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L' Atelier des photographes du XIX siecle
30 octobre 2010

Reims - Taponier

  • André TAPONIER - Reims

  • Adresse : 29 Rue Carnot

André Taponier

1869-1930

Taponier

  André Taponier, issu d'une très ancienne famille du genevois savoyard, naquit en 1869 à Beaumont en Haute-Savoie. Il fit ses débuts dans la photographie chez Fred Boissonnas à Genève et en 1895 créa son propre atelier à Reims où il fit la connaissance de Dom Augustin Marre, auxiliaire du cardinal de Reims, et abbé de Notre-Dame d'Igny, général des cisterciens. En 1901, Fred Boissonnas, désireux de créer un atelier à Paris, proposa une association, à part égale, à son ancien collaborateur pour créer l'atelier Boissonnas et Taponier, situé 12, rue de la Paix, à Paris. En 1912, André Taponier, principal animateur et créateur artistique de cet atelier de grande renommée où passèrent entre autres les têtes couronnées de l'époque, la famille d'Orléans, des écrivains célèbres comme J.-K. Huysmans, des sculpteurs comme Troubetskoï, Bugatti, José de Charmoy, des artistes de théâtre et bien d'autres célébrités, racheta à Fred Boissonnas sa participation dans cette affaire. Victime d'un accident de la circulation le jour de Noël, André Taponier décéda le 25 décembre 1930. Son fils Pierre, qui travaillait à ses côtés depuis la fin de la Première Guerre mondiale, lui succéda, secondé par la suite par son fils Jacques. La vive concurrence rencontrée dans le domaine de la photographie, du fait de la vulgarisation des moyens techniques, ne permit pas d'assurer un développement rentable à cette activité et l'atelier ferma définitivement en 1958.

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  • Extrait Acte de Mariage :

Auguste André Taponier, 23 ans, de Beaumont, près Saint-Julien (Haute-Savoie), au hameau de Châble, artiste photographe, rue des Élus, 14 , et Emma Julie Trompette, d’Alençon, 21 ans, fille du flûtiste Joseph Trompette-Chaubert, rue de Talleyrand, 18.

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30 octobre 2010

Reims - J. Masson

  • J. MASSON - Reims

  • Enseigne : Photographie Jeanne d'Arc

  • Adresse : 36 Rue Neufchatel - Reims

  • Succursale : 35 Rue Bournizet à Vouziers / Rue Soulaines à Bar sur Aube près de la Gare.

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30 octobre 2010

Reims - E. Gerschel

  • Edouard GERSCHEL (fils de Samuel) - Né le 30 mars 1859 - Strasbourg
  • Adresse : 20 Rue de Vesle
  • Succursale à Nancy 20 Rue des Dominicains vers 1895
  • Strasbourg Gerschel Freres (Oncle et Père) 38 Place Kléber puis  3 Rue de la Mésange et 3 Meisengasse

Exposition de Roanne 1897 médaille d'or
Diplôme d'honneur Nancy 1897 médaille d'argent
Exposition de Strasbourg 1895 médaille d'argent
Gerschel officier d'académie 20 rue de Vesle à Reims

Les Frères Gerschel, photographes à Strasbourg depuis 1856. 

