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L' Atelier des photographes du XIX siecle

19 juin 2020

Dunkerque - Sipieter

  • Alfred SIPIETER né à Dunkerque le 31 janvier 1863
  • Date de début d'activité : 1885
  • Adresse : 13 Rue des bassins

Marié le 19 janvier 1909 à Rosendael avec Marthe Julie Cornélie LEGRAND, née le 14 juin 1883 - 30 rue des Arbres - Dunkerque - Professeur de piano

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Recensement de 1906 au 13 Rue des Bassins

SIPIETER Eugénie - sans profession - 68 ans né à dunkerque
SIPIETER Célina - sans profession - 46 ans né à dunkerque
SIPIETER Alfred - photographe / patron - 43 ans né à dunkerque
SIPIETER Marie - sans profession - 35 ans né à dunkerque

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19 juin 2020

Waterloo en Cdv

La bataille de Waterloo s'est déroulée le 18 juin 1815, en Belgique, à vingt kilomètres au sud de Bruxelles, dans l'actuelle province du Brabant wallon. Cette bataille a opposé l'armée française dite Armée du Nord, dirigée par l'empereur Napoléon Ier, à l'armée des Alliés, dirigée par le duc de Wellington et composée de Britanniques, d'Allemands (contingents du Hanovre, du Brunswick, du Nassau) et de Néerlandais (unités belges et hollandaises), rejointe par l'armée prussienne commandée par le maréchal Blücher. Elle s'est achevée par la défaite décisive de l'armée française.

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19 juin 2020

Timbres NADAR

  • Hommage a NADAR - En vente le 6 Avril 2020...

Premier jour le Vendredi 3 avril 2020
Oblitération illustrée 1er jour à PARIS au Carré d’Encre
Valeur faciale : 5,60 € 
Affranchissement de 4 lettres prioritaires jusqu'à 20g vers l'international
Timbre verticaux - Dentelure : 13
Dimensions totales: 143x135 mm
Couleurs : sépia et rouge
Imprimé en héliographie à 4 timbres par bloc-feuillet
Émis à 350 000 exemplaires

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  • Timbre Nadar de 1999 

Premier jour le Samedi 10 juillet 1999
Oblitération spéciale 1er jour à Libourne
Vente générale le Lundi 12 juillet 1999
Retiré de la vente le Vendredi 14 avril 2000 
Valeur faciale : 3,00 F 
Surtaxe : 0 F 60 au profit de la Croix-Rouge française
Timbre horizontal - Dentelure : 13
Format image: 36x21,45 mm - Dimensions totales: 40x26 mm
Couleurs : jaune, brun-rouge, brun et bronze
Imprimé en héliographie à 50 timbres par feuille
Émis à 963 790 exemplaires - voir les tirages de 1999

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19 juin 2020

Facteur au Second Empire

  • Facteur

Richez Sébastien, « Le facteur rural des postes en France avant 1914 : un nouveau médiateur au travail », Le Mouvement Social, 2007/1 URL : https://www.cairn.info/revue-le-mouvement-social-2007-1-page-29.htm

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Premier jour le Samedi 8 avril 1967

Oblitération illustrée 1er jour dans les 102 villes organisatrices
Vente générale le Lundi 10 avril 1967
Retiré de la vente le Samedi 25 novembre 1967
Valeur faciale : 0,25 F 
Surtaxe : 0,10F au profit de la Croix-Rouge française
Timbre vertical - Dentelure : 13
Format image: 21,45x36 mm - Dimensions totales: 26x40 mm
Couleurs : gris-bleu, vert et rouge
Imprimé en taille douce rotative 3 couleurs à 50 timbres par feuille sur presse N° 9
Émis à 5 120 000 exemplaires

17 juin 2020

1999: Les oeuvres des grands photographes français (Timbres)

  • Série en hommage a de grands photographes

Nadar Debureau, en Pierrot, à la caméra (1854)

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Eugène Atget (1857-1927), Marchand de paniers, rue Mouffetard 1899

Né à Libourne le 12 février 1857, Atget rêve de théâtre puis de peinture mais il en sera autrement puisque, arpentant les rues de Paris lesté d'une vingtaine de kilos de matériel photographique, il saisira le pittoresque, le détail inhabituel. Technique et humour priment afin de rendre le beau ou le laid. Ce « forçat de l'objectif » épris de rêve et de liberté, s'il appartient au XIXème siècle pour sa technique, obtient les suffrages du XXème siècle.

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Robert Doisneau - L´information scolaire 1956

Robert Doisneau (né le 14 avril 1912 à Gentilly - mort le 1er avril 1994 à Montrouge) est un photographe français, parmi les plus populaires d'après-guerre. Il fut, aux côtés de Willy Ronis, d'Édouard Boubat, d'Izis, d'Émile Savitry et d'Yvette Troispoux, l'un des principaux représentants du courant de la photographie humaniste française.

