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L' Atelier des photographes du XIX siecle
23 octobre 2011

Dessendier

  • DESSENDIER - Paris
  • Début Activité : 1886
  • Enseigne : Grande Photographie Générale
  • Maison Mère à Roanne 82 et 8 Rue Nationale
  • Adresse Succursale Paris : 235 Boulevard VOLTAIRE vers 1900
  • Atelier de Peinture et de Restauration de Tableaux / photographie
  • Dessendier est le directeur de la Manufacture Autotype Francaise (Machine à Vapeur), la plus importante d' Europe de Tirage au Charbon.               Plus sur la Famille Dessendier 

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3 avril 2020

Ile de Jersey - Ernest Baudoux

  • Ernest BAUDOUX - Ile de Jersey
  • Photographe actif à Jersey (GB) de 1869 à 1887. - Ateliers à Jersey : 56 New Street (1869-1875) et 59 New Street (1876-1887). - Associé à ses fils ("Baudoux & Sons") à partir du milieux des années 1880
  • Adresse Saint Helier : 56 / 59 New Street

Originaire de France, Ernest Baudoux (1828-1897) a travaillé à Jersey à partir de 1869 au 11 Craig Street et 51½, 56 et 59 New Street. En 1885, son fils l'a rejoint dans les affaires, mais deux ans plus tard, ils ont vendu John Stroud , un jeune photographe de Londres, qui à son tour a vendu son entreprise, y compris de nombreux négatifs sur plaque de verre de Baudoux, à Albert Smith . Au cours de sa dernière année d'activité, il a ouvert une succursale à Guernesey.

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14 juin 2020

Timbres EMPIRE

Des années 1852 à 1862 en France, ce cachet donne une oblitération en forme de losange composé d'un grand nombre de points noirs. Sur lettre, ce cachet est toujours accompagné d'un cachet dateur qui est supposé faire apparaitre la date d'envoi de façon lisible. A cette époque, le Pas de Calais avait le numero 61.

  • Le cachet Petits Chiffres

Le cachet Petits Chiffres a pour fonction d'oblitérer le timbre-poste pour qu'il ne soit plus réutilisable.  Par la suite, ce losange de points comporte le numéro d'ordre du bureau de départ. Plus précisément, à partir de 1852, l'administration met en service des cachets oblitérants à petits chiffres. Pour Audruicq 173, Ardres le numéro est 114 , Calais Saint Pierre 3246 et Calais 583

CALAIS

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  • Le cachet Gros Chiffres

À partir de 1862, l'administration décide d'utiliser des cachets à gros chiffres qui permettent d'identifier le bureau émetteur. Elle établit une nomenclature qui est mise en service en décembre 1862. Première date connue d'utilisation du cachet gros chiffres sur lettre : le 19 décembre 1862. Pour Audruicq 218, Ardres le numéro est 146 , Calais Saint Pierre 3816 et Calais 698

CALAIS

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CALAIS - SAINT PIERRE

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AUDRUICQ

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6 juin 2020

Timbres Étrangers sur Calais

  • Royaume Uni

L' Armada au large de Calais en 1588

L'Invincible Armada est une très grande flotte de guerre espagnole qui en 1588 était destinée à envahir l'Angleterre. Malmenée par les tempêtes et harcelée par la marine anglaise, elle dut renoncer au débarquement et revint en Espagne avec la moitié des navires.

Le qualificatif d'« Invincible » peut être dû à l'effet que donnait l'importance de la flotte au moment du départ, où rien ne semblait pouvoir lui résister. Mais il se peut que l'appellation soit aussi ironique et ait été donnée après le désastre.

Devant Calais, l'Armada avait encore une supériorité écrasante sur les 200 barques des Anglais; mais dans la nuit du 6 au 7 août, une panique terrible a lieu, à cause des brûlots que l'ennemi est venu attacher aux flancs de quelques navires; on coupe les câbles, on arrache les ancres ou on les abandonne et l'Armada, poussée par le vent, va jusqu'en face de Gravelines

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Feu sur l'invincible Armada espagnole

 

Animation Vidéo de l' Armada

  • Espagne

Montserrat Tresserras i Dou - 1ere nageuse a faire la traversée de la manche à la nage

Elle a été une pionnière de la longue distance et la première nageuse de toute l'Espagne à avoir traversé le détroit de Gibraltar en 1957. Elle a également traversé la Manche dans les deux sens, de l'Angleterre à la France (Calais-Douvres), en compagnie de l'asturien José Vitos ( 29 Aout 1958) et de la France à l'Angleterre (1961), et elle fut la première femme au monde à le faire.

