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L' Atelier des photographes du XIX siecle
15 octobre 2011

Taly Raymond - Mort à la Guerre 14/18

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  • Raymond Taly - Fils du photographe Louis TALY
  • Né le 2 juin 1898 à Romans
  • Maréchal des Logis au 303e Régiment d' Artillerie Lourde - 5ème Batterie
  • Classe 1918 - Matricule 765 au Bureau de Romans Sur Isère
  • Mort (Tué à l' Ennemi) le 23 Aout 1918 au Combat de SELENS (Aisne 02) à 17H10
  • Transcrit le 6 Avril 1932 à Romans

Notice biographique : Raymond Taly (1898-1918), soldat de la Première Guerre mondiale.
Raymond Taly est né le 2 juin 1898 à Romans. Son père, Louis Taly est photographe côte des Cordeliers
depuis 1883. Sa sœur aînée, Henriette décède le 3 décembre 1914 à l'âge de 18 ans. A la mort de son père
le 23 mars 1916, Raymond qui a 16 ans reprend l'atelier de photographies avec son frère, André, qui n'a que
14 ans. Outre ses talents de photographe, il a de grandes dispositions pour le dessin. En 1917, Raymond qui
a obtenu ses deux baccalauréats souhaite intégrer l'Office des eaux et forêt après la guerre.
Appartenant à la classe de 1918, il est incorporé à Grenoble le 16 avril 1917, mobilisable le 15 août 1917. Il
part au front le 10 décembre 1917, après une permission agricole d'un mois (du 5 novembre au 5 décembre
1917). Il est nommé brigadier le 14 février 1918 puis Maréchal des logis le 13 juin 1918 à Francfort, il meurt
au combat de Sélens (Aisne) le 23 août 1918 à 17h, tué par un éclat d'obus.

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Journée du 23/08/1918 - Jours du Déces de Raymond TALY

Journal des Opération du Régiment Artillerie Lourde - Page 29

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Courrier de la Mairie de Romans à la Mère de Raymond Taly (source Archives Municipales de Romans)

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Rapatriement du Corps : 

Le corps du Défunt est rapatrié à Romans le 18 Avril 1921 à 9H18 en gare de Romans pour des funérailles prévue le 19 Avril 1921 à 9H45 au cimetière. Le corps est arrivé par le train sur Valence le Samedi 16 Avril 1921 à 20H31 venant de la gare Régulatrice de Creil puis reparti vers romans le 18/04/1921 à 8H12  

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Liste des Corps rapatriés en 1921 - 1922 

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Source : Archives Municipales de Romans (26)

Caveau de la Famille TALY au Cimetière de Romans sur Isère

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22 octobre 2011

Foire Exposition Romans 1903

Exposition de ROMANS - 17 Mai au 14 Juillet 1903

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Palmares de l' Exposition

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Remise de Prix sur le Concours des Diplomes de Collaborateurs

Paul JACQUIN (Photographe) de la Maison Louis TALY récompensé d' une MEDAILLE VERMEIL  

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Louis TALY (photographe) est Membre du Jury des Groupes III et VI ainsi que le Photographe Marseillais VOLLE pour le Groupe VI

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Signature de Louis TALY en bas du Document

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Source : Archives Municipales de Romans (26)

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23 octobre 2011

Calais - J. Gallois

  • J. GALLOIS - Calais Saint Pierre
  • Début Activité : 1880
  • Enseigne : Photographie Artistique Aquarelles et pastels
  • Adresse : 15 puis 23 Rue Verte / 36 Rue Neuve
  • Succursale à Armentieres au 8 grande Place
  • Activité à Lille de 1891 à 1896 Rue de Canteleu, Pavé St Joseph 4 bis, et au 88 Rue Nationale

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( Collection DESCHUYTTER G. )

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8 mai 2011

Crest - Emile Etienne

  • Emile. ETIENNE (1882-1957) - Crest
  • Adresse : 69 Rue de l' Hotel de Ville 

Fils d’un cuisinier, Emile Jules Etienne est né le 30 septembre 1882 à Vesoul (Haute-Saône). Après avoir servi un an au 7e bataillon d’artillerie à pied, il revient vivre chez ses parents 3, rue de Marseille à Lyon (Rhône). C’est à cette adresse qu’il commence à travailler comme photographe en 1907 environ. L’année suivante, il suit ses parents à Crest (Drôme) et ouvre un atelier de photographie au 69, rue de l’Hôtel de ville. Il y travaille jusqu’à ce qu’il soit mobilisé le 2 août 1914. De retour dans ses foyers en mars 1919, il s’établit à Tarare (Rhône) puis à Lyon. Bien qu’il soit qualifié de photographe sur son acte de mariage, célébré le 26 juin 1919, il ne semble pas qu’Emile Etienne ait poursuivi sa carrière de photographe. Lors du recensement de 1921, il est indiqué "voyageur" à la rubrique profession.