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Jacques-Henri Lartigue

Henri Cartier-Bresson (22 août 1908 à Chanteloup-en-Brie - 3 août 2004 à Montjustin dans les Alpes-de-Haute-Provence) est un photographe français. Avec Walker Evans, Brassaï, Kertész et quelques autres, Henri Cartier-Bresson est considéré comme un pionnier du photojournalisme allié à la photographie d'art. Il est souvent fait référence à lui sous les trois lettres HCB.

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Henri Cartier Bresson

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Gyula Halász, dit Brassaï (1899-1984)

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17 juin 2020

Napoléon 1er à Sainte Hélène (Timbres)

  • Enveloppe : First Day Cover du 5 Mai 1971 Poste Anglaise de Sainte Hélène

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Circonstances de la mort de Napoléon

Alité depuis le 17 mars, l'empereur est atteint de douleurs atroces à l'estomac. Il accepte de moins en moins les aliments, les vomissements réguliers l'affaiblissent de jour en jour. Il se lève le 1er mai 1821 mais une faiblesse l’oblige à se faire recoucher. Il a fait placer en face de son lit le buste de son fils, sur lequel il a constamment les yeux fixés. Le 3 mai, les symptômes deviennent plus alarmants. Le 4 mai, on a quelque espoir à la suite d'une forte dose de calomel administrée par son médecin anglais Arnott et deux de ses confrères, mais contre l'avis du médecin corse François Antommarchi. L'effet qui en résulte est toutefois extrêmement violent1.

Durant la nuit du 4 au 5 mai, Napoléon est dans un état comateux. À peine conscient, il semble qu'il prononce les mots « tête… armée… ». Dès le matin, ses compagnons se réunissent à son chevet, se doutant bien que cette journée-là sera la dernière. Il expire le 5 mai 1821 à 17 h 49, étant âgé de cinquante et un ans, huit mois, vingt jours.

Le lendemain, le gouverneur de l'île sir Hudson Lowe vient en personne avec son état-major et le commissaire français, le marquis de Montchenu, constater officiellement le décès du « général Bonaparte ». En sortant de Longwood, il déclare à son entourage : « Hé bien, Messieurs, c'était le plus grand ennemi de l'Angleterre et le mien aussi ; mais je lui pardonne tout. À la mort d'un si grand homme, on ne doit éprouver qu'une profonde douleur et de profonds regrets. »

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  • Enveloppe : First Day Cover du 23 Février 1980 Poste Anglaise de Sainte Hélène - Centenaire de la visite de la princesse Eugénie

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  • Wellington séjourna à Saint Hélène à la maison des "Briards" en 1805, dix ans plus tard ce sera Naopoléon.

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14 juin 2020

Timbres EMPIRE

Des années 1852 à 1862 en France, ce cachet donne une oblitération en forme de losange composé d'un grand nombre de points noirs. Sur lettre, ce cachet est toujours accompagné d'un cachet dateur qui est supposé faire apparaitre la date d'envoi de façon lisible. A cette époque, le Pas de Calais avait le numero 61.

  • Le cachet Petits Chiffres

Le cachet Petits Chiffres a pour fonction d'oblitérer le timbre-poste pour qu'il ne soit plus réutilisable.  Par la suite, ce losange de points comporte le numéro d'ordre du bureau de départ. Plus précisément, à partir de 1852, l'administration met en service des cachets oblitérants à petits chiffres. Pour Audruicq 173, Ardres le numéro est 114 , Calais Saint Pierre 3246 et Calais 583

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  • Le cachet Gros Chiffres

À partir de 1862, l'administration décide d'utiliser des cachets à gros chiffres qui permettent d'identifier le bureau émetteur. Elle établit une nomenclature qui est mise en service en décembre 1862. Première date connue d'utilisation du cachet gros chiffres sur lettre : le 19 décembre 1862. Pour Audruicq 218, Ardres le numéro est 146 , Calais Saint Pierre 3816 et Calais 698

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CALAIS - SAINT PIERRE

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6 juin 2020

La Dentelle de Calais en Timbres

  • La Dentelle

Premier jour le Jeudi 6 octobre 2011
Oblitération illustrée 1er jour à Paris (75) au « Carré d'Encre, Le-Puy-en-Velay (43), Chantilly (60), Alençon (61), Calais (62) et Mirecourt (88)
Pas de vente dans les bureaux de poste, hors ceux des 1ers jours et jusqu'à épuisement des stocks, mais uniquement par correspondance à Phil@poste service clients, sur le site Internet www.laposte.fr/timbres, aux réservataires et au "Carré d'Encre" à partir du 10 octobre.
Vente générale le Samedi 8 octobre 2011
Valeur faciale : 2,50 € Voir les tarifs au 8 octobre 2011
Affranchissement complémentaire
Mini-feuille de timbres
Dimensions totales: 105x71,5 mm
Couleurs : orange, pourpre, mauve, noir et violet
Imprimé en offset sur papier Chancellor 119 g/m²
Émis à 400.000 exemplaires - voir les tirages de 2011

