucoup la partie Ouest qui maintenant est en voie d' achevement (années 1930)  

Le COURGAIN demeure une des curiosités de Calais. Longtemps resserré dans les murailles de son bastion triangulaire, il avait été elargi sous le Second Empire; Aujourd' hui, il abrite encore toute la population des pêcheurs et est très differents de la vieille cité calaisienne et de la jeune cité industrielle. La peche n' a plus à Calais la même importance que jadis. Aux siècles passés et naguère encore, c' était l' une des richesses de la ville. Le Hareng surtout y était l' objet de transactions actives mais tandis que Gravelines et Dunkerque arment pour la pêche à la morue dans les mers lointaines, tandis que Boulogne s' enorgueillit à juste titre de sa flotte de grands voiliers et de chalutiers à vapeur; calais conservent à grand peine une centaine de petits bateaux ne s' éloignant guère de leur port d' attache et cinq cents marins environs en constituent les équipages. (Années 1920/30) il faut chercher la cause de cette déchéance ou tout au moins de cette stagnation dans la prospérité de l' industrie du TULLE qui assurent aux hommes et femmes une existence plus facile et une rémunération plus large.

Le "PARADIS" , c' est le nom du port de pêche , c est un petit bassin seul reste de l' ancien port du moyen age; On l' appelait sous la domination Anglaise le "Fisher' s Gap". Il a été amélioré et protégé par une porte contre la houle de l' avant port; Il est toujours interessant d'assister au débarquement des bateaux qui viennent s' ammarrer au quai de la colonne. (Source : Lenné - guide illustré du tourisme)  

img781

 

EPSON029

EPSON030


 
Entre Calais et Douvres - Melies (1897)


 

Publicité
25 mars 2012

Boulogne Sur Mer - Guillot

  • Charles. GUILLOT - Boulogne Sur Mer (23 février 1887 Asnières - 13 juillet 1943 Boulogne-sur-Mer)
  • Début d' Activité : vers 1900 
  • Enseigne : Photographie Parisienne
  • Adresse : 16 Rue du Pot d' Etain
  • Succursale à Wimereux
  • Fusion des Ateliers Guillot et Lormier à partir de 1911 (1 rue du Bras d' Or)
  • Les photographies de la "semaine du poisson" sont certainement l'œuvre de Charles Guillot (23 février 1887 Asnières - 13 juillet 1943 Boulogne-sur-Mer), photographe professionnel qui exerça au 16 de la rue du Pot d'Etain, à Boulogne-sur-Mer, dans la boutique de son père Clément décédé en 1903, puis dans la société Photographies Guillot et Lormier réunies à partir de 1911, transférée après-guerre 1, rue du Bras d'Or, et dirigée par son beau-père, qui l'a initié à la photographie, Paul Schwarzwälder.

La semaine du poisson par Maxime BLAMANGIN (Archives municipales, Boulogne-surMer)

Du 16 au 23 septembre 1923, est organisée à Boulogne-sur-Mer la « Semaine du poisson ». Inaugurée par les ministres Le Troquer et Rio, en présence de Lord Sanders, ministre de l’agriculture et des pêches de Grande-Bretagne, cette manifestation vise à promouvoir la consommation du poisson. En effet depuis quelques années, la pêche boulonnaise est en crise, malgré les efforts des gouvernements pour relancer la consommation du poisson, l’année 1922 est une « année piteuse, une année de misère » 
La semaine du poisson se déroule dans un climat plutôt morose. Sur le quai Gambetta, à proximité de la Chambre de commerce, est érigé un hangar où les invités peuvent découvrir de nombreux stands présentant diverses activités liées à la pêche, un restaurant et une exposition de la Compagnie du Nord. Sur les pelouses du square Coquelin, attenant au hangar, sont présentés des moteurs et des chaluts ; des wagons isothermes sont exposés sur les quais. Pendant les festivités, des personnes portant le costume traditionnel de leurs régions défilent dans les rues de la ville et passent sous les arcs de triomphe construits spécialement pour l’occasion. Une parade nautique a lieu dans le port avec des canotes pavoisées. Le point d’orgue de la manifestation est la visite de Raymond Poincaré, alors président du Conseil, et de sa femme.
Les Archives municipales de Boulogne-sur-Mer possèdent dans leur fonds de nombreuses photographies de cet événement qui marquera la fin de la crise et le début de la reprise, grâce à une bonne campagne de harengs. 