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  • Rodhesie 

Les Bourgeois de Calais de Rodin (Burghers of Calais)

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  • République du Congo

Le phare de Calais

Calais

30 avril 2020

Hazebrouck (Nord) - Victor BUTIN

  • Victor BUTIN - Hazebrouck
  • Date de début d'activité : 1901

Fils d’un tailleur de pierre, Victor Joseph Butin est né le 17 septembre 1876 à Paris (18e). En 1901, lors de son mariage à Saint-Quentin (Aisne), il est photographe -sans doute employé- dans la capitale. Il quitte Paris en 1904 et travaille successivement à Lille (Nord), Arras (Pas-de-Calais) et Chauny (Aisne). En mai 1910, il est photographe à Hazebrouck (Nord) avant de s’installer en 1918 à Nantes, passage Pommeraye. Il y exerce jusqu’en 1924 puis vient à Tours (Indre-et-Loire). Le 20 janvier 1925, il succède à Georges Faurie dans son commerce de photographie 59, rue Nationale, à l’enseigne « Photographie d’Art ». Après son décès, survenu le 28 novembre 1941, sa veuve, née Marguerite Trigallez (1883 né à Desvres -1950) lui succède (Source Portrait Sépia)

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2 décembre 2017

Angoulême - J. Nunez

  • J. NUNEZ - Angoulême
  • Enseigne : Photographie Espagnole
  • Adresse : 19 Rue de l' Arsenal
  • Succursale de la Maison MAURY

Joseph Célestin de la Très Sainte Trinité Nunez est né à  Grenade (Espagne) le 7 avril 1848. Le 24 septembre 1877, photographe à  Angoulême (Charente,) il épouse une institutrice. Jusqu'en 1881 au moins, Nunez est domicilié 16, rue du Sauvage sans que l'on sache s'il était employé ou photographe à  son compte. Il s'installe ensuite au 9,rue de l'Arsenal dans l'ancien atelier de Jules Maury, sous l'enseigne de la "Photographie Franco-Espagnole". Nunez est mentionné dans l'Annuaire général et international de la photographie jusqu'en 1893. En 1895, c'est Berthe qui a repris l'atelier.

Source : http://www.portraitsepia.fr/photographes/nunez/ 

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18 mai 2020

Buis les Baronnies- Veux

  • Henri VEUX (1874-1947) - Buis les Baronnies
  • Le photographe buxois Henri Veux fut un précurseur buxois, éditeur de quelques cartes postales de belle facture.
  • Nombre de ces cartes postales ont été publiées entre 1900 et 1940. La plupart des paysages, personnages qui apparaissent sur ces cartes ont été photographiés au début du siècle par les photographes buxois Henri Veux et Adrien Girard, pour les plus connus. Les maisons d’édition Imbert, et Court au Buis ont racheté les droits de ces photographies de 1900-1910, pour les réediter ultérieurement. C’est pourquoi, les photographies peuvent être datées de 1900, 1905 ou 1910 environ et n’avoir été postées qu’en 1915, 1920, voire 1930

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HISTOIRE D’UN HOMME : HENRI VEUX (1874-1947)

Joseph Henri Victor VEUX est né à Buis les Baronnies le 4 avril 1874. Issu d’une famille de cultivateurs, il épouse le 20 juillet 1901 Philomène Joséphine BONNEAUD de Sainte-Jalle. Dans sa maison boulevard des Aires, qu’il occupe dès 1914, il exerce le métier de peintre en bâtiment spécialisé dans les décors en trompe l’œil. Mais Henri Veux est davantage connu pour les photographies qu’il laissa aux futures générations, en particulier, de nombreux portraits, que des familles conservent encore dans leurs vieux albums.

Ainsi, à la fin du XIXè siècle, vers 1895 probablement, Henri Veux trouva dans le développement de la photographie et de la carte postale matière à concrétiser ses aspirations de photographe et d’artiste. II contribua ainsi dans le courant de son siècle à démocratiser cet art visuel en créant sa propre maison d’édition et sa marque de fabrique « Cliché H. Veux, photo-éditeur ». Lors de la réfection du bâtiment en 2001, vingt-sept plaques de verres ont été découvertes et déposées aux Archives départementales de la Drôme. Leurs clichés sont consultables sur CD-Rom aux Archives communales et intercommunales de Buis-les-Baronnies. Parmi eux, des photos inédites telles qu’une prise de vue du Buis datée d’avant 1900 et une photographie de la grille de l’ancien hospice du Buis, quand celui-ci se trouvait (avant 1914) dans l’ancien couvent des Ursulines. Henri Veux décédera au Buis le 15 avril 1947, à l’âge de 73 ans.

UN PHOTOGRAPHE BUXOIS A LA FIN DU XIXè SIECLE

Au début de sa carrière, Henri VEUX travaille certainement avec un appareil photo à trépied, en cherchant à fixer les images sur plaques de verre. Il édite quelques prises de vues générales du Buis et des portraits sous forme de cartes-photos. 1900-1905 est l’âge d’or de ce support. Il était courant de marquer les évènements familiaux en faisant appel au photographe et de sortir quelques cartes à destination de la famille. Ainsi, il réalisa de nombreux portraits sous ses formes les plus diverses : groupes, couples, fêtes familiales. La plupart de ces photographies appartiennent à des collectionneurs privés. Réalisées souvent en extérieur, il utilisait un décor assez simple inspiré probablement de gravures plus anciennes.