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6 juin 2020

Le Peintre William TURNER et Calais

  • La Plage de Calais

Joseph Mallord William Turner est un peintre, aquarelliste et graveur britannique, né le 23 avril 1775 à Londres et mort le 19 décembre 1851 à Chelsea. Initialement de la veine romantique anglaise, son oeuvre est marquée par une recherche novatrice audacieuse qui fera considérer celui que l'on surnomme le «peintre de la lumière» comme un précurseur de l'impressionnisme, avec son contemporain John Constable.

Plage de Calais à marée basse, « poissards » ramassant des appâts
Huile sur toile 1830
68,8 x 103,8 cm –
Bury Art Museum, Greater Manchester

Sur la plage de Calais, la mer se retire. Les femmes de pêcheurs se courbent à la recherche d'appâts. Le blanc éclatant de leurs jupons souligne que la plage est baignée d'une lumière claire et limpide, filtrée par des nuages à peine gris qui relaient le bleu du ciel avec un léger halo humide.

Quelle heure-t-il est-il ? 11 heures du matin ? 3 heures de l'après midi ? Pourtant, lorsque notre regard se porte au loin, vers le ventre de la mer, nous voyons un soleil qui se couche, laissant l'obscurité advenir. A gauche, une irradiation bleue se scande d'une maison sur pilotis dont l'ombre s'étend à contre sens de la marée. A droite, l'obscurité qui avance révèle le bleu de derrière les nuages.

Par son flamboiement orangé, le soleil couchant semble livrer un dernier combat, de plus en plus enfermé, de plus en plus enserré dans un défilé de parois bleues. Mais son combat est perdu d'avance de par notre indifférence. Car au final l'œil est tiré vers le premier plan, sur la droite, vers cette masse pourpre et brune que l'on se dit être un grand panier de pêcheur. Et notre œil se retrouve à circuler entre ce panier et la maison au loin chargée d'ombre bleue, via la femme courbée au premier plan.

De quoi ce tableau est-il l'image ? Il est impossible de répondre immédiatement. Peut-être il y la fusion de deux images, la plage en journée, la plage au couchant. Turner, annonçant Picasso ?

Laissons là les images conventionnelles censées représenter le monde. Considérons les quatre signes dont les vibrations lumineuses se propagent à travers le tableau. Nommons ces signes picturaux "signes vibratoires" :
- le signe vibratoire "femmes en jupon blanc à la marée basse"
- le signe vibratoire "obscurité bleue qui déroule son flux montant"
- le signe vibratoire "soleil orangé disparaissant"
- le signe vibratoire "panier pourpre s'imposant de son immobilité massive".

L'équivalence symbolique entre l'humanité et le soleil est comprise immédiatement. L'autre équivalence demande l'empathie du spectateur pour le contexte : une maison au loin, un panier tout près. Turner construit une correspondance entre deux signes, entre le présent du panier massif mais encore vide, et l'avenir de la maison chargée d'ombre bleue. Il y a mise en scène de la rencontre entre la vibration puissante du panier qui attend et la palpitation bleutée de l'ombre de la maison qui se dégage au dessus de la plage. Ici, mobilisons l'équivalence femme = maison.

Quelle est la signification de cette palpitation bleutée, de cette maison-femme-ombre bleue ?

Tous disent de Turner : c'est le peintre de la lumière et de ses jeux chromatiques. Oui ! Mais il y a autre chose dans les tableaux de Turner. Il s'agit de la pensée qui au présent anticipe l'avenir. Dans notre regard mental, un signe - une vibration - part d'une source proche et se propage sur le monde. Mais du monde, de l'avenir, arrive en même temps un autre signe - une autre vibration. Dans notre esprit, ces signes - ces vibrations - s'affrontent et se tissent simultanément. Une pensée en surgit.

Quelle est la pensée des femmes de pêcheurs, au moment où la mer se retire de la plage ? C'est une pensée de la performance à faire : "Au coucher du soleil, lorsque l'obscurité amènera sa marée, aurons nous recueilli dans le panier un nombre suffisant d'appâts pour nos maris ? Le panier sera-t-il rempli autant que la maison au loin sera chargée d'ombre ? ". C

Turner donne à voir la pensée de ces silhouettes à peine visibles, toutes courbées. En effet, le tableau nous fait détourner notre regard de la dramaturgie évidente du soleil couchant pour ailler détailler, sur la droite du tableau, les femmes au travail, et nous sommes étonnés qu'il y ait foule. Le temps est compté, alors le nombre fait la force.