img947 img939

img071 img067

 EPSON009  EPSON025jjj  

EPSON026jj EPSON008

Epson_10082019155633 Epson_10082019155520 

Epson_07052022075608

Epson_07052022075013 

13 novembre 2011

Valenciennes - Bernard et Nugues

  • Jules Louis BERNARD et A. NUGUES - Valenciennes
  • Début Activité : 1866
  • Adresse : 3 Place D' Armes

Architecte départemental, Jules Louis Bernard (1837-1896), fils du professeur d' Architecture aux académies de Valenciennes Jean Baptiste Bernard et élève d' Henri Aubert Parent à Paris, s' installa à Valenciennes ou il s' adonna à la photographie, reproduisant nombre de monuments et édifices Valenciennois, les fetes des Incas et autres cérémonies , les anciennes maisons et le cimetière. (Capitaine de la compagnie des Cannoniers de la ville) 

img761 img755

img744 img736

 

EPSON027  EPSON025


25 mars 2012

Boulogne Sur Mer - Patté

  • Auguste Louis Alexandre PATTE - Boulogne Sur Mer
  • Date début d'activité : 1873
  • Adresse : 79 Rue de l' Ecu / 32 et 79 Rue Victor Hugo (1877 à 1888)
  • Successeur de Chamoin (ex: Berthaud)
  • Present à Senlis (Oise) 21 Rue de Villevert (Spécialité de reproduction et agrandissement de Pastels et Fusains) 

Médailles à Paris en 1878 (mention honorable) et 1880, à Meulun en 1880 et médaille d'or à Paris en 1882. Propose des vues panoramiques de la région. La rue de l'Ecu est rebaptisée rue Victor Hugo. Louis Alexandre Auguste PATTE naît à Boulogne le 3 mai 1842 (Père opticien). Il épouse Marie Ecarnot, originaire de Burgille dans le Doubs. Inscrit dans l'annuaire-almanach du commerce (Didot-Bottin) de 1885.

Louis Alexandre Auguste Patte est né le 3 mai 1842 à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Son père, qui était opticien, poursuivra sa carrière à Paris où il est domicilié en 1860. Auguste est photographe (employé) quand il se marie à Paris le 31 août 1869. Il est alors domicilié 40, boulevard Bonne Nouvelle, adresse de l’atelier du photographe Paul Jules Renard qui fera faillite deux mois plus tard. C’est sans doute peu après qu’Auguste Patte ouvre un atelier 27, rue de Ponthieu où était domicilié l’un des témoins à son mariage. On ignore combien de temps il a été actif à cette adresse. Patte quitte la capitale et revient dans sa ville natale. A Boulogne-sur-Mer, il a exercé 79, rue de l’Ecu qui sera dénommée ensuite rue Victor-Hugo où il est recensé en 1881. En 1886, il est recensé au 32, rue Victor-Hugo où se trouve son atelier principal avec une succursale au 79. Au dos de ses portraits, il précise qu’il a succédé à Octave Chamoin. Vers 1888, il quitte Boulogne-sur-Mer pour Senlis (Oise) et ouvre un atelier rue de Villevert où il sera actif jusqu’à son décès le 17 octobre 1912.

Une soeur d’Auguste, Eléonore Patte, avait épousé en 1860 l’un de ses cousins, Charles Marie Auguste Patte (1831-1881), qui, après avoir été libraire à Reims, sera photographe à Sainte-Ménehould (Marne) au début des années 1870

img948 img940

img942 img934

EPSON013  EPSON012

Epson_03082023091541

Epson_03082023091805

Epson_14122019182407


 

21 juillet 2012

Boulogne Sur Mer - Lormier

  •  Auguste LORMIER Né le 25 janvier 1867 - Boulogne-sur-Mer 62
  • Début Activité : 1887
  • Adresse : 3 Rue des Pipots puis 32 Rue Thiers (au 1er au fond de la cour)
  • Successeur des Maisons Berthaut/Chamoin/Patte/Decroix
  • Recompense Exposition Universelle de Paris 1889 
  • Fusion des Ateliers Guillot et Lormier à partir de 1911 (1 Rue du Bras d' Or)
  • Album sur Gallica

img044

img038

Epson_31072019194455

img035 

Epson_25082023133044

 Epson_17022022165642

 EPSON007

EPSON006

 EPSON011

EPSON010 

Epson_10032018181005

Epson_10082019155520

Epson_10082019155633 

Epson_04052023200724


 

Publicité
25 mars 2012

Boulogne Sur Mer - Chamoin

  • Octave léopold CHAMOIN
  • Enseigne : Photographie M. Berthaud
  • Date début d'activité : 1872
  • Adresse : 32 Rue de l' Ecu
  • Successeur de Berthaud
  • Vend à Jean Honoré IZOUARD

Octave Léopold Chamoin nait en Seine-et-Marne le 3 avril 1842. Il se marié avec Alice Guérinot et ont fils, Henri, né à Boulogne le 29 novembre 1873 ...