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20 août 2011

Avignon - Miesienski

  • Paul MIESIENSKI - Avignon
  • Début Activité : 1875
  • Adresse : 13 Rue Ferruce - Place Pie
  • Enseigne : Photographie Artistique et Régionale

Paulin (ou Paul) Miesienski, d'abord tonnelier puis photographe. Les deux fils de Paul sont bien Joseph et Auguste. A la suite de Paul, Joseph (né en 1879)et Auguste (1882) avaient leur studio Place Pie ou plus précisément au numéro 6 de la rie de la Petite Meuse, en face des Halles.
Quand Joseph puis Auguste sont mort, c'est Francis, le fils d'Auguste qui a repris le studio de la place Pie.

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 Paul Miesienski avec 2 fils en blouses 


  • Florent MIESIENSKI  (1857-1915) - Avignon
  • Début Activité : 1882
  • Adresse : 13 Rue Ferruce - 4 Rue de la République
  • Enseigne : Photographie Artistique - Peintre et Photographe
  • Succursale : Tarascon - Cours Victor Hugo
  • Succursale : Cavaillon - Boulevard Bournissac 
  • Succursale : Bagnols - Boulevard Lacombe 

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A la différence de la ville de Marseille ou l' on commande à Adolphe Terris le soin de « couvrir » les grands travaux urbains de la ville sous le second Empire, Avignon se désintéresse de toute constitution d’une mémoire destransformations urbaines alors même que le formidable chantier de percement de la future rue de la République bat son plein. Il faut en effet attendre l’extrême fin du XIXème siècle pour voir de rares commandes passées à Jean-Baptiste Michel ou Florent Miesienski chargés alors de représenter des immeubles destinés à la démolition ou des rues dont l’alignement est prévu : ce sera le cas pour l’ancienne place Pie et la rue Saunerie (Carnot) dans les années 1890. Ces photographies sont avant tout « techniques ». Elles sont produites pour étayer un dossier accompagnant un projet d’urbanisme.

Etrait du livre de Jean Perre COMPOMAR - Une Chronique Avignonaise :  http://www.avignon.fr/medias/news_1227265737_2.pdf

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13 novembre 2011

Lille - Le Blondel

  • Alphonse LE BLONDEL (né à Caen 1814 - Meurt à Lille 1875) - Lille
  • Début Activité : 1842 à 1892 (sous Enseigne Le Blondel Frères)
  • Peintre de formation, il s'installe comme portraitiste au daguerréotype à Lille en 1842. De 1842 à 1845, il s'établit au Palais Royal à Paris en tant que daguerréotypiste. Il retourne à Lille définitivement par la suite.
  • Adresse : 25 Rue de Paris vers 1854 puis 1 Rue du Pont de Roubaix vers 1859 / 6 Rue du Faubourg Notre Dame (début 1870 avec A. Daviette du 8 rue Impériale) et 8 Rue du Cirque (jusque 1890).
  • Participe aux Expositions SFP de 1857/1859/1861, Expositions Universelles de 1855/1867.
  • Parmi ses trésors, la Bibliothèque municipale de Lille conserve la plus importante collection d'épreuves de l'atelier Le Blondel qui, de 1842 à 1892, photographia la société lilloise et les transformations de la ville à l'époque des grands travaux consécutifs à la destruction de ses fortifications, à l'agrandissement et au réaménagement de la ville.
    Ce témoignage précieux sur l 'histoire de Lille apparaît aujourd'hui comme un point fort de l'histoire de France, tant par le rôlr précurseur que joua Alphonse Le Blondel dans la promotion et la diffusion de la photographie dans le Nord ; que par la qualité des prises de vue et des tirages de son atelier, qui illustrent le genre de la photographie urbaine, développé à cette époque dans d'autres villes comme Lyon, Marseille ou Nantes, et se situent dans la lignée de ce que Marville, à la même époque, ou plus tard Eugène Atget réalisèrent à Paris.

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25 décembre 2011

Courtrai - Ruys Morel

  • August RUYS et MOREL 
  • Enseigne : Photographie Artistique et Industrielle
  • Début Activité : 1878 sur Dijon au 30 Boulevard Carnot
  • Adresse Courtrai : 31 Rue Notre Dame
  • Adresse Tournai : 4 Rue des Clairisses
  • Adresse Tourcoing : 30bis Rue de Tournai
  • August Ruys, marié à Marie-Louise Morel, exploite des ateliers photographiques répartis à Tourcoing, Courtrai et Tournai. De 1898 à 1903, le studio tournaisien occupe le 13 de la rue de la Cordonnerie. A partir de 1904, il déménage au 4 de la rue des Clairisses et s'associe avec Boehm Hermann et Cie. A partir de 1910, le commerce tournaisien sera géré avec Gustave Triebels (Ruys-Morel & Triebels studio, Grand-place, 30).

