Besançon - Delfoch
Besancon - Boname
- Alfred Adolphe BONAME - Maison des Bains - Dessinateur et Photographe - Besançon
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Né le 20 juillet 1844 à Blamont (25) et
Décédé le 15 juillet 1930 - Besançon (25) - Début Activité : 1867
- Adresse : Entrées par : 33 Rue Saint Vincent (Rue Mégevand) et 10 Rue de la Préfecture (place Granvelle) / 3 Rue Mairet près le Théatre
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1874 : Besançon (25) 100 grande rue
1876 : 6 rue Mairet, ( Recensement avec sa soeur)
1881 :1bis rue Mairet (recensé, seul)
1883 : place Granvelle (Le Petit Comtois annonce la nouvelle adresse le 1/8/1883)
1886 : 33 rue St-Vincent - Recensement avec son épouse
1888 : 10 rue de la Prefecture, 1892
1891 : 33 rue St-Vincent (Recensement seul avec un fils), 1894
1893 : 33 rue St-Vincent et 10 rue de la Préfecture (Ann.)
1896 : 33 rue Mégevand (Recensement avec son épouse et deux filles ), 1901 (idem), 1906 (idem)
1909 : La Viotte Propriétaire
1911 : 6 La Viotte (7°-1) (Recensement seul)
1914 : 44 rue du Chasnot (LE)
1921 : 1 chemin du Foyer familial (Recensement avec son épouse et un enfant)
1930 : 127 grande rueSociétaire de la Société Photographique Bisontine en 1894
Annecy - Satre
Annecy - Favrat
Montélimar - Joguet
A. LUMIERE à Besançon
- MAX - Besançon
- Adresse : 59 Rue des Grangres - Maison FACHARD
- Ancienne Maison Lumière et Léon Romanowski - Antoine Lumière (1840-1911), eut son atelier dans la cour du n° 59 de la rue des Granges (ancien couvent des dames de Battant) à partir de 1866. A priori Léon Romanowski de 1871 à 76 précedemment à Bern en suisse vers 1865.
- Message complementaire suite a une info de MITCH concernant A. LUMIERE à Besançon :
En effet, c'est "presque" là qu'il a commencé. Après une formation à Dôle chez Alotte, il devient opérateur de Lebeau à Besançon (rue des granges), puis il garde l'atelier quand Lebeau part pour Lyon. Antoine travaillera aussi à Montbéliard et Baume-les-Dames avant d'aller lui aussi à Lyon (en 1870).
Pour apprendre à connaître la ville et la clientèle semi-bourgeoise Lyonnaise, il commence par être opérateur chez.....Fatalot.
Quand il ne travaillait pas pour Alexandre Fatalot, Antoine officiait pour lui dans une baraque en bois où il proposait des portraits ferrotypes.
Le but d'ouvrir son propre atelier réclamait bien plus que son seul salaire d'opérateur, surtout qu'en 1870, il y a 5 bouches à nourrir chez les Lumière (Jeanne Josephine son épouse, Auguste et Louis ses fils(nés respectivement en 62 et 64), et Jeanne, première fille, née en 1870).
Le caractère puissant du patriarche est semble-t-il incompatible avec celui de son patron, en 1871, Lumière travail seul à son compte, dans la cabane à ferrotypes.
Il ouvrira son premier studio en "dur" en 1874, Rue de la Barre.
Voilà, j'aime bien ce personnage, un grand monsieur souvent occulté par l'ombre massif du cinématographe de ses inventeurs de fils.
Ce qu'on retient de lui c'est qu'il "serait" à l'origine de l'enseigne de Nadar, mais on oublie que les usines Lumière étaient un modèle social, qu'il était conscient de ses origines, qu'après avoir arrêté la photo il s'est remit à la peinture, comme un hommage à Auguste Constentin (le peintre qui a recueilli Antoine à la mort de ses parents, il avait 14ans).