Propose des vues de Boulognes. La rue de l'Ecu est rebaptisée rue Victor Hugo. Il s'installe à Boulogne en 1872 pour gérer le fond de Marcel Berthaud. Il est assisté de Martial Coulombel, jeune ouvrier photographe qui exercera à Boulogne jusqu'en 1885. Médaille de bronze à l'Exposition Universelle de 1878. Hélios cède le fond en 1878 à Octave Chamoin qui exerce en son nom puis il quitte Boulogne en 1881. Membre de la Société Française de Photographie de 1879 à 1885.

 

img946 img938

 

  • IZOUARD Jean Honoré
  • Enseigne : Photographie M. Berthaud
  • Date début d'activité : 1881/1883
  • Adresse : 32 Rue de l' Ecu

Jean Honoré IZOUARD succède à Octave Chamoin (32 rue Victor Hugo) en 1881 à l'age de 33 ans. S'installe à Boulogne aves son épouse Jeanne Dutailly, leurs enfants Charles, Jeanne et Marguerite et un apprenti, Thomas Fernand.

Epson_17012016160103

Epson_17012016160203


 

Epson_24022023191749

Epson_24022023191834

Epson_24022023191254

Epson_24022023191517

Epson_24022023191605

Epson_24022023191700

Epson_24022023191923

Epson_24022023192015

Epson_24022023192102

Epson_03042023144753

Epson_08012024182459

30 juin 2012

Lille - Galeries Lilloises

  • GALERIES LILLOISES
  • Début Activité : 1880
  • Adresse : 45/47/49 Rue Nationale
  • Enseigne : Union Photographique Francaise
  • Maison Mère : 60 Rue du Chateau d' Eau puis Villa Colombier au 20 Rue Boulitte vers 1902 
  • Succursale à Neuilly : 58 Bis Avenue de Neuilly
  • Médaille d' Argent Exposition Universelle Paris 1900

img031 img026


 

27 juillet 2012

Delémont (Suisse - Canton de Berne) - J. Enart

  • Enard François-Joseph
  • Adresse Delémont en 1889 cité dans l'indicateur commercial du Jura bernois, avec l'adresse "avenue de la Gare".

Fils de Joseph et de Suzanne Cartier, né à Delémont le 16 septembre 1843, décédé à Delémont le 17 juin 1907.
Bourgeois d’Estavayer.
1869: Peintre à Delémont, puis à Porrentruy.
1873 peintre-photographe à Porrentruy (Chemin de la Gare - Jardin Stouff)
1876 peintre-photographe à Porrentruy
1877 photographe à Delémont
François-Joseph Enard, né à Delémont le 16 septembre 1843, avait 3 ans à la mort de son père. Il fut élevé avec une sollicitude toute paternelle par le Dr Jean-Baptiste Greppin, le géologue distingué du Jura. Avec les enfants Greppin, le jeune Enard suit les leçons des abbés Koetschet. Arrivé à l’âge de l’adolescence, le Dr Greppin place François-Joseph dans une pharmacie à Paris où il fait la connaissance de Lumière. Celui-ci remarque de suite le jeune homme et lui dit : «Venez avec moi à Besançon, je veux vous apprendre la photographie»
Enard travaille quelque temps à Besançon, se brouille quelque peu avec son protecteur, étudie la peinture et, au départ du Dr Greppin pour Bâle, se fixe définitivement à Delémont comme peintre. Il épouse dans cette ville le 1er juin 1868 Marie-Généreuse Périat qui meurt le 28 mars 1869, après avoir mis au monde sa fille aînée.
Après plusieurs travaux de peinture au château, après avoir été professeur de gymnastique au collège de Delémont en 1864, Enard quitte Delémont et se fixe à Porrentruy au début de juin 1860.
Il travaille avec Lumière, fait la connaissance de C. Théodore Kuhn, professeur à l’école normale, l’inventeur du bleu d’outremer. Puis le 13 août 1869, Lumière cède son atelier de photographie à François-Joseph Enard pour la somme de Frs 600.- et moyennant le mettre au courant de tous les détails de la photographie.
François-Joseph Enard est donc le premier photographe du Jura. Excellent peintre, il adopte comme raison sociale : Joseph Enard, peintre-photographe. Il a une succursale à Delémont, près de la porte au Loup. Finalement, à la demande de ses amis politiques, il s’établit comme peintre-photographe à Delémont en 1877.
Son fils, François-Joseph, dit Jules, marche dans le sillage de son père. Et ses petits-fils, Georges et Maurice Enard, exercent, à leur tour, cette profession à Delémont.
François-Joseph Enard avait été nommé par le Conseil Exécutif du canton de Berne, maître de gymnastique, de natation et des exercices militaires au collège de Delémont, le 2 novembre 1864.