Samuel (1828-1898), Mathias (1830-1893), et Aron (1832- ?), tous trois photographes au n° 3, rue de la Mésange, étaient les fils de Abraham Gerschel (1794-1851), commerçant, huilier, originaire de Niederroedern (67), où sont nés Mathias et Aron. L'aîné Samuel, quant à lui, est né à Kutzenhausen. Il semble que l'atelier de photographie de trouvait au 4 ème étage. Mais les trois frères étaient propriétaires de tout l'immeuble, et au moins jusqu'en 1874, le tout Strasbourg venait pour se faire photographier chez "GERSCHEL Frères ". Un prix ou une médaille leur a d'ailleurs été décerné(e) en 1864. En 1875, il semble que le cadet, Aron Gerschel, soit parti pour Augsbourg. Et c'est sans doute après cette date que la Maison s'est appelée S. GERSCHEL AÎNE (Samuel Gerschel étant l'aîné des trois frères), mais aussi MATHIAS GERSCHEL. Dans un fascicule consacré au pionnier de la photographie strasbourgeoise, Charles Winter (1821-1904), publié par les Musées de Strasbourg en 1985, une liste non exhaustive de 22 ateliers de photographie est proposée en page 102, dont l'un, HELIOS, se trouvait juste en face, au n° 2, rue de la Mésange. Dans ses encarts publicitaires, la maison Gerschel indiquait toujours, en français et en allemand, que son atelier se trouvait dans la "Maison du Café de la Mésange" (Im Hause Kaffe zur Meise). Parfois on trouvait cette précision, également dans les deux langues : " On peut avoir des Portraits pareils sans poser de nouveau"(von denselben Portraits kann man haben ohne nochmals zu posiren). Et aussi, mais seulement en allemand : "Man photographirt bei aller Witterung". D'après Sylvain Morand, longtemps responsable de la photographie aux Musées de Strasbourg, ces clichés étaient loin d'être bon marché. Une série de 12 photos correspondait à un salaire d'une semaine d'un ouvrier, et si des domestiques se trouvaient sur de telles photos, c'est parce que leur patron l'avait souhaité.

Aron sera photographe à Paris à partir de 1885 puis son fils Charles prend la suite. (17 Boulevard Saint Martin jusque 1890 , 108 Boulevard Rochechouart et 23 Boulevard des Capucines vers 1900. (Succursale 24 Rue Meslay)    

GERSCHEL, CHARLES, 1871-1948 Photographe à Paris, 23 bd. des Capucines, puis 5 rue de Prony. - Portraitiste. - Membre "hors concours" du jury à l'exposition franco-anglaise de Londres en 1908, gagne un prix à l'exposition de Bruxelles en 1910. - Il s'intitule "Photographe de l'Ecole polytechnique" ou "Photographe de l'Ecole centrale des arts et manufactures et des écoles supérieures"

Aron Gerschel, photographe à Strasbourg, avait été condamné par le tribunal de police correctionnelle à un mois d'emprisonnement et 100 Frs d'amende ainsi qu'à la confiscation des photographies, pour avoir photographié l'exécution d'une jeune femme le 14 mai 1860 et exposé les tirages. 

Samuel est établi à Strasbourg au 46 Rue du Vieux Marché à Vins puis 56 Rue du Jeu des Enfants vers 1880

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30 octobre 2010

Reims - Pierre Ensch

  • Pierre ENSCH - Reims

  • Enseigne : Comptoir Général de la Photographie

  • Adresse : 27 Rue de Vesle (près du Grand Bazar)

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30 octobre 2010

Reims - Boissonnas Neumayer

  • BOISSONNAS - NEUMAYER - Reims
  • Adresse : 18 Rue de Talleyrand
  • Succursales: 2 Place Bel Air à Genève Maison des 3 Rois et 4 Quai de la Poste / 3 Place Meissonier à Lyon avec Magnin successeur de Bellingard.

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Famille originaire de Livron en Dauphiné, réfugiée huguenote, qui obtient la citoyenneté de Genève en 1748, avec Joseph, cordonnier. Son fils Jacques-Etienne est peintre de cadrans de montres et d'horloges. Son arrière-petit-fils Antoine-Henri est le premier de trois générations de photographes. Fred et ses fils Edmond-Edouard, Henri-Paul et Paul (1902-1983) dirigeront l'atelier et les éditions familiales jusqu'en 1969. Leur talent valut aux Boissonnas célébrité et fortune, même si le volet des éditions fut souvent un gouffre financier. Leurs cousins Charles et Jean furent conseillers d'Etat.