 Henri VEUX se déplaçait également dans les familles pour les photographier. Le décor n’est plus artificiel. Les pauses semblent plus naturelles. Son regard s’intéresse d’avantage au cadre de vie familial. Il photographie des familles plus modestes devant leur ferme ou dans la campagne environnante. Henri Veux ne s’intéressa pas seulement à la vie buxoise ; il parcourut aussi le territoire des Baronnies. Il photographia des inconnus locaux et des scènes de vie : pique-nique à « Eygasteau en 1908 », mariés des années vingt, jeune femme au charmant sourire en pantalon bouffant devant son vélo …. Ces documents présentent un intérêt singulier pour l’historien, car ils sont les témoins d’un art de vivre, d’une manière de se vêtir il y a plus d’un siècle.

Article extrait d’une étude plus complète réalisée par Christine Jourdan, responsables du service des Archives Communales et Intercommunales à Buis les Baronnies.

17 juin 2020

Napoléon 1er à Sainte Hélène (Timbres)

  • Enveloppe : First Day Cover du 5 Mai 1971 Poste Anglaise de Sainte Hélène

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Circonstances de la mort de Napoléon

Alité depuis le 17 mars, l'empereur est atteint de douleurs atroces à l'estomac. Il accepte de moins en moins les aliments, les vomissements réguliers l'affaiblissent de jour en jour. Il se lève le 1er mai 1821 mais une faiblesse l’oblige à se faire recoucher. Il a fait placer en face de son lit le buste de son fils, sur lequel il a constamment les yeux fixés. Le 3 mai, les symptômes deviennent plus alarmants. Le 4 mai, on a quelque espoir à la suite d'une forte dose de calomel administrée par son médecin anglais Arnott et deux de ses confrères, mais contre l'avis du médecin corse François Antommarchi. L'effet qui en résulte est toutefois extrêmement violent1.

Durant la nuit du 4 au 5 mai, Napoléon est dans un état comateux. À peine conscient, il semble qu'il prononce les mots « tête… armée… ». Dès le matin, ses compagnons se réunissent à son chevet, se doutant bien que cette journée-là sera la dernière. Il expire le 5 mai 1821 à 17 h 49, étant âgé de cinquante et un ans, huit mois, vingt jours.

Le lendemain, le gouverneur de l'île sir Hudson Lowe vient en personne avec son état-major et le commissaire français, le marquis de Montchenu, constater officiellement le décès du « général Bonaparte ». En sortant de Longwood, il déclare à son entourage : « Hé bien, Messieurs, c'était le plus grand ennemi de l'Angleterre et le mien aussi ; mais je lui pardonne tout. À la mort d'un si grand homme, on ne doit éprouver qu'une profonde douleur et de profonds regrets. »

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  • Enveloppe : First Day Cover du 23 Février 1980 Poste Anglaise de Sainte Hélène - Centenaire de la visite de la princesse Eugénie

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  • Wellington séjourna à Saint Hélène à la maison des "Briards" en 1805, dix ans plus tard ce sera Naopoléon.

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8 décembre 2018

Vue de Calais en gravure par Morier - Paris

  • E MORIER - Paris
  • Début d' activité : 1868
  • Adresse : 52 Rue Saint André des Arts
  • Associé à A. Taupin
  • Editeur de Photographie réalisées par llanta et Taupin, travaille avec Vige , en relation avec Alfred Chardon en début de Carrière
  • Collection de Gravure sur photographie sur la France
  • Alfred CHARDON JEUNE
  • Graveur et Photographe - Paris
  • Date de début d'activité : 1859
  • Adresse : 3 Rue Racine
  • Participe Exposition SFP de 1861 et Exposition Universelle de 1867 

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19 juin 2020

Timbres NADAR

  • Hommage a NADAR - En vente le 6 Avril 2020...

Premier jour le Vendredi 3 avril 2020
Oblitération illustrée 1er jour à PARIS au Carré d’Encre
Valeur faciale : 5,60 € 
Affranchissement de 4 lettres prioritaires jusqu'à 20g vers l'international
Timbre verticaux - Dentelure : 13
Dimensions totales: 143x135 mm
Couleurs : sépia et rouge
Imprimé en héliographie à 4 timbres par bloc-feuillet
Émis à 350 000 exemplaires

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  • Timbre Nadar de 1999 

Premier jour le Samedi 10 juillet 1999
Oblitération spéciale 1er jour à Libourne
Vente générale le Lundi 12 juillet 1999
Retiré de la vente le Vendredi 14 avril 2000 
Valeur faciale : 3,00 F 
Surtaxe : 0 F 60 au profit de la Croix-Rouge française
Timbre horizontal - Dentelure : 13
Format image: 36x21,45 mm - Dimensions totales: 40x26 mm
Couleurs : jaune, brun-rouge, brun et bronze
Imprimé en héliographie à 50 timbres par feuille
Émis à 963 790 exemplaires - voir les tirages de 1999

