Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

L' Atelier des photographes du XIX siecle

3 juillet 2010

Macon - Bouillaud

  • G. BOUILLAUD - Macon
  • Adresse : 10 Quai du Nord - 4 Rue de la Paroisse - 31 Rue de la Barre / 16-35 Rue Victor Hugo en 1906 (ex Eden concert)
  • Enseigne : Photographie Elegante et Artistique
  • Médaille d' Argent Paris 1867 - Florence 1887 - Barcelone 1888 - Paris 1889

Mr Bouillaud (Gustave,, né à Vouzan (Charente), le 20 mars 1852, est le photographe mâconnais dont le talent est fait d'art et de science.Parmi de nombreuses innovations heureuses, il a inventé notamment un appareil et un procédé photographique qui permettent d'opérer en tout temps, avec un succès assuré, à la lumière artificielle, en s'affranchissant de l'aléatoire complicité du soleil jusqu'ici l'indispensable collaborateur du photographe M. Bouillaud a rendu indiscutablement de très important services à la photographie.

img457

img121

img460 img929

img925

img437 img113

img440


Publicité
3 juillet 2010

Hyères

  • POULLAN
  • Début Activité : 1875
  • Adresse : Avenue de la Gare ( face Bd des Palmiers )
  • Peintre et photographe

img461 img439


3 juillet 2010

La Rochelle

  • T. COGNACQ - La Rochelle
  • Adresse : 40 Rue du Palais
  • Enseigne : Bijouterie et Photographie

img465 img447


3 juillet 2010

Les Mureaux

  • Edouard Julien CHERONNET Né le 13 février 1832
  • Les MUREAUX - Pres MEULAN

img459 img443


3 juillet 2010

Levallois Perret

  • L. LAPORTE
  • Adresse : 67 Rue Vallier
  • Anciennement : Photographie du nouveau Louvre

img466 img448


Publicité
3 juillet 2010

Quimper

  • Joseph. VILLARD - Quimper
  • Adresse : 15 Rue des Gentilhommes - 42 Rue Kéréon / 4 Rue St Francois (1er Etage)

img458 img511

img506 img507

img435

ci dessous cliquez pour decouvrir le recit de la famille VILLARD :

Les_Photographes_Villard


Quimper et les Quimpérois sous l'œil des premiers photographes

Dans les années 1860-1870, la photographie fait son apparition dans la capitale cornouaillaise.

Il semble que le tout premier photographe attesté à Quimper soit le sieur Yves-Marie Levot. D'après les recensements et les listes électorales, il est resté tout au plus deux années à Quimper, de 1864 à 1865. 

En 1865, trois ateliers, au moins, de photographes existent : l'atelier Duclos et celui de Foulquier, tous deux apparentés, et l'atelier Villard.

Les Foulquier-Duclos

Jules Duclos est né au Havre dans les années 1820. Il est marié à Eugénie Foulquier, fille d'Eugène Foulquier. Il s'installe en tant que photographe à Lorient, place Napoléon puis à Quimper au 2ème étage du 38 rue du Quai où il possède son atelier. Il semble que dans les premières années de son installation à Quimper, il ait été essentiellement portraitiste.

Puis on le découvre dans les années 1870, photographe des chemins de fer. Comme d'autres photographes, il a bénéficié des grands travaux publics liés à l'arrivée du chemin de fer et à la construction des phares le long des côtes bretonnes.

A la même époque, son beau-père Eugène Foulquier, ouvre son atelier côté cour au-dessus de la bijouterie Caron, 20 rue du Parc. Le recensement effectué en 1866 nous indique qu'il est âgé de 63 ans, qu'il est veuf et qu'il vit seul. Il est également portraitiste et photographe des chemins de fer. 
En 1871, Auguste Goy le recommande au maire de Quimper pour la restauration et la mise en valeur de la collection de Silguy avant l'ouverture du tout nouveau musée des Beaux-arts : " Mr Foulquier, ancien employé de la célèbre maison Giroux de Paris, possède les aptitudes et offre toutes les garanties nécssaires pour bien organiser un musée puisque ses fonctions dans la maison Giroux consistaient à diriger la restauration des tableaux et à surveiller l'encadrement des dessins et des estampes. De plus Mr Foulquier a [...] mis en ordre et restauré plusieurs galeries de tableaux et [...] remis à neuf les nombreux tableaux de trois églises de Paris".
Il semble qu'Eugène Foulquier exerce la profession de photographe jusqu'à la moitié des années 1870. Puis il s'installe au 38 rue du Quai avec sa fille Eugénie.
De 1878 à 1884, il collabore avec Alfred Beau à la mise en place d'un musée ethnographique dont la pièce maitresse est La sortie de noce bretonne réalisée par leur soin.
Il est indiqué comme rentier sur le recensement de 1881. Il décède à Quimper le 11 septembre 1899 à l'âge de 98 ans. Son acte de décès mentionne qu'il est officier d'académie, sans doute, avait-il aussi exercé la profession d'enseignant.