img064

img059


 

27 juillet 2012

Beaucourt - Vuilley

  • Eugène VUILLEY - Beaucourt (Haut Rhin puis dans le Territoire de Belfort 90)
  • VUILLEY Jacques, Eugène, né le 10/07/1857 Longevelle-sur-le-Doubs (25), marié le 20/11/1883 Longevelle-sur-le-Doubs (25) à TISSOT Elise, Décédé le 03/01/1929 Beaucourt (90), photographe, horloger
  • Début Activité : 1880
  • Enseigne : Atelier de Photographie Industrielle et Commerciale
  • Adresse :  
  • Son Frère ALFRED est aussi photographe sur Montbéliard (Doubs 25) - Place de la Gare

img063 img058


 

27 octobre 2012

Arras - Descomps

  • Paul DESCOMPS - Arras
  • Enseigne : Photographie de Paris
  • Début Activité : 1865
  • Adresse : 18 Bis Rue des Teinturiers

Dans "Le Journal du Centre" du 31 mars 1864, on peut lire l’annonce suivante : " MM. Paul Descomps et Cie, opérateurs de MM. Mas, Trinquart, Nadar et Disderi, photographe de l’Empereur, viennent de se fixer pour quelque temps à Bourges. Ils opèrent rue Saint-Ambroix 48". Paul Descomps et son associé inconnu restèrent à Bourges jusqu’au 15 août 1864. "Appelés depuis longtemps dans un grand centre, MM. P. Descomps auraient déjà quitté notre ville s’ils n’avaient cédé à l’empressement d’un public appréciateur des productions vraiment artistiques." Paul Descomps aurait exercé ensuite à Orléans (Loiret) 14, rue Bannier et à Arras (Pas-de-Calais) 18 bis, rue des Teinturiers. En 1866, il est recensé rue Laboulaye à Auch (Gers). En 1861, Joseph Descomps, photographe, et son épouse Magdelaine Ducuing, étaient domiciliés à cette adresse. Cinq ans plus tard, cette dernière est veuve. Il semble donc que Paul Descomps avait succédé entre-temps à Joseph (son frère aîné ?).

img211 img206


 

26 août 2012

Pont d' Aubenas - Bouvrain

  • Henry Jules BOUVRAIN - photographe Amateur et Instituteur 
  • Né le 7 octobre 1864 (vendredi) - Sèvres, Hauts de Seine 
  • Marié le 4 août 1889 (dimanche), à Aubenas, Ardèche, avec Marie Lucie TREMOULET, née le 6 février 1866 (mardi) - Le Pont - Aubenas, Ardèche - Institutrice
  • Adresse à LANAS (Ardèche) par Vogué
  • Adresse au Pont d' Aubenas (Ardèche)
  • Correspondant de la Photo Revue - Lauréat de la Société Nationale des Conférences Populaires - Membre du Touring Club de France. 

img169 img166


 

19 janvier 2013

Guines - Decuppe

  • Léopold DECUPPE - Guines en Calaisis
  • Photographe Amateur
  • Adresse : Grande Rue
  • Possède une entreprise de "Vins et Spritueux" et "Dépot de Spécialités Diverses" - maison fondé en 1874
  • Avec son frère Antoine, Léopold construisaient des bateaux au Canal de Guines - société familiale depuis plus de 100 ans

img302 img301

280_001

644_001

ouvriers_decuppe_01

Famille DECUPPE (source musée de Guines)


 

3 avril 2010

G. PREVOT

  • PREVOT Gemmi Louis Joseph
  • Début Activité en 1863
  • Adresse : 5 Bd Montmartre,24 Rue du 10 Décembre re-baptisée 24 Rue du 4 Septembre vers 1873 en effet Nommée « rue du Quatre-Septembre » en l'honneur du 4 septembre 1870, jour de la proclamation de la IIIe République, elle portait auparavant le nom de « rue du Dix-Décembre », qui célébrait le 10 décembre 1848, jour de l'élection triomphale du prince Louis-Napoléon Bonaparte à la Présidence de la République
  • Successeur de Thomassin en 1863