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21 octobre 2018

Maubeuge - Paul Edouard GARCETTE

  • Paul Edouard GARCETTE - Maubeuge
  • Date de début d'activité : 1898
  • Adresse : 50 Rue de l' Esplanade / 26 Rue de France
  • associé à Werquin

Né le 28 août 1875 à Armentières, Nord et décédé le 25 juin 1934 à Forges-les-Eaux, Seine-Maritime, à l’âge de 58 ans  / Marié le 20 juillet 1896 à Valenciennes avec Eugenie Pauline DISCRET puis ont divorcé ( 6 enfants) , Remarié le 17 août 1928 à Le Havre, Seine-Maritime, avec Irma Pauline Marguerite CROISEY-LENORMAND

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1 novembre 2018

Louviers - Ferdinand Postel

  • Ferdinand POSTEL
  • Date de début d'activité : 1873
  • Enseigne : Atelier Photographique
  • Adresse : 41 rue du Neubourg , puis au 32 rue de l’Hôtel de Ville à Louviers
  • Succursale à Villers Sur Mer 
  • Atelier à Rouen/ Liseux / Bernay
  • Associé à DOESNARD Jules (1826-1911) Peintre et photographe. 13 rue Rollon à Rouen et boulevard de la Chaussée à Lisieux, succursales à Bernay et Honfleur (1872). 57 rue Jeanne-d'Arc. Vers 1873-1874. Expositions à Lisieux (1858), Le Havre (1868), Isigny et Alençon

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Peu d’informations biographiques ayant été retrouvées, la figure de Ferdinand Postel a pu être retracée à travers son parcours professionnel et ses créations artistiques.

Né en 1844 d’une famille bourgeoise de Louviers, il s’initie tôt à l’art de la photographie.
En 1873, à l’âge de 27 ans, il s’associe à Jules-Auguste Doesnard (1826-1911) peintre et photographe qui « enseigna des cours de dessin et de peinture à toute une pléiade d’artistes peintre Félix-Joseph Barrias (1822-1907), frère du sculpteur.

Il fut conservateur du Musée municipal de Lisieux en 1856. Il changea de carrière professionnelle en 1856 et se consacra à sa nouvelle passion : la photographie. On lui doit la création du Musée cantonal de Lisieux, puis quatre ans plus tard celle de l’École de dessin de Lisieux. Doesnard fait figure de photographe aguerri, puisqu’il remporte en 1856 et 1863 divers prix régionaux. Le jeune Postel, dont on peut supposer qu’il a été son élève, s’associe avec lui. Leurs noms sont visibles au dos d’une photographie cartonnée, « Jles DOESNARD & POSTEL / peinture et photographie d’art ».

Plusieurs ateliers sont mentionnés, le premier à Rouen, au 57 rue Jeanne d’Arc, le second à Lisieux, sur le boulevard de la Chaussée. Il y est fait mention de deux succursales, à Honfleur et à Bernay. Par la suite, Postel s’installe dans sa ville natale, Louviers, pour y mener indépendamment son activité. Il aménage successivement un atelier au 41 rue du Neubourg , puis au 32 rue de l’Hôtel de Ville.
Ferdinand Postel se marie avec Claire Rousseau (1866-1911), professeur de piano. Le couple vit à Louviers l’année puis s’installent en 1880 à Villers-sur-Mer à la Villa de Montaut, sur la digue-promenade. Au fond de la parcelle, il installe un nouvel atelier de photographie qu’il met en partie à disposition des amateurs. Henriette Postel, leur fille née en 1896, se mariera à Pierre Fournet, lui aussi photographe.

Postel décède en 1917
pris de profil, constitue le seul document connu à ce jour. On y voit un homme à la coiffure et la barbe soignées. Il s’agit sans doute d’un autoportrait. 

En 1898, les « 50000 adresses du Calvados » recensent un seul photographe à Villers Sur Mer, « F. Postel. Près les bains ». Cet atelier sera installé au sein du jardin de la Villa de Montaut, entre le casino et l’établissement des « bains chauds », où il jouit d’un excellent
emplacement. En effet, la clientèle aisée n’hésite pas à se faire « tirer le portrait » à l’occasion d’une promenade le long de la digue. Un premier atelier est monté , composé d’une baraque en bois équipée d’une façade vitrée. La construction est assez rudimentaire et ressemble aux nombreux cabanons aménagés le long de la mer. Sur un panneau installé en hauteur est peinte l’inscription « PHOTO ».
Afin de mieux répondre à la demande toujours croissante de la clientèle, une extention est construite au devant. Ce petit bâtiment est composé d’une façade étroite et d’un étage mansardé éclairé par trois lucarnes. Nous supposons qu’il s’agit d’un bureau ou d’un espace d’accueil. Son commerce gagne en visibilité ; les trois façades sont recouvertes de nouvelles publicités : « PHOTOGRAPHIE POSTEL, FOURNITURES ET TRAVAUX POUR LES AMATEURS ». Des vitrines sont accrochées au devant, elles présentent aux passants
ses différents travaux. La belle saison terminée, l’affichage est remisé. Le studio sera démoli dans les années 1920-1930 et laissera place à des cabanons de plage.