Les Villard

C'est en 1865 que Joseph Villard, alors âgé de 26 ans, ouvre son atelier de photographieà Quimper, 15 rue des Gentilhommes. Le jeune photographe a l'idée géniale d'éditer des séries de photos sur les costumes et des  paysage bretons à destination des touristes. Il parcourt ainsi la région armé de son appareil et de sa cabine de préparation pour ses plaques. Il est le premier à photographier des sujets cornouaillais et aide par la même occasion considérablement à la diffusion de la culture bretonne. Ainsi, lors de l'exposition universelle de 1867, le costume breton est à l'honneur. On retrouve alors dans le journal de l'exposition des gravures représentant des hommes et femmes en costume traditionnel. Ces gravures signées Gerlier sont directement inspirées des photographies de Joseph Villard.

Vers 1870, Joseph Villard ouvre un second atelier au 42 rue Kéréon. Le recensement de 1881 nous apprend que l'atelier de photographie emploie deux personnes : Hélène Gourmelen et Louis Le Grand. En 1890, son fils Joseph-Marie entre dans l'affaire familiale en tant que photographe et reprend l'atelier à la mort de son père Joseph en 1898. Il s'installe comme photographe-éditeur au 4 rue Saint-François. Tout en continuant l'activité de portraitiste, il se lance dans l'aventure du carton postal. Ses clichés constituent une œuvre remarquable et très riche sur l'histoire de Quimper mais aussi de la Bretagne.

Et autres

A partir des années 1880, de nombreux photographes s'installent à Quimper. En 1881, Faustin Richard, photographe-portraitiste né à Château d'Olonne en 1845, s'installe au 20 rue Astor avec sa femme Marie Richard et Eugénie Le Guirriec, une parente. Il reste à Quimper une dizaine d'années environ.

En 1883, Ollivier Génot, 26 ans, né à Bannalec, ouvre un atelier de photographie 15 boulevard de l'Odet. Il vit avec Jeanne Mathilde Françoise Versailles son épouse. En 1885, sa femme donne naissance à un fils Ollivier Henri Marie. Il exerce jusqu'en 1887, année de son décès à Quimper.

Entre 1890 et 1914, on dénombre huit installations de photographesà Quimper. Parmi eux on peut citer Eugène Verghnet né à Saint-Cléré en 1856, qui arrive probablement à Quimper au début des années 1900. Il habite 32 place Saint-Corentin avec sa femme Esther et leur fille Laurette. Son atelier se situe, quant à lui, rue Kéréon. Ce photographe d'une cinquantaine d'années nous a laissé un magnifique témoignage à travers un reportage photo daté de 1907, sur les courses hippiques qui se déroulent à l'époque sur le champ de bataille.

Victor Allard ou la passion de la photographie

La photographie amateur fait son apparition après 1880 avec la mise sur le marché des plaques de verre au gélatino-bromure d'argent et des appareils plus légers et portatifs facilitant ainsi l'accès à la photographie pour de nombreux amateurs. Les photographies d'amateurs sont, pour la plupart, des images de voyages. Celles de Quimper ont été prises par Victor Allard, un quimpérois et reflètent avec lucidité des tranches de  vie quimpéroise de l'époque.

Victor Allard est né boulevard de l'Odet à Quimper le 21 juin 1879. Son père, prénommé également Victor, est entrepreneur de menuiserie. Entre 1895 et 1901, le jeune Victor, muni de son appareil Mürer de 6 plaques, parcourt Quimper certains jours de marché ou tout simplement pour le plaisir de prendre quelques vues de sa ville natale. Son œuvre est parvenue jusqu'à nous sous la forme de plaque de verre et s'articule autour de deux  thèmes principaux, les marchés de Quimper et plusieurs vues de bâtiments, de rues et de places.

Les vues sur les marchés, très vivantes, nous renseignent sur les différents métiers présents sur les places (rémouleurs, bourreliers, drapiers, marchandes de beurre etc.). Victor Allard ne s'est pas placé en spectateur mais nous fait vivre la scène de l'intérieur, tandis que ses photos de bâtiments et de rues sont des images fixes où l'homme est absent.