Antoine-Henri Boissonnas

7.11.1833 à Genève, 20.1.1889 à Genève. Fils de Pierre Aimé, graveur, doreur, émailleur, et de Louise Annette Santoux, mercière. Sophie Louise Pilet, peintre-émailleur, fille d'un capitaine de la garde. Graveur de médailles et de boîtiers de montres, il ferma son entreprise en 1864 et reprit l'atelier de photographie Auguste Garcin. Il construisit en 1872 un bâtiment au quai de la Poste, dont trois étages seront consacrés à la photographie, qu'il remit en 1887 à son fils Fred. Il fut un des membres fondateurs de la Société professionnelle de photographie de Genève. Il rédigea une chronique familiale.
Fred Boissonnas

 

18.6.1858 (François Frédéric) à Genève, 17.10.1946 à Genève. Fils d'Antoine-Henri. Frère d'Edmond-Victor. Augusta Magnin, fille d'un marchand de combustibles. Formé très tôt à la photographie par son père, Antoine-Henri Boissonnas, parfait son apprentissage à Stuttgart, puis à Budapest. Photographe très doué, il succède à son père en 1887. Son atelier devint très réputé pour les portraits et les scènes de genre ainsi que pour la qualité des tirages, notamment les encres grasses, les papiers charbon et les virages. Titulaire de nombreux prix internationaux, B. est déjà une célèbrité lorsqu'il devint un des photographes officiels de l'Exposition nationale de 1896, organisée à Genève autour du Village suisse dont il réalisa de très nombreux albums. Il ouvrit des succursales à Reims, Marseille, Lyon, Paris et Saint-Pétersbourg.

En alpiniste chevronné, il photographia avec talent les Alpes suisses. Il se rendit en Grèce en 1903 avec Daniel Baud-Bovy, avec lequel il réalisa plusieurs livres, notamment En Grèce par monts et par vaux (1910). Philhellène passionné, il entreprit de nombreux voyages en Grèce et en Crète, source de nombreux ouvrages dont L'Acropole d'Athènes (1914), La Grèce immortelle (1919), Dans le sillage d'Ulysse (avec Victor Bérard, 1933). Il entreprit aussi des voyages en Egypte, en Nubie et dans le Sinai depuis 1920, publiant en 1932 L'Egypte. Il publia en tout une cinquantaine de livres et créa en 1919 les Editions Boissonnas, qui le ruinèrent. Celles-ci furent reprises en 1920 en même temps que l'atelier par son fils Edmond-Edouard
Edmond-Edouard Boissonnas

 

29.4.1891 à Genève, 26.1.1924 à Genève. Fils de Fred Boissonnas. Formé très tôt par son père avec lequel il entreprit des voyages en Grèce, en Tunisie et en Allemagne, Il reprit en 1920 l'atelier de photographie paternel et les éditions familiales. Il voyagea en Asie Mineure et en Afrique du Nord et publia entre 1920 et 1921 Smyrne et Athènes moderne. Il ouvrit, toujours en 1920, une succursale au palais Wilson, s'assurant ainsi la large clientèle de la toute récente Société des Nations. A sa mort, son frère Henri-Paul lui succéda à l'atelier.
Henri-Paul Boissonnas

 

24.6.1894 à Genève, 6.8.1966 à Zurich. Fils de Fred Boissonnas et frère d'Edmond-Edouard. Valentine Baud-Bovy, fille de Daniel Baud-Bovy , qui l'assistera dans ses travaux. Ecole des beaux-arts à Genève. Voyages en Grèce et en Asie Mineure (1919, 1921), en Roumanie (1930-1931). B. dirige l'entreprise familiale de photographie de 1924 à 1927 (reprise alors par son frère Paul). Restaurateur d'art à Genève puis, dès 1934, à Zurich, peintre, aquarelliste et illustrateur. D'une grande conscience professionnelle, il est l'un des premiers à documenter ses restaurations et à appliquer des méthodes scientifiques (rayons X et UV). Il travaille pour les musées de Genève, Berne et Zurich et s'illustre par ses restaurations de nombreux Holbein, de plusieurs fresques et du plafond roman de l'église de Zillis (1939-1941).