Source : FAUTEUIL DE POSTEL (A télécharger)

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14 août 2020

Bailleul - Hazebrouck (Nord) - Ypres (Belgique) : Antony PERMEKE

  • Léontine et Antony PERMEKE - ses deux fils, Maurice et Robert
  • Dates de lvie : Poperinge, 7,9,1858 - Ostende, 18.6.1923
  • Enseigne : Photographie Industrielle et Artistique
  • Activité : 1850-1899
  • Adresse à Ypres : 11 Rue au Beurre
  • Adresse à Bailleul : Rue d' Occident
  • Adresse à Hazebrouck : Grand Place
  • Successeur: Antony Maurice

Leontine Permeke (tante du peintre Constant Permeke et sœur de l'artiste Henri ) est issue d'un milieu artistique à Poperinge et a été la première femme photographe d'Ypres. En mars 1887, elle s'installe au 7 Rijselstraat où elle ouvre avec son mari Honoré Antony une maroquinerie. Là, le célèbre photographe bruxellois August Despret a ouvert sa succursale. De lui, elle apprendrait le métier de photographe. Elle n'est devenue photographe indépendante que lorsqu'elle a déménagé au 11 Boterstraat.

Au dos de certains CDV, Antony est en minuscules et PERMEKE en majuscules. La famille Antony - Permeke était également domiciliée à cette adresse. Honoré Antony - Permeke a été décrit comme "représentant" d'Auguste Despret à cette adresse (Journal d'Ypres, 11.3.1893), par la suite il a annoncé qu'il avait pris la propriété le 15.4.1897 après la mort de Despret "pour qui il avait voyagé pendant 12 ans". "Etablissement spécial pour les grandes commandes photographiques; copie et agrandissement en carbone ou peinture".  

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13 septembre 2020

Lille - Augustin ELSHOUD

  • Augustin ELSHOUD - Lille Fives
  • Adresse : 166 Rue Pierre Legrand 

Augustin Marie Henri Elshoud est né à Anvers (Belgique) le 27 juillet 1865. A 18 ans, il est orphelin de père et de mère. Dessinateur, il s’installe à Lille (Nord) en 1892 et s’y marie l’année suivante ; il a pour témoin le photographe Louis Delattre. Le couple vivra à Lomme (Nord) puis à Lille où leur fils Edgard naîtra le 3 janvier 1900 au 203ter, avenue de Dunkerque. Bien qu’il soit qualifié de dessinateur sur les actes de naissance de ses enfants, Augustin Elshoud est en réalité employé en tant que premier retoucheur dans les meilleurs ateliers lillois. En 1900, collaborateur du photographe Zarski, il obtient une médaille de bronze à l’Exposition universelle de Paris. Ses compétences lui valent d’être recruté en 1906 par Albin Raillon, photographe à Saint-Omer (Pas-de-Calais). Raillon avait commencé sa carrière comme retoucheur à Paris chez Eugène Pirou. En 1900, associé à son frère, il ouvre un atelier 85, rue Carnot à Saint-Omer qu’il quitte en juin 1905 pour s’installer à Calais. Il confie la gérance de son atelier audomarois à Elshoud qui y opérera jusqu’à l’automne 1911. On suppose que c’est après avoir quitté Saint-Omer, qu’Elshoud a travaillé à son compte à Lille dans un atelier situé 207, avenue de Dunkerque mais on est peu renseigné sur sa carrière de photographe dans le Nord. En mars 1936, quand son fils Raymond, cinéaste à Paris, se marie, Augustin Elshoud est photographe, domicilié à Saint-Amand (Nord).

Source : catalogue de l’exposition "Les photographes à Saint-Omer de 1839 à 1914" bibliothèque de l’agglomération.

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3 avril 2019

Fourmies - André Ferez

  • André FEREZ - Fourmies
  • Adresse : 14 Grande Rue
  • Ancienne Maison : MARCUS

André Edmond Férez est né le 1er octobre 1874 à Juvigny (Aisne). Son père, Laurent Léon Férez (1847-?) après avoir été professeur puis comptable, avait ouvert un atelier de photographie à Hirson (Aisne). Il formera son fils. Celui-ci, après s’être marié le 26 octobre 1898, s’installe à Fourmies (Nord) où il succède à Marcus. Mobilisé en 1914, André Férez est fait prisonnier, il ne sera rapatrié en France qu’après l’Armistice

Conscription - Classe 1894, immatriculation 433, régiment de sapeurs pompiers, sapeur de première classe le 30 juillet 1896. Caporal de 2 eme classe le 22 juillet 1896. Caporal de 1 ère classe le 26 avril 1897. Sergent le 11 mai 1898. le 2 août 1914: Mobilisation - Parti aux armées le 16 août 1914. Fait prisonnier â maubeuge le 07 septembre 1914. Lieu de détention â friedrischfeld. Rappatrié armistice, 4 eme régiment d'infanterie 