3 juillet 2010

Blois

  • Paul ROCHAS - Blois

img463

img441


3 juillet 2010

Extension de Paris, en 1860

Extension de Paris, en 1860

En gris sont indiqués les territoires annexés à Paris en 1860
Les chiffres indiquent l'ancienne numérotation des arrondissements de la ville

Napoléon III remet au baron Haussmann le décret d'annexion à Paris des communes suburbaines (1860)

Plaque commémorant la création du 16e arrondissement suite à l'extension de Paris, qui est alors passé de 12 à 20 arrondissements

Par la loi du 16 juin 1859, les limites de Paris sont déplacées depuis le mur des Fermiers généraux « jusqu'au pied du glacis de l'enceinte fortifiée » (l'enceinte de Thiers). Paris s'agrandit ainsi de 4 365 hectares (en gris sur le schéma ci-contre), passant de 3 438 hectares en 1859 à 7 802 hectares en 1860 (respectivement de 3 228 ha à 7 088 ha si l'on défalque l'emprise de la Seine).

La date communément retenue pour cette extension est celle du 1er janvier 1860. Néanmoins, cette conception est partiellement fausse. En effet, la loi ayant été promulguée le 3 novembre 1859, elle entrait en vigueur dès le 5 ; seule la perception des droits d'octroi était concernée par cette date du 1er janvier, ainsi que le prévoyait la loi du 16 juin[3].

Le classement parmi la voirie parisienne des voies qui appartenaient auparavant aux communes annexées est confirmé par un décret du 23 mars 1863 ; elles sont au nombre de 733.

24 communes sont concernées :

  • 4 sont entièrement comprises dans l'extension ;
  • sur les 20 qui de fait étaient coupées en deux par l'enceinte de Thiers, la loi en supprime 7 (en en répartissant les territoires entre Paris et les communes voisines) et elle ampute les 13 autres.

Communes entièrement comprises dans l'extension

4 communes sont entièrement comprises dans l'extension. Selon la loi, ces communes sont supprimées, et leurs territoires sont absorbés par Paris, où leurs noms servent à désigner des quartiers. Il s'agit des communes suivantes :

Communes coupées en deux par l'enceinte de Thiers

Communes supprimées

Sur les 20 communes coupées en deux par l'enceinte de Thiers, 7 sont supprimées par la loi, et leur territoire est réparti entre Paris, où leurs noms servent à désigner des quartiers, et leurs voisines :

Les parties de ces anciennes communes situées hors de l'Enceinte de Thiers sont rattachées par la loi comme suit :

Communes amputées

Pour 13 des 20 communes qui se trouvaient coupées en deux par l'enceinte de Thiers, les portions de territoires situées dans la zone d'extension de Paris sont annexées par Paris, mais les communes sont maintenues et conservent le territoire situé en dehors de l'enceinte. Les communes dans ce cas sont les suivantes :

27 juin 2010

Exposition NADAR à Tours 2010

  • Au Château de Tours
    du 29 mai au 07 novembre 2010

    Disparu il y a tout juste 100 ans, Félix Tournachon dit Nadar (1820 – 1910), dont l’art de portraitiste a souvent été célébré, reste l’emblème de la photographie du XIXe siècle. L’époque des années 1850 a vu la réalisation des portraits des plus grands artistes de la bohême parisienne, et la mise au point d’une recette qui assure le succès de l’atelier sous le Second Empire...

Exosition : Nadar, la norme et le caprice
19 juin 2010

LELEUX L. Pere et Fils

  • L. LELEUX Père et Fils
  • Début Activité : 1863
  • Adresse ; 5 Rue du Centre - Paris, 9 Rue Saint Appoline - Paris
  • Peintre et Photographe, sa veuve poursuit activité vers 1874

img400 img397


19 juin 2010

LADREY Ernest

  • Ernest Alexandre LADREY- Paris (né en 1830)
  • Début Activité : 1862
  • Adresse Atelier : 5 bis Boulevard des Italiens
  • Succursale : 97 Rue de Richelieu - Paris  et  Passage des Princes Escalier E (ancien passage Mires) avant 1875 - Paris
  • Associé à DISDERI au 6 boulevard des Italiens - Passage des Princes
  • Médaille d' Argent à l' exposition universelle de 1867 - 1878 - 1889

img391 img390

img423 img416

img419 img412

img353 img345


19 juin 2010

J. COUTURIER

  • Jean Couturier - Paris
  • Début Activité : 1875 et fin 1890
  • Adresse : 31 Boulevard Beaumarchais ( Entrée 1 Rue des Vosges )
  • Enseigne: Photographie de l' Epoque
  • Vend à FELIX vers1890

img392 img388

img596 img586


19 juin 2010

Albert CAPELLE

  • Albert CAPELLE - Paris
  • Début Activité : 1887
  • Adresse : 45 Rue Laffitte - Paris
  • Vend à H. MUHE en 1894
  • Successeur de R. AUTIN en 1887
  • Médaille d' Argent à l' exposition universelle de Paris en 1885 et 1889 / Bruxelles en 1888 -  Spécialisé dans les célébrités artistiques et contemporaines.