Auguste ABS
- Auguste ABS - Paris
- Début Activité : 1890
- Enseigne : "Photographie TONY ROUGE"
- Adresse : 36 Rue Vivienne
- Vend à GAUTHIER en 1893
- Successeur de Alexandre Clément CRILLON vers 1890 lui même successeur de TONY ROUGE
- Associé à C. GATTIKER
- CRILLON Alexandre Clément dit CASAJEUS
- Début Activité en 1864
- Adresse des Ateliers : 28 Rue du Faubourg Saint Honoré - Rue D' Argenteuil vers 1870 - 11 Rue Radziwill en 1876 et 36 Rue Vivienne en 1884 ( vente en 1890 )
- Successeur de Antoine ROUGE vers 1884
- Associé à Louis Ernest RABY
- ROUGE Antoine dit TONY
- Début Activité : 1867
- En Relation avec A. WACQUER à Baden Baden
- Successeur Victor PLUMIER en 1867
J. HUGOT
- J. HUGOT - Paris
- Début Activité : 1890
- Adresse : 6 boulevard Poissonnière - Paris
- Photographe Dessinateur / Photographe de Sa Majesté Le SHAH de PERSE
- Successeur de H. LAGRIFFE (lui meme photographe du Shah)
Nasser-al-Din Shah Qajar, né le 16 juillet 1831 à Tabriz et mort le 1er mai 1896 à Téhéran fut Shah d'Iran du 13 septembre 1848 jusqu'à sa mort. Il était le fils de Mohammad Shah Qajar.
Biographie
Il se trouvait à Tabriz lorsqu'il apprit la mort de son père en 1848, et il monta sur le trône du Paon avec l'aide de Amir Kabir. Il essaya de ramener une partie de la Perse orientale (particulièrement Herat), qui était passée sous influence britannique, sous l'influence de l'Iran, mais il essuya une attaque des britanniques à Bushehr et dut se retirer. Herat fait aujourd'hui partie de l'Afghanistan. Nassereddin Shah fut forcé de signer la déclaration de Paris, donnant à l'Afghanistan la suprématie sur les anciens territoires perses.
Bien que Nassereddin ait eu des tendances réformistes assez tôt, il avait un style de gouvernement plutôt dictatorial. Il persécuta les Babis et les bahâ’is, et cela s'accrut encore après qu'un Babi dérangé essaya de l'assassiner en 1852. Il fut le premier monarque Perse à visiter l'Europe en 1871, puis en 1873 (il vit alors une revue de la flotte de la Royal Navy ainsi qu'une manœuvre militaire de grande envergure en Russie, ce qui l'amena à fonder la brigade cosaque persane) et finalement en 1889. Au cours de ses voyages, il fut impressionné par la technologie qu'il avait vue en Europe.
Pendant sa visite au Royaume-Uni, Nassereddin Shah fut fait chevalier de l'Ordre de la Jarretière, l'un des plus nobles ordres britanniques, par la Reine Victoria. Il fut le premier monarque Perse à être fait chevalier de cet ordre.
En 1890, il rencontra le britannique Gerald Talbot et signa un contrat lui accordant la propriété de l'industrie du tabac iranienne, mais fut ensuite forcé d'annuler le contrat après que Mirza Reza Shirazi eut promulgué une fatwa qui rendait la culture, le commerce et la consommation de tabac haram. Cela eut même des répercussions sur la vie personnelle du Shah puisque ses femmes ne l'autorisaient pas à utiliser le tabac.
Le Shah fit d'autres tentatives pour accorder plus d'avantages à l'Europe, notamment en attribuant la propriété des revenus des douanes Perses à Paul Julius Reuter.
Il était un mécène de la photographie et se fit lui-même photographier plusieurs milliers de fois. Il fut le premier iranien à se faire photographier.
Nassereddin Shah introduisit nombre d'innovations occidentales en Iran, dont un système de Poste moderne, le transport ferroviaire, un système bancaire et la publication de journaux.
Il fut le premier monarque iranien à écrire ses mémoires.
Nassereddin Shah fut assassiné par Mirza Reza Kermani, un partisan de Jamal al-Din al-Afghani, alors qu'il était venu prier au mausolée de Shah-Abdol-Azim. On dit que le pistolet utilisé pour l'assassiner était vieux et rouillé, et que s'il avait porté un manteau plus épais, ou s'il s'était fait tirer dessus de plus loin, il aurait pu survivre à la tentative d'assassinat.