Au fait, que disait Picasso ? "Ce n'est pas l'escalier qu'il faut peintre, mais ce que l'on pense en montant l'escalier". Turner, Picasso ..tous les grands peintres peignent la pensée, ses inquiétudes, ses terreurs, ses espoirs, ses joies, ses amours, ses jeux. Et inventent de nouveaux signes.

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Premier jour le Vendredi 19 février 2010
Retiré de la vente le Vendredi 26 novembre 2010
Valeur faciale : 1,35 € Voir les tarifs au 21 février 2010
Format image: 48x36,85 mm - Dimensions totales: 52x40,85 mm
Couleur : polychrome
Imprimé en héliographie à 30 timbres par feuille
Émis à 2 millions d’exemplaires - voir les tirages de 2010

Né à Covent Garden dans un milieu modeste (son père est perruquier), le jeune Turner fait son apprentissage chez un dessinateur et paysagiste, Thomas Malton, qui lui enseigne la perspective ; puis, tout en intégrant la Royal Academy dès l’âge de quinze ans, il commence à travailler dans l’atelier de John Raphael Smith. C’est là qu’il effectue deux rencontres décisives, celles de Thomas Girtin et du docteur Monro. Girtin est son compagnon de jeunesse (ils sont nés la même année), de recherche et de voyage ; les deux amis se stimulent réciproquement, et évoluent rapidement vers un style personnel original. Turner possède une mémoire visuelle phénoménale : de retour chez lui, il est capable de reproduire une estampe qu’il a vue en ville, et avec les couleurs !

En 1802, la paix d’Amiens lui permet de se rendre, pour la première fois, sur le continent. Il a alors vingt sept ans. Vers le 17 juillet, une traversée mouvementée l’amène à Calais où il débarque « presque mort ». Il est en route pour l’Italie puis Paris (le Louvre). Il y est touché par Rembrandt et, surtout, par Poussin et ses effets de lumière et de couleurs. L’année suivante, il expose à Londres la première de ses œuvres à avoir acquis la notoriété « Calais Pier, French Poissards preparing for sea ».

Jusqu’au début des années 1820, Turner reste un très beau peintre de tradition classique, un maître de l’aquarelle et du paysage. Mais son style évolue ensuite vers ce qui fait de lui un artiste à part pour la postérité, et un précurseur des Impressionnistes. S’il est aujourd’hui l’un des artistes anglais les plus admirés, il finit oublié et passe ses dernières années incognito à Chelsea.

Il est certain que Francia l’a bien connu du temps de leur jeunesse, puisqu’ils fréquentaient les mêmes cercles londoniens et avaient des amis communs, par exemple les artistes de l’Académie du docteur Monro à laquelle ils participaient tous deux. La tradition évoque leur rencontre par hasard à Exmouth lors d’un voyage. Elle suggère également qu’ils se sont revus par la suite, en France. Comment imaginer que Turner ait débarqué à Calais dans les années 1820 et n’ait pas rendu visite au passage à son ancien collègue ? Peut-être même a-t-il logé chez lui, car il n’est pas enregistré dans les hôtels calaisiens. Ils ont en commun l’aspect négligé, les manières frustres, le caractère bourru et le goût d’une existence discrète, consacrée à leur art. Turner serait-il le personnage peint par Francia sur l’aquarelle « La plage près de Boulogne-sur-Mer » (c 1822) ? Bien que cela semble improbable, il n’en reste pas moins vrai que les deux artistes ont eu souvent l’occasion de peindre ensemble.

Turner est un infatigable voyageur. Lors de ses déplacements, il emporte toujours avec lui un carnet sur lequel il couche quantité d’instantanés saisis en quelques traits rapides – on en conserve plus de 20 000 !

(Texte de Philippe Cassez)

 

 

6 juin 2020

Le Camp de Boulogne en Timbres

  • Le Camp de Boulogne Sur Mer

Le camp de Boulogne est un camp militaire qui fut établi aux alentours de Boulogne-sur-Mer en France par Bonaparte (Napoléon 1er), en 1803, et maintenu par Napoléon jusqu'en 1805, où il assembla la « Grande Armée » ou armée des côtes de l'Océan, en vue d'un débarquement en Grande-Bretagne.

Après avoir effectué une revue des troupes la veille (son jour anniversaire, qui deviendra la Saint-Napoléon), l'Empereur distribue, le 16 août 1804, pour la première fois à Boulogne les croix de la Légion d'honneur aux soldats de la Grande Armée. Le maréchal Soult annonça à l'empereur « le vœu des soldats » de mettre en place aux frais de la légion une colonne en marbre avec une statue de Napoléon. La première pierre fut posée le 9 novembre 1804.