 


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30 octobre 2010

Reims - E. Belval

  • Eugène Emile. BELVAL - Reims

  • Adresse : 3 Rue Saint Jacques (en face de l' Eglise)

  • Ancienne maison CISTAC

Extrait Acte de Mariage en 1898 :

Eugène Émile Belval, de Villers-Cernay (Ardennes), 39 ans, photographe, successeur de Cistac, rue Saint-Jacques, 3, et Adèle Oudinet, 40 ans, à Pure (Ardennes). Témoins : Henri Belval, peintre et buraliste, rue Cérès, 53, 44 ans ; Édouard Lassalle, 44 ans, apprêteur et conseiller municipal, rue de Vesle, 262 ; Jacques Géry, 58 ans, directeur de l’usine Lelarge, boulevard Saint-Marceaux, 11.

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30 octobre 2010

Charleville - Domel Collin

  • Domel Collin - Charleville Mezieres

  • Adresse : 28 Rue de la Gare

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29 mars 2010

Le Thillot - Vosges

  • Eugène NOTTER
  • Adresse : Grande Rue - Le THILLOT

Carte de visite du photographe Eugène Notter installé Grande rue au Thillot (Vosges) de 1896 à 1928. Dans l' "Annuaire du commerce et de l'industrie photographiques et cinématographique " de 1909, une notice précise ses spécialités : " Portraits en tous genres. - Spécialité de groupes de noces, groupes de famille, etc. - Agrandissements au gélatino-bromure et charbon polychrome. - Pastel, aquarelles etc. - Editeurs des vues de toute la région. - Encadrements, cartes postales illustrées, vues et de fantaisie. - Imagerie en tous genres ".

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20 mars 2010

Plombières

  • Gustave Géhanne installé rue de la Préfecture à Plombières-les-Bains (Vosges).

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20 mars 2010

Saint Dizier

  • A. HUMBERT - St Dizier
  • Adresse : 4 Rue de Bar le Duc
  • Succursales : Joinville et Wassy S. Blaise
  • Médaille d' Or Paris 1904

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  • J. MOSER - St Dizier
  • Adresse : 36 Rue de l' Hotel de Ville
  • Ancienne maison J. JACOB (presente aussi à Chaumont)

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20 mars 2010

Saint Mihiel

  • Photographie réalisée par la Maison H. Compagnon, située 1, Place des Halles à Saint-Mihiel (Meuse). Il semble que l'activité de ce photographe professionnel se situe entre 1902 et 1922. En 1909, son nom figure au sein de l' " Annuaire du commerce et de l'industrie photographiques et cinématographiques " (Paris, Photo-revue, 1909).

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  • L. CHARPIN - Succursale
  • Enseigne : Photographie Jacob
  • Adresse : Rue des Bains - Saint Mihiel - Meuse

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20 mars 2010

Neufchateau

  • L. MOINOT et TOUSSAINT - Neufchateau

  • Photographie par le photographe professionnel L. Moinot installé d'abord rue de France, puis rue Saint-Jean à Neufchâteau (Vosges).

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20 mars 2010

Nancy

  • Charles Eugène ODINOT

Né le 10 juin 1828 - Chazelles-sur-Albe, Meurthe-et-Moselle et Décédé le 30 mars 1910 - 132 rue de Toul - Nancy, Meurthe-et-Moselle, à l'âge de 81 ans, Marié le 3 janvier 1848, à Vitry-le-François, Marne avec Marie Céline GONTHIER, née le 13 février 1829 - Vitry-le-François