Photographe de la GARDE IMPERIALE puis photographe des Armées, propose des vues du camp de Chalon.

img234 img231 

img235 img230


9 mai 2010

Gaston DANGEREUX - Paris

  • Emile (Père) et Gaston (Fils àpres 1900)  DANGEREUX
  • Début activité : Maison fondé en 1851
  • Enseigne : Photographie Bourg Labbé
  • Adresse : 240 Rue Saint Denis - Paris / Passage Bourg Labbé / 3 rue Palestro
  • Succursale : 120 Rue Saint Denis - Paris
  • Associé à Eugène SAULNIER
  • Successeur de Joseph DUCHEZ en 1872
  • Dans les années 1920 l' atelier est au 6 rue au Ours - Paris 3 arrondissement / 42 Rue Pelleport - Paris 20 arrondissement

img279 


4 décembre 2010

Auguste ABS

  • Auguste ABS - Paris
  • Début Activité : 1890
  • Enseigne : "Photographie TONY ROUGE"
  • Adresse : 36 Rue Vivienne
  • Vend à GAUTHIER en 1893
  • Successeur de Alexandre Clément CRILLON vers 1890 lui même successeur de TONY ROUGE
  • Associé à C. GATTIKER

img047 img043

  • CRILLON Alexandre Clément dit CASAJEUS
  • Début Activité en 1864
  • Adresse des Ateliers : 28 Rue du Faubourg Saint Honoré - Rue D' Argenteuil vers 1870 - 11 Rue Radziwill en 1876 et 36 Rue Vivienne en 1884 ( vente en 1890 )
  • Successeur de Antoine ROUGE vers 1884
  • Associé à Louis Ernest RABY

  • ROUGE Antoine dit TONY
  • Début Activité : 1867
  • En Relation avec A. WACQUER à Baden Baden
  • Successeur Victor PLUMIER en 1867


9 janvier 2011

Genève

  • J. JULLIEN - Genève

img178


  • GODARD - CAORSI
  • Adresse : 37 Crosa Del Diavolo

img187 img179


  • HUGUENIN - PANCHAUD Peintre et Photographe
  • Adresse : 1 quai des Bergues

img188 img183


  • LACOMBE et LACROIX
  • Début Activité : Lacombe 1865 et Lacroix 1890
  • Adresse : 8 Rue de l' Université avec Arlaud / Place de L' Académie et Rue de Candolle (Lacombe et Fils)
  • Succursale Lacroix à Nice et Interlaken

img205 img197


  • F. PONCY
  • Adresse : 29 Rue du Rhone - Maison des Bains Marins

img203 img195


  • Charles RICHARD
  • Début Activité : 1870
  • Adresse : 31 Rue du Rhone - maison du Café du Nord - 4eme Etage / 172 Rue du Rhone

img192 img186


  • Gio Batta SCIUTTO
  • Adresse : 10 Via Nuova Palazzo Adorno

img190

img185,img198


2 novembre 2012

Romans - Gallant

  • GALLANT - Romans
  • Début Activité : 1897
  • Adresse : 8 Rue de la République

Recensement de 1906 :

Année : 1906
Lieu : Romans-sur-Isère
Quartier : Place d'Armes
No des maisons : 8-Ter
Nom : GALLAND
Prénoms : Gabriel
Année de naissance : 1836
Age : 70 ans
Lieu de naissance : Bénonces (01037)
Nationalité : Française
Situation dans le menage : Chef
Profession : Photographe
Numéro de page : Page n°136/259

img216 img214


 


19 février 2011

Sainte Ménehould

  • Louis PAREY - Sainte Ménehould
  • Début Activité : 1860
  • Adresse : En face de l' Eglise de l' Hopital

img276

Le 25 août 1870, 49 mobiles sont assassinés par les soldats prussiens Carnage à Passavant

Publié le dimanche 05 décembre 2010 dans le Journal "L'Union" 