Il est enterré au sanctuaire de Shah-Abdol-Azim, à Rey, non loin de Téhéran, où il fut assassiné, à côté de sa femme Jeyran Khanum. Sa pierre tombale en marbre d'un seul tenant, représentant son effigie complète, est maintenant conservée au Palace du Golestan à Téhéran, et est reconnue pour être un chef d'œuvre de la sculpture de l'époque Qajare.
Source : Article Nasseredin Shah de Wikipédia en français (http://fr.wikipedia.org/wiki/Nasseredin_Shah).
Lucien Vaille
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Jean Geiser, photographe et éditeur d'art
Alger, 1848-1923
Auteur : Jean-Charles Humbert
Jean-Charles Humbert
préface Jacques Frémeaux
postface Martine Geiser Fabry
Éditeur : Ibis press, Paris
Description : 189 pages; (28 x 21 cm)
EAN13 : 9782910728830
Résumé
Jean Geiser, installé en Algérie au XIXe siècle, a principalement exercé comme photographe portraitiste, mais il a aussi parcouru le pays avec son matériel. Les iconographies de ses pérégrinations, qui sont montrées ici, ont une valeur ethnographique et historique.
Quatrième de couverture
Les photographes installés en Algérie dans la seconde moitié du XIXe siècle ont dressé un inventaire ethnographique et historique d'une étonnante richesse. Parmi eux, Jean Geiser est le plus connu. Photographe de studio, son activité de portraitiste ne l'empêche pas de courir le pays. Il grave sur ses plaques villes, villages, personnages et paysages. Témoin de son temps, il assiste aux grands événements de l'époque et réalise des milliers de clichés largement répandus grâce à la carte postale. Comme l'écrit l'historien Jacques Frémeaux dans sa préface : «Il serait illusoire de vouloir exiger des documents visuels plus d'objectivité qu'on n'en trouve dans les archives écrites». Pour lui, les images de Jean Geiser ne montrent pas une réalité mais traduisent une vision artistique et humaniste. Il ajoute : «Si le photographe a travaillé dans le cadre d'une société coloniale, il a su, par le respect qu'il portait à ses sujets, en souligner la dignité ou la séduction. Leur visage, leur silhouette saisis par son appareil expriment, derrière l'apparence exotique, l'âme de tout un peuple et de son pays». L'ouvrage, important pour l'histoire de la photographie, peut se lire également comme un livre d'Histoire par la photographie. Français émigrés sur cette terre d'Afrique, Algériens curieux de leur passé ou historiens en quête d'informations, tous auront à coeur de mieux connaître ce photographe et de découvrir, grâce notamment aux archives Geiser, l'aventure d'un homme, d'une famille et d'un pays à un moment crucial de son histoire.
Romans - Veuve Guillermain
Romans - Ast
- Photographie Louis AST (Ex 1er Ouvrier de chez Paul BOYER)
- Enseigne : Photographie d' Art
- Adresse : 17 Rue Jacquemart - Maison des Statues
- Successeur de Blanchard
Recensement de 1906 :
Année : 1906
Lieu : Romans-sur-Isère
Quartier : Rue Jacquemart
No des maisons : 17
Nom : AST
Prénoms : Louis
Année de naissance : 1880
Age : 26 ans
Lieu de naissance : Nancy (54395)
Nationalité : Française
Situation dans le menage : Chef
Profession : Photographe
Numéro de page : Page n°83/259
Valence - Vernisse
- Aubin. VERNISSE - Valence
- Date début d'activité : 1865
- Adresse : 13 Place des Clercs
- Enseigne : Photographie des Beaux Arts
- Maison à Lyon : 1 Rue de l' Hotel de Ville (associé avec E.Blanc à cette même adresse)
- Ex Opérateur chez E.Blanc à Lyon 17 Place de la Croix Rousse
- associé aussi un moment avec Emile. LEBEAU.