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25 décembre 2011

Dunkerque - Anquet

  • Achille ANQUET (né a Tourcoinq en 1869) - Dunkerque
  • anquet (Biographie de GH Dk)
  • Enseigne : Photographie Moderne
  • Adresse : 28 Rue Neuve

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Recensement de 1906 de la Ville de Dunkerque au N°28 de la Rue Neuve.

Nom        Prénom Parenté Profession Origine Age Lieu Naiss.
28  
  ANQUET Achille chef photographe / patron France 37 tourcoing
  PEROT Léonie femme sans profession France 26 dunkerque
  ANQUET Simonne enfant sans profession France 12 roubaix
25 décembre 2011

Photographes de Calais en 1947/49

LISTE DES PHOTOGRAPHES presents sur Calais en 1947/49 (source Annuaire Ravet Anceau)

  • A. DOURDENT - 105 Rue La Fontaine
  • Ed. FRANCES - 60 Rue de la Tannerie
  • R. GOMER (Ambulant) - 81 Rue du 11 Novembre
  • Y. HOBBEN - 22 Cité Charost
  • P. LEGRAND LECLERCQ - 199 Boulevard La Fayette
  • Mme Veuve LEGRAND - 82 Rue Vauban
  • LEGRAND LEJEUNE - 'Studio Actualités' - Photographie Industrielle - Cité Charost Allée Centrale Stand 9
  • P. LELONG - Place Crèvecoeur (stand 44)
  • Robert VILLY - 86/88 Boulevard La Fayette (fondé en 1889)
  • Jean BOUTTE - 'Calais-Photo' - 19 Rue Monseigneur Piedfort 
  • Mutte Herlin et Compagnie - 40 Boulevard Jacquard - fournitures et produits pour la photographie

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30 décembre 2011

Dunkerque - Luzzatto & César Falciny

  • LUZZATTO - Dunkerque
  • Début Activité : 1879
  • Adresse : 5 Rue Sainte barbe puis 1 Rue Saint Barbe  Place Jean Bart
  • Successeur de Baron

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Recensement de 1906 de l' adresse du 1 rue Sainte Barbe 

c' est César FALCINY qui exerce l activité de photographe

Nom Prénom Parenté Profession Origine Age Lieu Naiss.
1  
  FALCINY César chef photographe / patron Italie 46 florence
  RICQUET Marie femme sans profession France 56 dunkerque
  DELACRE Adolphine sans parenté domestique / falciny France 20 saint omer cappelle
Jean-Louis Perreau : Les débuts de la photographie à Dunkerque.
Quatre dates marquent les débuts de la photographie dunkerquoise. 1844 d'abord, qui fut l'année des premiers daguerréotypistes, ou photographes ambulants venus à l'occasion des ducasses de juin et de décembre ; 1879 ensuite, qui vit l'installation de Joseph Luzzatto, dont l'association avec son compatriote César Falciny allait être capitale, et ouvrir dans notre ville l'ère des grands professionnels ; 1897, marque le vrai départ de la société photographique de Dunkerque, couronné par l'inauguration, le 14 juillet, d'une exposition internationale ; 1907 enfin, permit aux dunkerquois de découvrir la couleur, et aux Fichaux, père et fils, de réaliser, par la suite, des autochromes de très grande qualité (source société historique de dunkerque)

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7 janvier 2012

Calais - La Gare maritime

  •  La Gare Maritime :
Nous voici sur le quai nord de l' avant port. celui-ci présente une surface d' environ 6 Hectares. Sa largeur moyenne de 160 mètres permet l' évolution des plus grands navires. Longeons d' abord le quai nord-est long de 570 mètres et muni de quatre appontements métalliques à étages facilitant l' embarquement et le débarquement des passagers, quelle que soit l' heure de la marée.
Des voies ferrées s' allongent entre le quai et la facade de la gare maritime ; des trains arrivent de Paris, de Cologne, de Suisse, d' Italie et un flot pressé de voyageurs se précipitent aux portières assaillies par des commissionnaires plus ou moins polyglottes. La scène est pittoresque et vaut que nous restions un moment à la contempler, pendant que defilent devant nous les types les plus divers de la race Anglo-Saxonne et que des "rouleurs" empressés transbordent sur le paquebot en partance les malles solides et confortables, les valises multiformes et les colis encombrants. Une puissante grue electrique facilite leur besogne en enlevant d' un seul coup des wagons entiers remplis de bagages. Un mugissements sourd, un son de cloche, les amarres sont larguées et le navire s' éloigne.
Profitons en pour traverser dans un calme relatif la longue salles des Pas-Perdus de la gare maritime, l' une des plus belles du réseau. C' est un galerie de 110 mètres de long qui sert à l' occasion pour les banquets officiels ou les repas des groupes nombreux d' excursionnistes.
Poursuivons notre promenade sur le quai de marée qui prolonge le quai Nord-Est sur un longueur de 190 mètres ; contournons la talus fortifié au sommet duquel de monstrueux canons se profilent et après un coup d' oeil accordé aux batiments du pilotage et du lamanage, d' ou une vigie guette les signaux des navires qui demandent un pilote, accoudons nous deux minutes à l' extrémité du quai. Devant nous s' ouvre le chenal d' un acces très facile. la hauteur d' eau n' y est jamais inférieure à 4 Mètres 70,  Par les plus basses mers les paquebots des trois services réguliers y entrent et en sortent sans peine; sa largeur entre les jetées depasse les 130 Mètres.
(source : Lenné - guide illustré du tourisme)
 