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3 avril 2019

Anor - Eugène Kirsch

  • Eugène KIRSCH - Anor
  • Enseigne : Grande Photographie de l' Avenir
  • Photographe des sauveteurs de l aisne et bretons
  • Adresse à chauny : Place de l' hotel de ville 
  • Adresse à Anor : Hotel de la Cloche d' Or
  • Adresse à La Fère : 14 Place de l' Esplanade
  • Adresse à Tergnier : 6 Boulevard Gambette

Eugène Louis Kirsch est né le 27 janvier 1864 à Hirson (Aisne) où son père Henri Kirsch (1825-1885) exerçait le métier de photographe avant d’ouvrir un atelier à Chauny (Aisne) où il sera actif une vingtaine d’années. Après le décès d’Henri Kirsch le 16 janvier 1885, Eugène remplace son père à Chauny et dans les succursales qu’il avait ouvertes à La Fère et à Tergnier (Aisne). Sa présence à Chauny est attestée au moins jusqu’en juin 1891 (décès d’un enfant sans vie). En mars 1893,quand naît sa fille unique, il exerce à Anor (Nord) commune d’où était originaire son épouse. Dans cette commune de 4 600 habitants, sa clientèle devait être restreinte. En octobre 1895, il est placé en liquidation judiciaire. Eugène Kirsch quitte le Nord et s’installe à Chaumont (Haute-Marne) où il est recensé rue de Buxereuilles en 1896. Il ne semble pas qu’il y soit resté longtemps. Renonçant à travailler à son compte, il a sans doute été employé plusieurs années dans les ateliers de la capitale. En 1903 environ, il devient président de la Société de secours mutuels des employés en photographie et parties similaires. Son activité dans le domaine de l’assistance et de la prévoyance sociale sera récompensée par plusieurs décorations. Il est fait chevalier de la Légion d’honneur en 1919 puis officier en 1925. Le jeune photographe de province a mué en un notable parisien : adjoint au maire du XIe arrondissement ; conseiller du commerce extérieur ; agent général des Etablissements Poulenc Frères...

Eugène Louis Kirsch est décédé en 1943 à Paris (XIe)  Source : Base Leonore - Archives nationales

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24 octobre 2020

Carte Stéréotype : Cafés Van Zuylen Liège (Belgique)

  • Date : 1905

C'est en 1804 que Bernard van Zuylen ouvre un commerce de cafés et d'autres denrées tropicales. Les affaires marchant bien, en 1827, il s'installe dans une maison patricienne de Féronstrée datant de 1658.

En 1920, la marque « Chat Noir » est créée et la société acquiert d'autres sociétés de torréfaction dont Clé d'Or. La maison fut détruite par un bombardement en 1945 et la société Van Zuylen Frères s'installa provisoirement en Hors-Château jusqu'à l'acquisition en 1953 d'un terrain de l'Exposition de l'eau de 1939 à Liège, non loin de la brasserie Piedbœuf à Jupille où les affaires prirent une grande extension. Elle y produit aussi du café en grains, du café moulu. Elle fut la première société belge à produire du café soluble et, en 1961, à utiliser des emballages sous vide.

En 1971, elle acquiert Hag Belgium. En 1979, suite à des gelées au Brésil la société connait des difficultés financières, entre dans le giron de Jacobs dont le siège est à Zurich et subit une première restructuration. En 1985, les marques Chat Noir et Clé d'Or sont vendues et on produit à Liège d'autres marques du groupe (Jacques Vabre, Grand'Mère et Hag). 1990, Kraft Foods prend le contrôle de Jacobs-Suchard-Côte d'Or. En 2000, on parlera de Kraft Food Belgium1.

On doit le logo de la marque au graphiste français Cassandre (1901-1968) et il existe aussi une affiche célèbre due à l'affichiste belge Julian Key (1930-1999).

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31 décembre 2020

DEVESSET (Ardèche) - Arthur CHAGNIAL

  • Arthur CHAGNIAL - Photographe Amateur à Devesset Ardèche

Année de naissance : 1872 - Commune de naissance : Saint-Etienne (Loire)
Département de résidence : Ardèche - Commune de résidence : Devesset
Bureau de recrutement : Privas 
Degré d'instruction : Sait lire, écrire et compter
Matricule n°2125

Matricule n°2125 - 1892 Archives départementales de l'Ardèche_page-0001

Conscrit de Saint-Jeure-d'Andaure (Ardèche)

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30 décembre 2020

FDC Timbre "LE TOUQUET"

  • LE TOUQUET - PARIS PLAGE

Premier jour le Samedi 1er septembre 1962 au Touquet (Pas-de-Calais)
Vente générale le Lundi 3 septembre 1962 et Retiré de la vente le Dimanche 31 décembre 1967 
Valeur faciale : 1,00 F 
Timbre horizontal - Dentelure : 13
Format image: 36x21,45 mm - Dimensions totales: 40x26 mm
Couleurs : bistre vert et bleu
Imprimé en taille douce rotative 3 couleurs à 50 timbres par feuille
Émis à 193 700 000 exemplaires 

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6 janvier 2021

Calais - Terrain Foot du Racing Club

  • marché aux chevaux sur le terrain du RACING CLUB de Calais

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En 1902, la fusion entre le Sporting Club et le Football Club donne naissance au Racing Club de Calais. Adoptant des couleurs noir et or, le surnom de « Canaris » est rapidement adopté.