Premier jour le Mercredi 4 mai 2005
Oblitération illustrée 1er jour à Paris
Retiré de la vente le Vendredi 27 janvier 2006
Valeur faciale : 0,55 € - Voir les tarifs au 6 mai 2005
Timbre horizontal
Imprimé en Taille douce rotative à 42 timbres par feuille

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Premier jour le Samedi 14 août 1954
Oblitération spéciale 1er jour à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais)
Retiré de la vente le Samedi 19 février 1955 
Valeur faciale : 12,00 F 
Surtaxe : 10 c
Timbre horizontal - Dentelure : 13
Format image: 36x21,45 mm - Dimensions totales: 40x26 mm
Couleur : rouge
Imprimé en Taille douce rotative à 50 timbres par feuille
Émis à 3 millions d´exemplaires 

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6 juin 2020

Timbres Étrangers sur Calais

  • Royaume Uni

L' Armada au large de Calais en 1588

L'Invincible Armada est une très grande flotte de guerre espagnole qui en 1588 était destinée à envahir l'Angleterre. Malmenée par les tempêtes et harcelée par la marine anglaise, elle dut renoncer au débarquement et revint en Espagne avec la moitié des navires.

Le qualificatif d'« Invincible » peut être dû à l'effet que donnait l'importance de la flotte au moment du départ, où rien ne semblait pouvoir lui résister. Mais il se peut que l'appellation soit aussi ironique et ait été donnée après le désastre.

Devant Calais, l'Armada avait encore une supériorité écrasante sur les 200 barques des Anglais; mais dans la nuit du 6 au 7 août, une panique terrible a lieu, à cause des brûlots que l'ennemi est venu attacher aux flancs de quelques navires; on coupe les câbles, on arrache les ancres ou on les abandonne et l'Armada, poussée par le vent, va jusqu'en face de Gravelines

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Feu sur l'invincible Armada espagnole

 

Animation Vidéo de l' Armada

  • Espagne

Montserrat Tresserras i Dou - 1ere nageuse a faire la traversée de la manche à la nage

Elle a été une pionnière de la longue distance et la première nageuse de toute l'Espagne à avoir traversé le détroit de Gibraltar en 1957. Elle a également traversé la Manche dans les deux sens, de l'Angleterre à la France (Calais-Douvres), en compagnie de l'asturien José Vitos ( 29 Aout 1958) et de la France à l'Angleterre (1961), et elle fut la première femme au monde à le faire.

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  • Rodhesie 

Les Bourgeois de Calais de Rodin (Burghers of Calais)

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  • République du Congo

Le phare de Calais

Calais

26 mai 2020

Calais en Timbres

  • Calais

Premier jour le Samedi 16 juin 2001
Vente générale le Lundi 18 juin 2001
Retiré de la vente le Vendredi 8 mars 2002 
Valeur faciale : 3,00 F 
Format image: 36x21,45 mm - Dimensions totales: 40x26 mm
Couleur : polychrome
Imprimé en Taille douce rotative à 50 timbres par feuille
Vendu à 6 521 947 exemplaires 

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Premier jour le Samedi 7 octobre 1961
Vente générale le Lundi 9 octobre 1961
Retiré de la vente le Vendredi 8 février 1963 
Valeur faciale : 0,85 F 
Format image: 36x21,45 mm - Dimensions totales: 40x26 mm
Coins datés
Couleurs : vert foncé, bleu-gris et brun-orange
Imprimé en Taille douce rotative à 50 timbres par feuille
Émis à 44 190 000 exemplaires 

7 Octobre 1961…émission en premier jour du timbre Calais. Voici ce qu’écrivait l’Echo de la
Timbrologie dans son n° de novembre 1961 :
« Bien préparée, savamment orchestrée et annoncée, l’exposition organisée à l’occasion de l’émission du
timbre Calais, a connu un succès triomphal. Douze mille visiteurs, cinq mille cinq cents souvenirs vendus,
un rush que les organisateurs ont eu bien du mal à contenir, sont la preuve que la grande famille
philatélique ne demande qu’à s’agrandir lorsque les dirigeants de société préparent soigneusement leur
affaire. Sans parler de la section de pupilles que la société a maintenant la certitude de créer rapidement.
Bravo, Calais ! »

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  • Timbre de Calais surchargé E A

Par circulaire du 27 juin 1962, le nouvel état algérien a décidé de surcharger E A les timbres suivants de France :

N° 1231 0,10 F vert Moissonneuse / N° 1263 0,25 F Marianne de Descaris / N° 1237 0,45 F Gorges de Kerrata / N° 1238 0,50 F Mosquée de Tlemcen / N° 1318 Médéa