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31 octobre 2011

Paris - Clement Maurice

  • Clément MAURICE - Paris
  • Début Activité : 1899
  • Maison du Théatre Robert HOUDIN
  • Adresse : 8 Boulevard des Italiens
  • Successeur de Emile TOURTIN
CLEMENT-MAURICE, Clément dit GRATIOULET

22 mars 1853, Aiguillon (Lot-et-Garonne) -15 juillet 1933, Sanary-sur-Mer (Var)

Clément Gratioulet, est employé des usines Lumière dès 1894. En 1897, il devient photographe portraitiste à Paris, sous le pseudonyme de Clément-Maurice. Il dirige l'atelier qu'Antoine Lumière vient de louer 8, boulevard des Italiens. Son voisin n'est autre que Georges Méliès directeur du théâtre Robert-Houdin. Il devient opérateur du cinématographe et directeur du Salon Indien lors de la première séance publique et payante réalisée le 28 décembre 1895, et devient concessionnaire du cinématographe pour Paris et la Seine. Il tourne également quelques scènes. En 1898, le docteur Doyen, initiateur des premières prises de vues médicales, le charge d'installer un studio de cinéma et de photographie pour ces opérations. Clément Maurice présente, lors de l'exposition universelle de 1900, le Photo-Cinéma-Théâtre, système associant l'image et le son et mettant en scène les principales vedettes de la scène et du café-concert parisien. A partir de 1906, il fonde un atelier de tirage et la société Radio, reprise par l'Eclipse, en 1908.

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7 janvier 2012

Calais - La Nouvelle Gare

  •  La Gare Centrale :
A cette époque le touriste qui débarque à la gare, située entre les 2 parties de la ville, avec un double pavillon, l' un du coté de Calais Sud (ex Saint Pierre) l' autre du coté nord doit quitter cette gare par le pavillon nord. De la place de la gare, il apercoit sur la gauche les glacis de la citadelle qui gene de ce coté le développement de la ville, et l' impression qu il eprouve n' est pas aussi favorable qu' elle pourrait l' etre s' il se trouvait au coeur meme de la ville dont il peut discerner devant lui les premiers edifices.
 
On a construit a Calais une gare monumentale composée de 2 batiments identiques et symetriques pouvant ainsi donner l' impression aux Calaisiens et St Pierrois d' avoir chacun sa gare. elle est mise en service le 6/06/1889 coté St pierre et le 3/11/1889 coté Calais. On s' apercevra à l' usage que cette gare presente un certain nombre d' inconvénients.
Afin de relier les deux cours de la gare, une passerelle de 50 mètres de long et d e6 mètre de large est installé le 23/02/1891, au dessus des voies ferrées. (celle-ci recupérée de l' exposition de Paris 1889 entre le pont de l' Alma et le Champs de Mars).
(source Lennel : guide illustré du tourisme et Fontaine : La Belle Epoque à Calais)         

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Batiment qui n' existe plus de nos jours.

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 La passerelle de jonction, récupérée à Paris après l'Exposition Universelle de 1889, fut installée le 23 février 1891.

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7 janvier 2012

Calais - Eglise Notre Dame

  •  L' Eglise NOTRE DAME (Pour en savoir plus cliquez ici )

 Au Xllème siècle, Calais n'est qu'une zone marécageuse habitée par quelques paysans et pécheurs. Calais est ensuite entourée de remparts et la ville se développe avec les comtes de Boulogne.

L'église, à l'origine, a été construite sur la demande d' ADRIEN DE WISSANT en 1214 pour 14 000 habitants et selon certains écrits, elle avait pour nom Sainte Marie et fut achevée en 1224.

Le noyau originel de l'église serait le transept construit en grès. Cette église était de forme rectangulaire avec 2 tours de façade pour l'entrée qui ressemblait au transept Saint Pierre. 
On y retrouve des caractéristiques défensives avec les meurtrières et une épaisseur de murs d'1m60.Après cette date (1224), cette église est devenue une église paroissiale et c'est à partir de ce moment que l'église s'est agrandie. C'est à partir de 1347, après la prise de Calais par Edouard III, que les anglais découvrent cet édifice et qu'ils vont décider de l'agrandir. Notre Dame est ainsi rattachée à l'archevêché de Canterbury. L'église deviendra ainsi dans la 2eme moitié du XVème siècle l'édifice religieux le plus important de la ville. Pour les travaux d'agrandissement, les anglais font appel à leurs alliés flamands. Ils vont construire les parties hautes de la nef, le chœur et le clocher en brique de sable étant donné que les carrières de pierre sont inaccessibles. En 1558, Calais est reconquise par la France et Notre Dame devient ainsi, après la destruction de l'église Saint- Nicolas qui deviendra la citadelle, l'église la plus importante de la ville. 