Le 4e bataillon des mobiles de la Marne, qui stationnait à Vitry-le-François, était composé d'hommes âgés de 20 à 40 ans. Ces soldats étaient mobilisés par décret officiel pour étoffer la Garde nationale.
Leur armement et leur instruction militaire étaient malheureusement plus que rudimentaires. Leur uniforme, parfois une simple cocarde, les faisait passer pour des francs-tireurs aux yeux des Prussiens. Ces éléments causèrent leur perte.
Le récit du chef de bataillon qui rend compte au ministre de la Guerre permet ainsi de reconstituer le drame.
A l'approche des Prussiens bientôt aux portes de la ville, les officiers décident de rejoindre le camp de Châlons en passant par l'Argonne, seul itinéraire connu encore libre.
La formation se met en route dans la nuit du 25 août depuis Vitry à 1 heure du matin. En tout, on dénombre 1 500 hommes, avec chacun un fusil et 12 cartouches.
Par Saint-Quentin-les-Marais et Bassu, la troupe arrive à Vanault. Au loin, des nuages de poussière signalent l'avancée des cavaliers prussiens. Les Français déploient une centaine de tireurs qui ouvrent le feu. Les cavaliers ennemis, peu touchés, se replient.
Le chef de bataillon regroupe alors ses hommes par une marche rapide au lieu dit la Ferme de La Basse, un site plus facile à défendre. Malheureusement, les hommes sont peu entrainés. Déjà, les Prussiens mettent en batterie quatre pièces d'artillerie. Pendant l'assaut, les tirs français restent inefficaces.
Obligés de se rendre, les prisonniers sont alors battus à coups de plat de sabre, roulés par terre, insultés et conduits à proximité de Sivry-sur-Ante, à un kilomètre de La Basse.
Là, ils subissent, en allemand, une diatribe déclamée par un officier prussien, parlant de les fusiller car pris pour des francs-tireurs.
Le chef du bataillon parvient à le détromper et les voilà conduits sur Sivry où ils retrouvent quelques uns des fuyards de l'assaut précédent, attachés à la selle des cavaliers ou parfois à la queue de leur cheval. Les blessés sont alors chargés sur des charrettes et tout le convoi, encadré sous escorte, gagne Passavant.
Un coup de feu éclate
A la sortie du village, le drame se déclenche. Un coup de feu, dont l'origine n'a pas été déterminée, éclate. Un cavalier de l'escorte roule sur le côté droit de la route. Les escorteurs prussiens se déchaînent alors sur les prisonniers, les insultent, arrachent les décorations des officiers, injurient, frappent et assassinent à coups de crosse « ivres de rage et de vin ».
Lorsque le massacre cesse, 49 victimes sont tombées. L'odyssée des prisonniers ne fait que commencer. Sous les coups des escortes sauvages, ils sont emmenés à Triaucourt, Rembercourt-aux-Pots, Saint-Mihiel.
Partout, la population tente de leur donner de la nourriture, souvent sans résultat. A Saint- Mihiel, dans la cour du collège, ils sont dehors alors que les classes sont vides.
A Pont-à-Mousson, ils sont enfermés dans une église. Enfin à Remilly, c'est le départ en wagons à bestiaux, pour Mayence, Berlin et enfin Glogau, terme de la marche en Silésie, le 1er septembre.
Les rigueurs de la vie en baraques au camp, les maladies tueront 692 français dont 49 mobiles.
Les valides ne reverront Vitry que le 19 avril, à 22 heures. La captivité aura duré plus de sept mois.
Le monument, bien connu des habitants locaux, est honoré avec ferveur tous les ans.
La fureur de l'occupant en 1914 y a vu une profanation du mobile statufié, ultime manifestation de cruauté injustifiée, rappel douloureux du comportement ennemi de l'époque.


 

18 novembre 2012

Paris - Legros

  • Adolphe LEGROS - Paris
  • Début Activité  : 1851
  • Adresses : 199 Rue Saint honoré- 116 Galerie de Valois Palais Royal en 1852 puis 39 Rue de Valois
  • Vend à Louis Foucher en 1866 l' atelier du 116 Galerie de Valois
  • Il photographie Gerard De NERVAL en 1853 en Daguerréotype qui servit de modèle au graveur Eugène Gervais pour illustrer la biographie de Nerval par Eugène de Mirecourt publiée en 1854.

Nerval fait partie des écrivains dont les portraits, du fait de leur rareté, sont les plus émouvants. Ils le sont aussi en raison des préventions que le poète entretenait à l'égard de la photographie. En 1853, il prend la pose devant Adolphe Legros (ci-contre) et le résultat le consterne : « La maladie m'avait rendu si laid, – la mélancolie si négligent. Dites donc, je tremble ici de rencontrer aux étalages un certain portrait pour lequel on m'a fait poser lorsque j'étais malade, sous prétexte de biographie nécrologique. L'artiste est un homme de talent, plus sérieux que Nadar, qui n'a que de l'esprit au bout de son crayon ; mais, comme notre ami aux cheveux rouges, il fait trop vrai ! Dites partout que c'est mon portrait ressemblant, mais posthume, – ou bien encore que Mercure avait pris les traits de Sosie et posé à ma place. [...] Infâme daguerréotype ! tu pervertis le goût des artistes. »