On peut supposer qu’en raison du manque de certaines valeurs dans certains bureaux, d’autres timbres ont été surchargés. C’est ainsi que l’on rencontrele N° 1316 Calais

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  •  Timbre de Calais surchargé ALGERIE FRANCIASE 13 MAI 1958

LES COMMÉMORATIONS PHILATÉLIQUES PRIVÉESDU 13 MAI 1958
Cette journée du 13 MAI a symbolisé pendant longtemps le combat pour maintenir l'Algérie française.
Entre décembre 1961 et janvier 1962, des timbres ont été surchargés "13 MAI 1958" par un comité de philatélistes de la région d'Oran, associé à des personnalités locales. Ils ont été surchargés à l'Imprimerie Militaire, Administrative et Commerciale d'Oran. Le receveur de l'époque était "bienveillant" avec les auteurs mais scrupuleux, puisqu'il fit certifier par un huissier toutes ces opérations ... illégales. Son remplaçant plus légaliste détruisit tous ces documents après son arrivée. Il ne reste donc que les souvenirs des participants...

Les vignettes ont été vendues à la Recette Principale d'Oran à partir du 18 février 1962 (14 timbres) et du 20 Février (15 timbres) au double de leur valeur faciale; la différence allant à la Trésorerie de l'O.A.S. (d'après d'autres auteurs faciale +0.50 NF par vignette).

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  • Timbre Calais de la Libération 1944 (type Bersier - effigie Pétain)

Dans les jours qui suivirent l'expulsion des armées allemandes on vit apparaître, en France, plus de deux cents emissions dites de la Libération. Ces émissions s'échelonnent théoriquement de fin Juillet 1944 à Octobre 1945. Quatre émissions ont été decrétées par les Commissaires Régionaux du Gouvernement, représentants réguliers de l'Etat: ce sont les séries de Lyon et de Bordeaux et les timbres à 1F50 de Lille et Chalons-sur-Marne. Puis l'Administration reconnut à postériori 11 autres émissions.  La liste des quinze émissions officialisées après coup, avec, pour chaque localité les timbres composants l'émission n'a jamais varié depuis sa publication en 1945.

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  • Marcophilie - Mon Timbre en Ligne

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18 mai 2020

Buis les Baronnies- Veux

  • Henri VEUX (1874-1947) - Buis les Baronnies
  • Le photographe buxois Henri Veux fut un précurseur buxois, éditeur de quelques cartes postales de belle facture.
  • Nombre de ces cartes postales ont été publiées entre 1900 et 1940. La plupart des paysages, personnages qui apparaissent sur ces cartes ont été photographiés au début du siècle par les photographes buxois Henri Veux et Adrien Girard, pour les plus connus. Les maisons d’édition Imbert, et Court au Buis ont racheté les droits de ces photographies de 1900-1910, pour les réediter ultérieurement. C’est pourquoi, les photographies peuvent être datées de 1900, 1905 ou 1910 environ et n’avoir été postées qu’en 1915, 1920, voire 1930

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HISTOIRE D’UN HOMME : HENRI VEUX (1874-1947)

Joseph Henri Victor VEUX est né à Buis les Baronnies le 4 avril 1874. Issu d’une famille de cultivateurs, il épouse le 20 juillet 1901 Philomène Joséphine BONNEAUD de Sainte-Jalle. Dans sa maison boulevard des Aires, qu’il occupe dès 1914, il exerce le métier de peintre en bâtiment spécialisé dans les décors en trompe l’œil. Mais Henri Veux est davantage connu pour les photographies qu’il laissa aux futures générations, en particulier, de nombreux portraits, que des familles conservent encore dans leurs vieux albums.

Ainsi, à la fin du XIXè siècle, vers 1895 probablement, Henri Veux trouva dans le développement de la photographie et de la carte postale matière à concrétiser ses aspirations de photographe et d’artiste. II contribua ainsi dans le courant de son siècle à démocratiser cet art visuel en créant sa propre maison d’édition et sa marque de fabrique « Cliché H. Veux, photo-éditeur ». Lors de la réfection du bâtiment en 2001, vingt-sept plaques de verres ont été découvertes et déposées aux Archives départementales de la Drôme. Leurs clichés sont consultables sur CD-Rom aux Archives communales et intercommunales de Buis-les-Baronnies. Parmi eux, des photos inédites telles qu’une prise de vue du Buis datée d’avant 1900 et une photographie de la grille de l’ancien hospice du Buis, quand celui-ci se trouvait (avant 1914) dans l’ancien couvent des Ursulines. Henri Veux décédera au Buis le 15 avril 1947, à l’âge de 73 ans.