Au XVIIème siècle la chapelle d'axe dite la chapelle de la Vierge prolonge l'édifice. La longueur
de 88m permet d'accueillir plus de fidèles (6000).

A la révolution l'église est transformée en temple dédié au culte de la raison et en entrepôt
pour être ensuite rendue au culte en 1802.

Fin XIXème siècle, en 1863, le doyen de Calais,  l'archiprêtre de Lencquesaing engage des travaux de décoration de style gothique avec des ogives en plâtre qui recouvrent les voûtes en bois, un enduit en plâtre recouvre les murs  et le portail principal est reconstruit donnant un style «Tudor» alors en vogue à cette époque à Calais.

La destruction le 26 septembre 1944 : 
L'église est frappée par erreur par un bombardement allié. Le clocher s'effondre alors sur le transept nord et la chapelle de la Vierge accueille les fidèles jusqu'à l'ouverture de Notre Dame provisoire en 1950. La restauration débute dès 1945. 

Les événements importants :
- 1911 :  la messe en hommage aux victimes du sous-marin Pluviôse
- 7 avril 1921: le mariage d'Yvonne Vendroux et du Capitaine De Gaulle à l'époque. C’est ici 
qu’Yvonne Vendroux avait été baptisée.

Source : www.AMVPAC.com

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  • Chez Camille BENOIT photographe de Lille (25 Rue des Tanneurs) cette photo de la Cathédrale "Notre Dame de Calais" datant du 7 Novembre 1869. 

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31 octobre 2011

Roanne - A. Vernisse

  • A. VERNISSE - Roanne
  • Début Activité : 1868 à 1873
  • Adresse : Place d' Armes (Place de la Paix)
  • Maison présente à Charlieu (Loire)
  • Succursale à THIZY (Rhone) en même temps que Charlieu
  • Médaille d’argent à l’exposition universelle de Lyon en 1873.

La Madone de la Croix du Plat
C'est en 1877 que Mr. curé Chazelle et son vicaire, Mr Frénéa, firent ériger cette statue de N.D. de Lourdes, pour satisfaire un pieux désir des habitants de Saint-Germain.
Le jour de l’inauguration, il y eut une très grande fête présidée par Mgr Dubouis.
Le terrain appartenait à Mr Jean Pierre Troncy.
Jean PierreTroncy, propriétaire et meunier et Marie Thérèse Ovise, son épouse, vendons à Jean Baptiste Chazelle qui accepte acquéreur pour lui et ses successeurs légitimes à la cure de Saint-Germain la Montagne dix sept ares de terrain, lieu dit Croix du Plat, ce terrain est limité au midi par la terre de Claude Marie Larochette, au couchant par la terre des vendeurs, au nord par la terre de Pierre Jolivet, et au levant par le chemin public. Cette vente est faite moyennant la somme de quatre vingt  francs...... Le 23 avril 1877.
Un droit d'eau avait été donné par la veuve Jolivet.
Nous soussignés, Claudine Aublanc, veuve Buisson, propriétaire, Etienne Buisson et, Julie Buisson, déclarons autoriser la passe d'un conduit qui traverse notre terre en droite ligne, depuis le réservoir en construction dans la propriété de la veuve Jolivet jusqu’au parterre de Notre-Dame du Plat nous faisons cette ........ gratuitement et par piété à perpétuité et sans retour. Le 3 avril 1883 signé : Julie Buisson, Georges, curé d’Azolette, Torgue, vicaire, Convers nouveau curé de la paroisse,  


En 1877, Jean Marie Millet alla chercher la lourde vierge en fonte, à Beaujeu, avec des boeufs. Pour la fête du cinquantenaire, le 11 septembre 1927, ce même Jean Marie Millet était très malade et ne put assister à la fête. Le lendemain il allait beaucoup mieux et attribua sa guérison à Notre-Dame du Plat.

“Il convenait de fêter solennellement le cinquantenaire de cette érection. De grands travaux d’ornementation ont été faits à cette occasion, grâce à la générosité et au bienveillant concours de la population, Mrg Delay et Mr. le chanoine Brosson viendront par leur présence rehausser l'éclat de notre fête et l'Avenir de Belmont” qui veut  bien  nous prêter son concours fera entendre au loin par ses sonneries la grande Joie de ce jour.. . . “  (Saint-Germain le 11 février 1971 -C. GAY)

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8 janvier 2012

Photographes de Calais en 1933

LISTE DES PHOTOGRAPHES presents sur Calais en 1933 (source Annuaire Ravet Anceau)