Publicité de 1880
Romans - Rambaud
- RAMBAUD - Photographe
- Date début d'activité : 1878 (exerce en 1903/04/05)
- Adresse : 40 Rue de la Gare
- Enseigne : Photographie Lyonnaise
- Maison principale : Lyon aux 7 place de la Croix Rousse et 12 Grande Rue de Cuire (clos Jaudard)
- succursale à Macon : 19 Rue Saint Brice
Fils d’un ouvrier en soie de Lyon, Jean Victor Rambaud est né le 24 juin 1834 à Saint-Bonnet-de Valclérieux (Drome). Il est photographe à Mâcon (Saône-et-Loire) quand il se marie dans cette ville le 28 septembre 1865. Il y est recensé en 1866 rue Philibert-Laguiche. Il exerce ensuite à Lyon (Rhône) au 1, rue de la Lanterne puis place de la Croix-Rousse. En 1876, il s’installe à Romans (Drôme) dans le quartier des Etournelles. En 1881, il est domicilié cours Bonaveau puis, en 1886, au 10, rue de la République. C’est là qu’il décède le 28 octobre 1906 à l’âge de 72 ans.
RECENSEMENT DE 1906 :
Année : 1906
Lieu : Romans-sur-Isère
Quartier : Rue de la République
No des maisons : 10
Nom : RAMBAUD
Prénoms : Jean
Année de naissance : 1835
Age : 71 ans
Lieu de naissance : Saint-Bonnet-de-Valclérieux (26297)
Nationalité : Française
Situation dans le menage : Chef
Profession : Libraire
Numéro de page : Page n°103/259
Publicité de 1880 dans Le Journal de Jacquemart
Romans - Photographe Itinérant
Photographie itinérante pour Charles DELAHAYE de Nice qui se déplace pour l' été 1876 sur Romans sur Isère comme l' atteste cet article de "Le Journal de Jacquemart".
- Charles DELAHAYE
- Adresse : 3 Rue Adélaide / Avenue de la Gare à NICE
1880 , ci dessous information dans la gazette locale de Romans du passage dans la ville pour 1 mois de AUGUSTE GUILLET
Romans - TALY
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TALY Louis successeur de Blain Frères à Romans sur Isere
- Adresse : 13 puis le 17 Cote des Cordeliers
- Maison fondé en 1883 par Blain Frères
- Louis Auguste Marius Taly (1866 - 1916) décède lui succède son fils André (1902 - 1968) puis Max
- André Hugues Gaston TALY né le 7/11/1902 à 5H00 - Marié le 21/01/1937 à Romans avec Simone Louise PIZZETTA - Décédé à St Paul les Romans le 23/12/1968
Le 2 Janvier 1866, Louis Taly est né à Soubès, dans l‘Hérault.Très tôt il se passionne pour le dessin et la peinture. Il gagne des concours. Il devient lauréat de l’école des Beaux Arts de Montpellier, puis membre du Jury Hors-Concours.
Très tôt aussi il se passionne pour la photographie, art tout à fait naissant; par conséquent il apprend le métier de photographe chez Cairol à Montpellier.
La famille Taly est dans la photographie depuis 1883 (reprend a son compte en 1899). Le premier a été Louis, gérant de la maison Blain, photographe important à Valence, qui se trouvait au 13 côte des Cordeliers.
Son fils André s'installa au 17 côte des cordeliers, magasin "Studio Moderne", puis Max, le fils d'André repris le commerce de son pére qui ferma définitivement le 28 septembre 1996.
Recensement de 1906 :
Année : 1906
Lieu : Romans-sur-Isère
Quartier : Rue Côte des Cordeliers
No des maisons : 13
Nom : TALY
Prénoms : Louis
Année de naissance : 1866
Age : 40 ans
Lieu de naissance : Soubès (34304)
Nationalité : Française
Situation dans le menage : Chef
Profession : Photographe
Numéro de page : Page n°212/259
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Photographe Louis TALY - 13 cote des Cordeliers à Romans
Document de Mars 1934 ou Taly demande l autorisation de Repeindre la Facade de son magasin du 17 Cote des Cordeliers.
Messe Annivesaire du Décès de la Veuve de Louis Taly , né Berthe JOUD (1869 - 1934)
Boite pour photographies Taly