UN PHOTOGRAPHE BUXOIS A LA FIN DU XIXè SIECLE

Au début de sa carrière, Henri VEUX travaille certainement avec un appareil photo à trépied, en cherchant à fixer les images sur plaques de verre. Il édite quelques prises de vues générales du Buis et des portraits sous forme de cartes-photos. 1900-1905 est l’âge d’or de ce support. Il était courant de marquer les évènements familiaux en faisant appel au photographe et de sortir quelques cartes à destination de la famille. Ainsi, il réalisa de nombreux portraits sous ses formes les plus diverses : groupes, couples, fêtes familiales. La plupart de ces photographies appartiennent à des collectionneurs privés. Réalisées souvent en extérieur, il utilisait un décor assez simple inspiré probablement de gravures plus anciennes.

 Henri VEUX se déplaçait également dans les familles pour les photographier. Le décor n’est plus artificiel. Les pauses semblent plus naturelles. Son regard s’intéresse d’avantage au cadre de vie familial. Il photographie des familles plus modestes devant leur ferme ou dans la campagne environnante. Henri Veux ne s’intéressa pas seulement à la vie buxoise ; il parcourut aussi le territoire des Baronnies. Il photographia des inconnus locaux et des scènes de vie : pique-nique à « Eygasteau en 1908 », mariés des années vingt, jeune femme au charmant sourire en pantalon bouffant devant son vélo …. Ces documents présentent un intérêt singulier pour l’historien, car ils sont les témoins d’un art de vivre, d’une manière de se vêtir il y a plus d’un siècle.

Article extrait d’une étude plus complète réalisée par Christine Jourdan, responsables du service des Archives Communales et Intercommunales à Buis les Baronnies.

18 mai 2020

Saint Christol (Ardèche) - Jean Pierre Valette

  • Jean Pierre VALETTE
  • Saint Christol d' Ardèche (Hameau La Fauritte)
  • Le Cheylard (Ardèche)

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14 mai 2020

Romans - Mourgue

  • Frédéric MOURGUE à Romans Sur Isère (Drome)
  • Date de début d'activité : 1867

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14 mai 2020

Le TOUQUET - Auguste Lormier

  • Auguste Lormier - Le Touquet Paris-Plage - Né le 25 janvier 1867 - Boulogne-sur-Mer 62
  • Début Activité : 1887
  • Adresse : 3 Rue des Pipots puis 32 Rue Thiers (au 1er au fond de la cour)
  • Successeur des Maisons Berthaut/Chamoin/Patte/Decroix
  • Recompense Exposition Universelle de Paris 1889
  • Fusion des Ateliers Guillot et Lormier à partir de 1911 (1 Rue du Bras d' Or)

Photographie de groupe - Personnel d' un hotel-Restaurant

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30 avril 2020

Le Clairmarais - Saint Omer

  • Photo Deffontaines

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Le bacôve: bateau de transport de marchandises du marais audomarois

Bateau traditionnel de l’audomarois sillonnant depuis des siècles cet espace naturel labellisé par l’Unesco, le bacôve est une embarcation à fond plat comportant un bordage à clin. Il servit notamment au transport des marchandises et de la spécialité de Saint-Omer : le chou-fleur ! Très apprécié des maraîchers au cours des XIXème et XXème siècles, le bacôve est aujourd’hui privilégié pour les croisières dans le marais de Saint-Omer ou tout autre marais et cours d’eau douce de France. Les raisons ne manquent pas! C'est un bateau imposant, robuste, stable et est homologué pour le transport de passagers !

Histoire du bacôve
Dérivé du Cogue, le bacôve est apparu dans le paysage audomarois dès le moyen âge. Ce bateau indissociable de l’aménagement du marais de Saint-Omer servait alors à transporter des marchandises et toutes les charges lourdes. Il a effectivement longtemps permis l’acheminement de pierres, de bois de construction, de marchandises et bien sûr, des choux fleurs !
Les maraîchers de Saint-Omer jetèrent leur dévolu sur cette embarcation typique dès le début du XIXème siècle marquant l’essor du maraîchage et de la culture du chou-fleur.
De taille importante, le bacôve permettait de transporter à lui seul près de 3,5 tonnes de choux fleurs à l’époque où les terres étaient inaccessibles par voie terrestre.
D’une durée de vie hors norme, le bateau se transmettait et se transmet toujours de génération en génération, tel un meuble de famille. Il se conserve en effet 25 ans en utilisation continue 6 jours sur 7, mais 40 ans en moyenne pour une utilisation normale.
Notons que si l’escute s’apparentait à la voiture du maraîcher, le bacôve constituait son camion poids lourd. Il servait non seulement au transport des légumes, mais également à celui des chevaux, du matériel agricole, voire du tracteur! Il fallait alors jumeler deux bacôves.