  • A. BOUTTE - 143 Rue Leavers
  • LEGRAND LECLERCQ - 199 Boulavard Lafayette
  • E. LEGRAND - 14 Rue Francaise
  • H. LEMESRE - 2 Rue de Bruxelles
  • L. DELIE - 1 Rue de Thermes et 2 Rue Charles Ravisse
  • E. VAMPOULE - 23 Rue des Fontinettes - Tel 9.81
  • Géo. MARTIN - Modern' Photo - 60 Rue Royale - Tel 6.33
  • MAIER ROLLET - Photo Studio - 7 Rue de Vic (Successeur de Georges Pouge) - Tel 14.83

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  • Photo RAILLON - 72 Boulevard Jacquard

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  • Robert VILLY - 86/88 Boulevard Lafayette

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15 février 2012

Roubaix - Planque

  • CH. PLANQUE - Roubaix
  • Employé d'octroi, photographe
  • Enseigne : Photographie du Progrès
  • Début Activité : 1897
  • Adresse : 85 Rue de Mouvaux puis 4 Rue de l' Alouette

Charles Auguste Joseph PLANQUE Né le 28 mai 1868 à Le Nieppe, Nord et décédé le 7 janvier 1947 à Roubaix, à l'âge de 78 ans, Marié le 29 mai 1897 à Roubaix avec Marie Joséphine Joseph BATTEUR, née le 20 janvier 1870 à Roubaix

Médaille d' Or Exposition Internationale de Tourcoing en 1906
un studio A. PLANQUE existe à Lomme au 785 Avenue de Dunkerque

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15 février 2012

Maubeuge - Chapuis

  • CHAPUIS - Maubeuge
  • Enseigne : Photographie Chapuis / Photographie du Hainaut
  • Début Activité : Fondé en 1867
  • Adresse Maubeuge : 3 Rue du Moulin  puis 14 Rue de Mons et enfin Rue de la Gare (en face de l' Octroi , hors de la Porte de France)  
  • Adresse : Hautmont : 1 Grand Place
Mention Honorable de la Reine d' Espagne et de Mr le Ministre de l' Agriculture , duCommerce et des Travaux Publics. 

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3 mai 2013

Bergues - Gaston Boubert

  • Gaston BOUBERT - Bergues
  • Date début d'activité : 1895
  • Adresse : 16 Petite Place
  • Né le 4 février 1870 - Bergues - Décédé le 22 octobre 1941 - Hoymille à l’âge de 71 ans
  • Marié le 12 mai 1897, Bergues avec Marie Louise Sophie COUDEVYLLE 1877-1962
  • Marchand de couleur et commerce de photographies à Bergues

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« Une leçon de vie » 20.10.2010, Le Phare Dunkerquois

Pour Yves et Anne-Marie, la généalogie est l'occasion de porter un regard sur le passé. «Quand on pense à ce qu'était la vie de nos ancêtres: familles nombreuses, un enfant tous les 2 ans et combien mouraient en bas âge! Quand la mère décède, il faut se r
Le souci du détail, la rigueur et un sens de l'organisation... voilà des qualités indispensables pour se lancer dans la généalogie.
Le plus souvent, celles et ceux qui s'y adonnent y arrivent par hasard et le plus souvent y plongent en y consacrant toujours plus de temps. Au bout de plusieurs années, c'est devenu une passion. On ne se lasse pas de les écouter, ces découvreurs de familles.
Bien plus que de relever des actes d'état civil, ils en viennent à remonter le cours du temps et raviver l'histoire locale. Les noms de familles leur sont familiers presque devenus les cousins d'une multitude. Parmi ces généalogistes, Anne-Marie et Yves Gernez-Boubert. Tous deux consacrent une grande partie de leurs loisirs à la recherche depuis une quinzaine d'années.
Tout a commencé avec Anne-Marie qui a fait des recherches avec Thérèse et André Gervais-Boubert, qui voulaient connaître l'origine du commerce familial et préparer les cent ans du magasin de photographie. En explorant les documents officiels, c'est une partie de l'histoire familiale qui reprenait vie. En établissant l'arbre généalogique, c'est un roman qui s'annonçait avec les aïeux, Gaston, né en 1870 fils de Théophile, marchand de couleurs. Avec Gaston, ce sont les débuts de la photographie à Bergues qui se dévoilent : « il commença dans sa cuisine et comme cela lui plut, il poursuivit sans pour autant déclarer son activité de photographe ni transformer son fonds de commerce, raconte Anne-Marie, la première photo officielle signée Gaston Boubert remonte à 1895 ».