Le R.C. Calais signe d'excellents parcours lors des premières éditions de la Coupe de France en prenant part aux quarts de finale de l'épreuve 1921, aux huitièmes en 1922 et seizièmes en 1923 en football, 1924, 1925, 1926 et 1930. En 1921, Calais se paie même le luxe de sortir le tenant de la Coupe, le CASG Paris en huitièmes de finale (3-2). Le club rejoint les rangs professionnels en 1933.

Les « as anglais » Malonney et Allison s'illustrent particulièrement. Faute de moyens financiers suffisants, Calais préfère renoncer à son statut professionnel dès 1938. De retour dans la sphère amateur, Calais rejoint la CFA en 1962 à la suite d'un titre de champion de la Division d'Honneur de la Ligue du Nord. Évoluant en CFA durant quatre saisons, Calais enlève son groupe, ratant l'accession en finale nationale à la différence de buts (1965). C'est quasiment le même groupe de joueurs qui, sous la houlette d'Albert Dubreucq, signe ces belles performances en DH puis en CFA. Citons ici Forcioli, Godzek, Duville et Plancque. Dès la saison suivante, les Calaisiens plongent et retrouvent la Division d'Honneur de 1966 à 1969. Champion de la Ligue du Nord en 1969, Calais, sous la direction du président Viniacourt et de l'entraîneur Claude Plancque, rejoint la CFA pour sa dernière édition.

L'Union Sportive est créée au sortir de la guerre en 1947, par la fusion des clubs du Bicoque et de la Nouvelle France. Évoluant au stade Henri Louchez, l'US est entrainée par Robert Noel (Boul) et Théo Clouet. Le club forme à partir des années 1950 de nombreux jeunes et participe à ce titre à la coupe Gambardella avec de bons résultats. Robert Noel emmène l'équipe en division d'honneur (4e niveau national) et en 32e de finale de coupe de France.

La fusion intervient en mai 1974 entre le Racing Club et l'Union Sportive. Les couleurs du Crufc sont l'amalgame de celle des 2 anciens clubs, Calais évolue dans le stade Julien Denis jusqu'en 2008.

Julien Denis, sergent-major au 8e Régiment d’Infanterie; tué à l’ennemi le 15 août 1914, lors de la première bataille sur la Meuse à Dinant (Belgique). Il avait 28 ans. Il a été 2 fois international en 1908, au poste de demi centre. Il jouait au R.C.Calais. L’ancien stade de Calais porte son nom.

25 décembre 2020

Louis BLERIOT

  • Sangatte 1909

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 Timbre Poste Aérienne du 25e anniversaire de la traversée de la Manche par Louis Blériot (1872-1936), né à Dehéries, près de Cambrai

Vente générale en septembre 1934
Retiré de la vente le Mercredi 21 novembre 1934
Valeur faciale : 2,25 F
Affranchissement de la Poste-Aérienne
Timbre horizontal - Dentelure : 13
Format image: 36x21,45 mm - Dimensions totales: 40x26 mm
Couleur : lilas
Imprimé en Taille douce rotative à 25 timbres par feuille
Émis à 8 millions d’exemplaires 

 

Traverser la Manche dans les airs : le défi du  « Daily Mail »

À partir de 1906, le « Daily Mail », devient l’un des mécènes de la course à l’innovation pour la conquête des airs. Le quotidien britannique lance des défis avec des récompenses financières à la clé, qui poussent inventeurs et aviateurs à dépasser leurs propres limites et celles de leurs machines. En 1908, le journal propose ainsi 1.000 livres à quiconque réussira à traverser la Manche.

Trois concurrents se trouvent sur la ligne de départ : Hubert Latham et son aéroplane dénommé Antoinette, le comte de Lambert sur biplan Wright et Blériot avec le n° XI. Après l’échec de Hubert Latham, qui tombe à l’eau le 19 juillet 1909, Blériot tente la traversée le 25 juillet, décollant à 4 heures 41 minutes de Sangatte pour gagner la mer. Son moteur Anzani tourne parfaitement et lui permet d’atteindre une altitude de 80 mètres, hauteur qu’il va conserver durant les 40 kilomètres de la traversée.