Le compagnon familial
Compagnon de la famille, il vivait avec ses propriétaire les heures de travail, les promenades dominicales... Il était là les jours de fête (cortèges nuptiaux les jours de noces, par exemple), mais également durant les moments les plus tristes (cortèges funéraires)…
Bateau mythique, servant principalement au tourisme dans le marais audomarois, le bacôve est toujours construit de manière traditionnelle par les Faiseurs de bateaux. Les artisans perpétuent dans le marais de Lyzel, les gestes ancestraux.

La fabrication du bacôve
Tout comme l’escute, le bacôve est réalisé au sein de l’atelier des Faiseurs de bateaux grâce à un savoir-faire d’antan, un brin secret… Les artisans emploient pour ce faire de belles planches débitées sur des chênes d’exception, qu’ils sélectionnent eux-même dans la forêt de Rihoult Clairmarais, située à 1 km de l’atelier.
Après avoir taillé l’ensemble des pièces, ployé les planches, ajusté le bordé sur les membrures, placé les étraves, les pics et le plat bord, fixé solidement le tout avec de véritables clous de forgeron, vient l'étape finale du calfatage. Celui-ci se réalise à l’ancienne avec de l’étoupe puis le badigeonnage avec du goudron naturel de Norvège pour nourrir le bois.
Chaque opération est minutieuse et le bacôve classique nécessite un mois et demi de travail environ. Le résultat est exceptionnel. La mise à l’eau de ce bateau unique est toujours pour l’atelier des Faiseurs de bateaux, un instant émouvant…

La conception traditionnelle
Les dimensions et les capacités du bacôve
Contrairement à l’escute, il n’existe qu’une taille unique de bacôve, soit 9,5 mètres de long sur 2 mètres de large.
Pesant pas loin d’1,5 tonne, il fait figure de « géant du marais ». Il n’en demeure pas moins extrêmement maniable et rapide. Un simple moteur électrique de 2 chevaux permet de le piloter sans aucune gêne.
Le secret de ses performances ? Son bordé rejoint l’étrave vers l’avant et l’arrière pour former 2 pointes. Cette construction issue de plans se transmettant tel un secret de famille depuis des siècles entre faiseurs de bateaux, permet une stabilité et une glisse sur l’eau sans pareil. Même par mauvais temps, l’étrave fend les vagues sans que le bateau ne soit remué. Par ailleurs, cette forme de coque lui apporte une élégance unique en France.

La structure est composée de 18 membrures en chêne. Huit d’entre-elles sont renforcées par une équerre en fer.

Le nombre important de membrures est justifié par l’utilisation première du bacôve, à savoir, être l’outil de travail des maraîchers. Son utilisation imposait de supporter des charges lourdes (jusqu’à 3,5 tonnes), de résister aux chocs et de conserver sa stabilité durant le transport (ex : légumes, tracteur, chevaux…).

30 avril 2020

Hazebrouck (Nord) - Victor BUTIN

  • Victor BUTIN - Hazebrouck
  • Date de début d'activité : 1901

Fils d’un tailleur de pierre, Victor Joseph Butin est né le 17 septembre 1876 à Paris (18e). En 1901, lors de son mariage à Saint-Quentin (Aisne), il est photographe -sans doute employé- dans la capitale. Il quitte Paris en 1904 et travaille successivement à Lille (Nord), Arras (Pas-de-Calais) et Chauny (Aisne). En mai 1910, il est photographe à Hazebrouck (Nord) avant de s’installer en 1918 à Nantes, passage Pommeraye. Il y exerce jusqu’en 1924 puis vient à Tours (Indre-et-Loire). Le 20 janvier 1925, il succède à Georges Faurie dans son commerce de photographie 59, rue Nationale, à l’enseigne « Photographie d’Art ». Après son décès, survenu le 28 novembre 1941, sa veuve, née Marguerite Trigallez (1883 né à Desvres -1950) lui succède (Source Portrait Sépia)

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30 avril 2020

Roubaix - Quéquin

  • QUEQUIN - Roubaix
  • Enseigne : Photographie du Moulin
  • Adresse : 91 Rue du Moulin

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Paru dans le Journal de Roubaix le 21 Novembre 1895

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23 avril 2020

Drome - La Centenaire d' Auberives en Royans par Blain

  • Photographe Blain - Valence

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Le Petit Marseillais 1 jUILLET 1884

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Mémorial de la Loire et de la Haute-Loire 1 juillet 1884

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Le Figaro 9 juillet 1884

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Le Petit Provençal 27 août 1884 

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La Petite Bourgogne 18 août 1885 

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 Journal des débats politiques et littéraires 13 novembre 1885

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L’Univers 14 novembre 1885

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