Des familles aux villages
Thérèse et André ont ainsi reconstitué l'arbre généalogique des Boubert remontant jusqu'en 1585 avec Eloi (né à Winnezeele en 1585 et mort à Herzeele en 1647). Ce long et fastidieux travail achevé, l'envie de poursuivre avec d'autres membres de la famille ne se fit pas attendre. Une quinzaine d'années plus tard, à force de retranscriptions et de démarches, Anne-Marie s'est passionnée pour la généalogie. « C'est de la recherche bien sûr mais aussi de la mémoire, de la rigueur et de la patience » commente-t-elle. Elle s'est lancée dans la recherche des familles Gernez, Gervais ainsi que celle des ses beaux-enfants. Un travail qu'elle effectue avec la complicité d'autres passionnés. Elle participe régulièrement aux rencontres du club d'Armbouts-Cappel où d'autres personnes sont tout aussi passionnées par les recherches. Ce qui caractérise ce club, c'est l'entraide. Il suffit pour l'un d'entre eux de demander une aide, un renseignement et il trouve rapidement des réponses et des documents pour poursuivre son travail. Il y a également l'apport d'internet. « Nous transmettons les informations sur le site Géneanet et il n'est pas rare d'être sollicité, explique Anne-Marie, à chaque fois que l'on peut, on transmet les informations pour aider les autres ». La toile est un atout supplémentaire pour la recherche.

Hugues DORGUEIL

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 Gaston Boubert et Marie Louise Sophie Coudevylle et leurs enfants : Marguerite - Marthe - André  et mariage de Gaston Boubert et de Marie Louise sophie Coudevylle le 12/5/1897 à Bergues. (source geneanet)


 

18 juillet 2015

Lille - LENFANT

  • Napoléon Joseph LENFANT  Né le 11 juin 1805 (mardi) - Lille (59000) France / Décédé le 30 mai 1874 (samedi) - Lille (59000) France , à l’âge de 68 ans
  • Adresse : Angles des Rues Notre-Dame / Solférino / Ratisbonne au 66
  • Autres Adresses : 10 Rue des Tanneurs /  66 Rue Notre Dame devenue rue Gambetta
  • Début Activité vers 1856

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18 juillet 2015

Arras - Guinet

  • Jean Baptiste Guinet - Arras
  • Adresse : 69 Rue Saint Aubert / 33 Rue Saint Maurice
  • Actif de 1884 à 1900 environ
  • Successeur de Desavary - a tiré les clichés verres de Corot

(1834-1908) Photographe d'atelier Arras. (Pas-de-Calais.)
Jean-Baptiste Guinet est né le 17 novembre 1834 à Juville (Moselle) où il a vécu au moins jusqu’en 1858. Il est possible qu’il ait quitté la Lorraine après la guerre franco-prussienne de 1870. Quand il se marie à Arras (Pas-de-calais) le 7 décembre 1871, il est photographe mais il ne semble pas qu’il travaillait alors à son compte. A partir de 1884 environ, il a exercé seul dans un atelier situé 33, rue Saint-Maurice à Arras où il est recensé en 1886 et 1891. Lors des recensements de 1896 et 1901, il est toujours photographe mais son activité devait être très réduite. Jean-Baptiste Guinet est décédé à l’hôpital d’Arras le 13 mai 1908 et sur l’acte de décès il est qualifié de journalier.

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18 juillet 2015

Bapaume - Engels

  • ENGELS - Bapaume

1865 à Liège
° 20.6.1820 à Lokeren ; + 3.7.1893. Déclaré photographe résidant à Liège à la naissance d'une fille à Bruges en mai 1865. Précédemment enregistré comme colporteur résidant à Liège à diverses reprises de novembre 1855 à juin 1868 et à Malines en mai 1862. C'est le parcours typique de un photographe ambulant ou forain, à titre principal ou secondaire. En 1880, Engels s'inscrit comme photographe d'atelier à Bapaume [Pas-de-Calais, F] en collaboration avec ses enfants ; puis sur CV, "Engels frères & soeurs". Lorsque la famille s'installe à Gouy-sous-Bellonne [Pas-de-Calais, F] en 1887, les enfants d'Engels continuent à travailler comme photographes ambulants ou forains alors qu'il semble avoir pris sa retraite.

  • Adresse : Champs de Foire
  • Date début d'activité : 1880

Originaires de Belgique, deux générations de la famille Engels ont été photographes dans le Pas-de-Calais à partir de 1880 et au moins jusqu’en 1911. On ignore s’ils exerçaient ce métier en Belgique avant de s’installer en France.

Benoni Engels (1820 à Lokeren - Belgique / 1893) et son épouse Isabelle Constance Van Miegroet (?-1900) ont eu au moins cinq enfants nés en Belgique : - Mathilde Henriette née à Zele en 1848 ; - Constance Catherine née à Zele en 1849 ; - Collette Victorine née à Liège en 1855 ; - Joseph né à Liège en 1860 ; - Hortense Mathilde née à Bruges en 1862. En 1881, Benoni Engels, photographe est recensé à Bapaume (Pas-de-Calais) et travaille avec ses enfants. Quand Collette Victorine Engels, photographe, se marie le 28 novembre 1885 avec un cultivateur de Gouy-sous-Bellonne (Pas-de-Calais), ses parents se déclarent rentiers. En 1886, ce sont leurs quatre autres enfants qui sont recensés comme photographes à Bapaume. L’année suivante, toute la famille s’installe à Gouy-sous-Bellonne, une commune de 850 habitants située à 30 kilomètres de Bapaume. Ni dans l’une, ni dans l’autre de ces communes, les trois soeurs Engels et leur frère Joseph n’auraient pu se constituer une clientèle suffisante. On imagine qu’ils étaient surtout photographes itinérants. Certaines photos signées Engels ne mentionnent comme adresse que le champ de foire ; lieux où les professionnels ambulants s’installaient les jours de marché. La fille de Joseph est née le 26 août 1889 à Sedan (Ardennes) où son père, accompagné d’un autre photographe Emile Langlais, était de passage. Joseph Engels, photographe ambulant, est décédé le 13 avril 1890 à Gouy, à ’âge de 30 ans. Après son décès, les portraits ne sont plus signés Engels Frère et Soeurs mais Engels Soeurs. En 1911, Henriette et Constance sont toujours photographes à Gouy.