Ces préventions s'expliquent, comme celles de Baudelaire, par une condamnation du réalisme : implacable, l'objectif fixe l'image d'une enveloppe charnelle qu'elle invite à prendre pour la « réalité ».
« Je suis l'autre », écrira encore Nerval sur la gravure tirée de ce portrait. (source : site magister.com ) 

img274

img270


 

7 octobre 2012

Calais - Quenton

  • Camille Quenton - Calais
  • Enseigne : Photographie Populaire
  • Adresse : 7 Rue de la Vendée
  • Photographe Amateur, sur l' annuaire de 1899 de la ville de Calais , Camille Quenton est concierge au 7 Rue de la Vendée qui est le "Garage de l' Union Nautique" , en 1905 il est recensé comme Menuisier de profession à la même adresse.

l'Union nautique de Calais, fondée en 1863, Les premières heures de gloire de l'Union Nautique commencèrent un 14 août 1898 sous la présidence de M. W. Smith. A cette époque le club était fort de ses 218 membres honoraires et 68 actifs. En 1905, la renommée nationale du club n' est plus à faire. Elle reposait essentiellement sur les exploits des équipes Violetta (Cordier, Buttez, Duquenoy et Monthuy).

Photographe_Camille_QUENTON___Calais_1

Photographe_Camille_QUENTON___Calais

Photos "collection personnelle  G. Deschuytter" 


 

31 décembre 2015

Une nouvelle photo d'Arthur Rimbaud divise les experts

Une nouvelle photo d'Arthur Rimbaud divise les experts

L'information a été révélée cette semaine dans Paris Match : un cliché inédit représentant le célèbre poète aurait été retrouvé dans un album photo. C'est en tout cas la conviction de son propriétaire. Les spécialistes du poète, eux, sont partagés. De nouvelles expertises vont être menées pour tenter d'authentifier le portrait.
Reportage : Nicolas Dumas et Daniel Samulczyk

La fameuse photo figure dans un album ayant appartenu à Liane de Pougy, une courtisane de la Belle Epoque. On y trouve quelques célébrités de l'époque, comme Jacques Offenbach, Marcel Proust et la Belle Otero, mais aucun des clichés ne porte de nom. L'ouvrage a d'abord appartenu à Jacques Guérin, un collectionneur de manuscrits, acquéreur notamment du premier jet d"Une saison en enfer", le fameux recueil de poèmes d'Arthur Rimbaud. Etrange coïncidence !

Un Rimbaud "embourgeoisé"

L'album a ensuite été légué à Carlos Leresche, l'actuel propriétaire, qui a souhaité identifier les portraits. Sur l'un des clichés, il pense reconnaître Arthur Rimbaud. Pour en avoir le coeur net, il le superpose à la célèbre photo du poète prise par Etienne Carjat en 1871, alors que Rimbaud avait 17 ans.

Arthur Rimbaud par Etienne Carjat (1871)

sipa_00201004_000013_1


Arthur Rimbaud par Etienne Carjat (1871) © Bibliothèque Arthur Rimbaud, Charleville-Mézières
Il en est alors persuadé : ces deux hommes ne font qu'un ! D'après ses recherches, la photo daterait de 1879 ou 1880. "L'homme aux semelles de vent" avait alors 25 ou 26 ans. Leresche soumet le document à des experts et ces derniers sont unanimes : il y a de grandes chances qu'il s'agisse en effet d'Arthur Rimbaud, même s'il ressemble plus à un bourgeois qu'à un poète maudit.

De leur côté, les spécialistes du musée Rimbaud, à Charleville-Mézières, sont sceptiques et ils refusent de croire à cette belle histoire.

Une autre photo déjà contestée

Il y a quelques années, déjà, un autre po

maxpeopleworld084365

rtrait de l'écrivain avait suscité un interminable débat. Retrouvé dans une brocante en 2008, il représenterait l'auteur du "Bateau ivre" à Aden, au Yémen, devant un hôtel où il séjourna. Pendant 4 ans, la photo a fait l'objet d'une bataille d'experts avant d'être finalement authentifiée "à 98%".

Arthur Rimbaud à Aden : la première photo controversée


Arthur Rimbaud à Aden : la première photo controversée © IP3 PRESS/MAXPPP
Le portrait publié dans "Paris Match" est-il vraiment celui d'Arthur Rimbaud ? Les nouvelles expertises qui vont être engagées permettront peut-être de lever le doute.