1 JUILLET 1972 : CENTENAIRE de la NAISSANCE de LOUIS BLERIOT (Cambrai)

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 Premier jour le Samedi 1er juillet 1972 à Cambrai (Nord)

Vente générale le Lundi 3 juillet 1972 et Retiré de la vente le Vendredi 8 décembre 1972
Valeur faciale : 0,50 F et Surtaxe : 0,10 F au profit de la Croix-Rouge française
Timbre vertical - Dentelure : 13
Format image: 21,45x36 mm - Dimensions totales: 26x40 mm
Imprimé en taille douce rotative 3 couleurs à 50 timbres par feuille
Émis à 4,5 millions d´exemplaires et 3,7 millions de séries 

25 Juillet 2009 : CENTENAIRE de la TRAVERSEE - Mon Timbre à Moi de la Poste

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25 Juillet 2009 : CENTENAIRE de la TRAVERSEE - Timbre Officiel de la Poste

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25 Juillet 2009 : CENTENAIRE de la TRAVERSEE - Timbre Officiel du Conseil Général Pas de Calais

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15 avril 2021

Lille - Henri Mathé

  • MATHE - Lille - Quartier Saint Maurice
  • Date de début d'activité : 1895

Inscrit dans l'Annuaire Général de la photographie de 1896 à 1899.
Ateliers à Lille : 16 rue Saint-Firmin, 40 rue Nationale, 11 rue de Rivoli.
Atelier à Valenciennes : 3 Place d'Armes
Atelier à Tournai (Belgique) : 33 rue des Puits-l'eau (de 1904 à 1906)

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15 janvier 2021

Un chien - Bordeaux

  • Arthur LAIR - Bordeaux
  • Date de début d'activité : 1880

Alexandre Arthur Lair est né le 20 avril 1850 à Caen (Calvados) où son père (musicien ?) était de passage. Orphelin de père et de mère, il est marchand ambulant domicilié à Bordeaux (Gironde) quand il passe devant le conseil de révision. Après son service militaire, il se marie le 10 septembre 1874 à Bordeaux où il est photographe. Arthur Lair a plutôt le profil d’un photographe itinérant. Durant l’été 1880, on le trouve près de Narbonne dans l’Aude. En 1906, il est toujours photographe quand il est recensé à Langon (Gironde). (source Portraits SEPIA)

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22 février 2020

Valence - Meurisse

  • César Auguste MEURISSE (1831-1908) - Valence
  • Date début d'activité : 1869
  • Adresse : 5 Rue Saint Victor

VALENCE : Pendant tout l’hiver 1867-1868, "Le Courrier de la Drôme et de l’Ardèche" publie une annonce pour la photographie A. Meurisse à Valence (Drôme). Son atelier est situé rue Saint-Victor, près de la gare de petite vitesse. Le photographe y fait des portraits de toutes grandeurs, de la photographie hippique (chevaux et voitures) et des portraits après décès.(2)

(2) "Le Courrier de la Drôme et de l’Ardèche" . La première annonce est publiée le 14 novembre 1867 et la dernière le 30 janvier 1868. Consultable en ligne sur Lectura Plus - Portail du Patrimoine écrit et graphique en Auvergne-Rhône-Alpes.

PRIVAS : On trouve ensuite Meurisse dans l’Ardèche. Son fils Georges Félix naît à Privas le 12 août 1871. Le photographe accueille les Privadois dans son atelier situé Aux Bains de la Recluse - 32, cours du Temple. M. et Mme Meurisse et leurs deux enfants sont recensés à cette adresse en 1872.

(Source :Site Portraitsépia.fr 

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20 mars 2021

MÉDAILLE DU BAPTÊME DU PRINCE IMPÉRIAL

  • MÉDAILLE DU BAPTÊME DU PRINCE IMPÉRIAL
  • Artiste : CAQUE Augustin Armand

Tous les grands événements du Premier et du Second Empire ont donné lieu à la production de médailles commémoratives en or, en argent, en bronze ou en cuivre, la préciosité du matériau dépendant de la qualité du récipiendaire. Celles frappées à l´occasion du baptême du Prince impérial ont été inspirées par les modèles réalisés pour le baptême du roi de Rome

C´est le modèle réalisé pour la naissance du roi de Rome qui servit d´exemple et c´est d´ailleurs l´effigie de ce dernier qui fut reprise au revers avec l´inscription de la date de la cérémonie, « 14 juin 1856 ». Ce charmant profil d´un bébé joufflu fut gravé d´après les dessins de Prud´hon par Andrieu et Vivant Denon. L´avers montre le double portrait de Napoléon III et d´Eugénie tournés vers la gauche, alors que sur le modèle du Premier Empire, Napoléon et Marie-Louise étaient tournés vers la droite. Modèle de petite dimension, cette médaille en argent fut fabriquée à des milliers d´exemplaires et connut une diffusion à grande échelle en commémoration de l´événement. Les registres de l´hôpital Sainte-Eugénie portent par exemple à la date du 18 juillet 1856 la mention d´une distribution de 158 médailles aux enfants hospitalisés « parmi ceux qui se distinguent le plus par leur application et leur bonne conduite. Ce sera tout à la fois pour ces enfants un souvenir du baptême du Prince impérial et un moyen d´émulation ».  (Karine Huguenaud, juin 2006)

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L' Atelier des photographes du XIX siecle
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