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18 juillet 2015

Béthune - E. Moussier

  • Eugène. MOUSSIER - Béthune
  • Adresse : Rond Point de la Porte d' Arras - Atelier au rez de Chaussée
  • Date début d'activité : 1880 

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Louis Eugène Moussier est né le 2 septembre 1830 à Paris. Dans la capitale, son père, Pierre Louis Moussier (1799-1872) a été marchand-bimbelotier, orfèvre et inventeur. Il faisait des tournées en province pour vendre au déballage des produits fabriqués à Paris. Pierre Louis Moussier était père de trois garçons qui seront tous photographes. Formé sans doute dans les ateliers de la capitale, Eugène débute sa carrière à Paris.

PARIS : Au dos du portrait reproduit sur ce site, le photographe précise qu'il a un atelier à Rouen (Seine-Maritime) et un autre 191, avenue de Neuilly dans le 16e arrondissement.

ROUEN : Eugène Moussier s’installe place Saint-Sever à Rouen à une date qui reste à préciser. Ses portraits sont signés « E. Moussier Peintre-Photographe de Paris « puis « Moussier Frères » après qu’il a été rejoint par ses cadets Gustave et Casimir. Celui-ci aurait quitté l’atelier familial en 1873. Eugène et Gustave travaillent ensemble à Rouen au moins jusqu’en avril 1874, date du décès de leur mère.

BETHUNE : En 1875, Eugène s’en va et part à Béthune. C’est dans cette ville du Pas-de-Calais que ses parents étaient domiciliés en 1872. Eugène Moussier devait connaître la région. En 1866, un Eugène Moussier, photographe, âgé de 35 ans, est recensé à Aire-sur-la-Lys (Pas-de-Calais) ; ce qui prouve que le photographe rouennais ne se cantonnait pas à la Normandie. Agé de 46 ans, Eugène Moussier se marie (1) à Béthune le 17 octobre 1876 avec Oliphie Adeline Thoilliez qui n’a que 16 ans. Le couple aura plusieurs enfants. La dernière naîtra le 4 septembre 1893. Elle ne marchait pas quand son père décède le 20 juillet 1894 à l’âge de 63 ans.

(1). Bien qu’il n’en soit pas fait mention sur l’acte de mariage, il est possible que Louis Eugène ait été marié une première fois. Le 18 mai 1853, à Paris, il aurait épousé Camille Comte. (Source : fichier de l’état civil reconstitué)        source portrait sépia

18 juillet 2015

Lille - DRAPPIER

  • Henri DRAPPIER - Photograveur et Portraitiste
  • Adresse : 7 Place Saint Martin / 7 rue d' Amiens

Henri Drappier est né, de père inconnu, le 26 août 1848 à Schaerbeck, province du Brabant (Belgique). Il n’a que 8 ans quand sa mère l’abandonne. Difficile de savoir qui s’est occupé et a éduqué cet enfant afin que plus tard il devienne photographe. Au milieu des années 1870, il exerce 20, rue de Bordeaux à La Roche-sur-Yon (Vendée). Au dos de ses photos,on trouve la mention "Photographie & Chimie de La Roche-sur-Yon". Le 26 octobre 1876, il épouse une ouvrière, Octavie Robert. Le photographe Emile Amiaud, ami de l’époux,, est témoin. Le couple quitte La Roche-sur-Yon après le mariage. Vingt ans plus tard, on retrouve Henri Drappier, photographe à Lille (Nord). Qu’a-t-il fait entre temps ? On ne sait.

Il est mort à Lille le 14 mars 1931  (source : http://www.portraitsepia.fr )

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18 avril 2021

Calais - Auguste GAUTRON

  • Auguste GAUTRON
  • Debut Activité vers 1890
  • Adresse à Calais : 50 Bis Rue Neuve / 164 Boulevard Lafayette (jusque 1895)
  • Atelier à Saint Omer : 62 Rue de la Poissonnerie (1896 à 1901 source recensement de Saint Omer)
  • Atelier à Bergues : 22 Rues des Dames

Né vers 1850, Auguste Gautron est marié à Elise Flahaut. 

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L' Atelier des photographes du XIX siecle
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