img383 img382


19 juin 2010

Léon - Ancienne Maison Lauzit

  • Léon - Montpellier
  • Adresse : 19 Boulevard de l' Esplanade
  • Enseigne : Photographie de l' Esplanade
  • Successeur de Lauzit

img393 img389


13 juin 2010

CH. KARSENTY - Bizerte - Tunisie

  • CH. KARSENTY - Bizerte - Tunisie
  • Adresse : Quartier Bijouville

DSCF1530

DSCF1535 DSCF1537

img405

img401 img402 

img376 img369

CARCIENTE ou  CARSENTI ou KARSENTY : ce nom est souvent présenté comme qualifiant les juifs originaires de la ville de Carciente en Espagne. Or il nous a été impossible de trouver trace de ce lieu. Il est plus probable qu’il fait référence aux originaires de la ville de Carcassonne chef-lieu du département de l’Aude en France : le carcasenti serait devenu Carsenti par déglutination de la syllabe centrale -ca.


13 juin 2010

Voiron

  • L. JOURDAN - Voiron
  • Adresse : Angle de la Rue des Terreaux et de la Rue Expilly

img375 img366


13 juin 2010

Pierre MARQUET - Lyon

  • Pierre MARQUET - Lyon
  • Date début d'activité : 1885
  • Adresse : 79 Cours Vuitton - Hotel Privé

img372 img367

img404 img405

 


11 juin 2010

Pierre Macquignon - Calais

  • Pierre. MACQUIGNON - Calais
  • Enseigne : Photographie Moderne
  • Adresse : 110 Boulevard Gambetta / 156 Rue Du Chateau d' Eau

Fils d’un marin, Pierre Louis Macquignon est né le 26 novembre 1860 à Dunkerque (Nord). En 1884, il s’installe à Calais (Pas-de-Calais) où il travaille comme ourdisseur dans une manufacture textile. Ce n’est que dans les dernières années du XIXe siècle qu’il devient photographe à Calais. Son atelier est situé 156, rue du Château d’eau où il est recensé en 1901. Après, secondé par son fils Maurice (1880-?), il exerce au 110, rue Gambetta. Pierre Macquignon et sa famille y sont recensés en 1906 et 1911.

img364 img863

img859 img140

Epson_05052016102552

img312 img311

img839 img139 

Epson_30122016132233 Epson_30122016132509

img361 img362

img861  img857

 Epson_05052016102808 Epson_05052016101957

Epson_11112019155723

Epson_31072019201056

Epson_31072019201151

Epson_05052016102222 Epson_05052016102443

img862 img836

Epson_03092017160627

Epson_03092017160717

Epson_01032022175846

Epson_05122015210100

macquignon


30 mai 2010

J TOURTIN Ainé

  • TOURTIN Joseph Ainé (né en 1825)
  • Début Activité : 1863 et fin en 1880
  • Adresse : 79 Rue de Rivoli, 10 Rue de Laval, 32-34 Rue Louis Le Grand "Pavillon de Hanovre" vers 1868 - Paris
  • Succursale : Boulevard Impérial - Le Havre
  • Vend à TISSIER rue Le Grand en 1880

Peintre et Créateur du Portrait Rembrandt-Carte , ne pas confondre avec la maison Emile Tourtin ( comme inscrit sur sa carte)

img349 img343


30 mai 2010

N. Paul

  • N. PAUL - Paris
  • Début Activité : 1867
  • Enseigne : "Photographie de l' Aigle Impérial"
  • Adresse Atelier : 236 Rue du faubourg Saint Martin - Paris
  • Succursales : 33 Rue Nationale à Rambouillet en 1890, 6 Rue Montbauron à Versailles et 54 Avenue de Saint Cloud Versailles.

img350 img344

img059 img052


Publicité
L' Atelier des photographes du XIX siecle
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Visiteurs
Ce mois ci 26
Depuis la création 695 112
Newsletter
42 abonnés
Publicité