 

18 juillet 2015

Aire Sur la Lys - Paul Delebarre

  • Paul Francois Joseph DELEBARRE
  • Adresse à Aire Sur la Lys : 84 Rue d' Arras
  • Atelier à Lambersart les Lille 

10 juillet 1880 : Naissance - Cuhem, Fléchin, 62, Pas de Calais
28 février 1905 : Mariage (avec Léonie Françoise Elisabeth LACROIX) - Lille, 59, Nord
vers 1910 : Domicile - Aire Sur La Lys, 62, Pas de Calais

EPSON015

Epson_19112020202109

Epson_19112020202006

18 juillet 2015

Arras - Emile Izambard

  • Emile IZAMBARD - Arras
  • Enseigne : Grande Photographie des Promenades
  • Adresse : 20 Boulevard Crespel
  • Debut Activité : 1885

Fils d’un employé des contributions directes, Emile Joseph Izambard est né le 20 décembre 1833 à Saint-Pierre-lès-Calais (Pas-de-Calais). Il est voyageur de commerce, domicilié à Paris, quand il se marie à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) le 28 janvier 1863. On ignore quand il est devenu photographe professionnel. Il aurait débuté au Havre (Seine-Maritime) à la fin des années 1860. Il part ensuite à Brest (Finistère.) Il est domicilié rue Marché Pouliquen quand sa première épouse décède le 4 juin 1870. En 1872, il est recensé à cette adresse. Dix ans plus tard, on le retrouve à Châteaubriant (Loire-Atlantique). En 1881, il y est recensé au 1 bis, boulevard des Terrasses. En juin 1886, il se remarie à Paris alors qu’il est photographe domicilié à Arras (Pas-de-Calais). Son atelier est situé 20, boulevard Crespel. Agé de 58 ans, il décède à Arras le 5 juin 1891.(source portrait sépia)

EPSON010

25 mai 2019

Bruxelles - Louvois

  • Adrien LOUVOIS - Bruxelles

1879 - 1882 / Bruxelles - Saint-Josse, rue Saint-Josse, 33
° 24.3.1851. Arrivé à cette adresse le 23.8.1875, il était d'abord décorateur-peintre. Son épouse, Léontine De Buck (° Bruxelles - Molenbeek, 20.9.1856; + La Hulpe, 14.5.1903) était également photographe. Il est parti le 27.9.1882.

1882 * - 1911 / Bruxelles - Saint-Josse, Chaussée de Louvain, 51 ans
Successeur: Cusinier A.
A cette adresse du 27.9.1882 au 15.4.1911. Artiste et peintre. "Atelier spécial pour cavaliers. Portraits permanents garantis sur plaques de porcelaine pour monuments funéraires. Impression à l'encre d'imprimante". En 1899, il prit une série de photographies "Canal de Bruxelles au Rupel", publiées en phototypie. A. Cusinier s'est chevauché à cette adresse à partir de 1908. Le 15.4.1911, Louvois déménage à Bruxelles - Saint-Josse, 1 place Saint-Josse, une adresse déjà répertoriée en 1903 dans l'annuaire Monod. Photographes à Bruxelles également enregistrés: Jean Louvois, 28 ans, en novembre 1898 et Pierre Louvois, 22 ans, en mars 1902.

  • Adresse :

1879 - 1882 / Bruxelles - Saint-Josse, Rue Saint-Josse, 33
1882 * - 1911 / Bruxelles - Saint-Josse, Chaussée de Louvain, 51
1888 - 1894 Bruxelles - Saint-Josse, Rue Scailquin, 58
1903 - 1911 Bruxelles - Saint-Josse, Place Saint-Josse, 1

  • Membre de l' Association belge de photographie (Dates d'affiliation 1891 - 1905)

Epson_23052019140807

Epson_23052019141015

11 juin 2019

Audruicq - Georges DAMEZ

  • Georges DAMEZ - Audruicq (Pas de Calais)
  • Adresse : Rue de l' église

"Georges" Eugène Arthur DAMEZ Né le 25 mai 1888 à Audruicq, Pas-de-Calais, et Décédé le 17 septembre 1970 à Audruicq à l' âge de 82 ans, Marié le 12 juillet 1920 à Calais avec "Marthe" Marie Louise POUVILLION 1895-1991. Son père "Eugène" était Clerc de Notaire. Son fils "Guy" exercera aussi le métier de photographe.

 IMG_4507

IMG_4511

 audruicq-pub_photos-damez-guy

Publicité
<< < 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 30 40 > >>
L' Atelier des photographes du XIX siecle
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Visiteurs
Ce mois ci 622
Depuis la création 695 708
Newsletter
42 abonnés
Publicité