  • Carte de visite du photographe professionnel Charles Odinot (1828-1910) installé 130, rue Saint-Dizier à Nancy. Dans sa thèse de doctorat sur " La Photographie à Nancy au XIXe siècle, t.2 ", Christian Debize nous rappelle le parcours de cette famille de photographes actifs de 1861 à 1960 environ. Charles Odinot, aîné d'une famille de quatre enfants, est né à Chazelles en 1828. La famille Odinot arrive à Nancy en avril 1861 et s'installe au 130 de la rue Saint-Dizier. L'ascension est rapide. En 1864, Odinot expose un cadre de photographies au Salon des Amis des Arts. Le 1er mai 1868, il se voit délivrer le brevet de photographe de l'Impératrice Eugénie. En quelques années, sa fortune est faite. La diversification des activités passe par une refonte totale de l'établissement. Vers 1874, le n°126 de la rue Saint-Dizier est l'objet d'une installation photographique comme Nancy n'en compte pas au XIXe siècle. On compte jusqu'à quarante employés travaillant dans les ateliers avec des fonctions spécialisées. De nombreux futurs photographes professionnels font leurs premières expériences chez Odinot (Noener, Brunvarlet, Beugnet, Racadot...). Vers 1876, Arthur Odinot (1849-1903), son fils, loue différents ateliers à Nancy : 7, place du Marché, 75-77, rue Saint-Dizier. A partir des années 1885, Arthur Odinot ouvre différentes succursales à Toul, Saint-Mihiel, Commercy, Châlons-sur-Marne dans des villes de garnison. En 1877, certaines de ses oeuvres sont récompensées par une médaille d'argent (Exposition du Havre), puis en 1881, et une médaille de vermeil (Exposition d'Epinal). Après la mort d'Arthur Odinot en 1903, l'établissement subit de nouveaux bouleversements. La Première Guerre mondiale entraîne les premiers déchirements. Les villes de garnison touchées par le conflit perturbent l'équilibre de tous les établissements.

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  • Succursales : 13 Rue Carnot à Lunéville / 2 Rue de la Gare à Commercy / Avenue Victor Hugo à Toul / 4 Rue du Faubourg de Bar à Saint Mihiel / 8 Rue du Général Compère à Chalons Sur Marne.

 

  • louis THIRIOT

Carte de visite de l'artiste-peintre et photographe professionnel Louis Thiriot (1837-1919). Dans sa thèse de doctorat sur " La Photographie à Nancy au XIXe siècle ", t.2, Christian Debize nous rappelle le parcours de ce photographe actif de 1862 à 1864(?) et de 1873 à 1897. Louis Thiriot est né à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 1er octobre 1837. Après une formation à l'école Loritz, future école professionnelle de l'Est, il exerce jusque vers 1860 la profession de dessinateur en broderies sous la direction de son père devenu imprimeur. Le 10 août 1858, à Malzéville, il épouse Anne Guerpont. En 1861, âgé de 23 ans, le jeune homme abandonne la broderie et s'installe 44, rue Notre-Dame. De 1862 à 1864, Louis Thiriot, selon l'annuaire de la Meurthe, mène une courte expérience photographique, mais sans succès. Le jeune couple quitte Nancy pour Paris. Vers 1862-1863, il rencontre Nadar qui l'embauche dans son atelier. Vers 1865, le jeune opérateur est chargé de faire un voyage en Espagne pour prendre des vues du pays. Trois ans plus tard, il quite l'atelier de Nadar pour aller visiter la Belgique. Lorsque la Guerre franco-allemande de 1870 éclate, il s'engage dans les francs-tireurs de Mirecourt. Après la guerre, Louis Thiriot s'installe photographe vers 1873 au bord de la Meurthe près du pont de Malzéville. Resté à Malzéville pendant presque toute la Première Guerre mondiale, Louis Thiriot se replie sur Châtillon-sur-Seine et revient à Malzéville dans sa maison familiale où il s'éteint le 15 février 1919 à 83 ans.

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20 mars 2010

Lunéville

  • Photographe T. Henry - Lunéville
  • Adresse : 3 place du château

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  • Ad. DIRLER - Lunéville
  • Adresse : 5 Place de l' Eglise
  • Enseigne : Photographie Alsacienne

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20 mars 2010

Langres

  • V. PETIT - Langres
  • Adresse : 23 Rue du Repos

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  • J. FONTAINE - Langres

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20 mars 2010

Chaumont

  • Emile RENAUT - Chaumont

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  • E. DUDENHOFFER - Chaumont
  • Adresse : Bd de l' Est ( en haut de la rue de la caserne)

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  • J. JACOB
  • Adresse : 21 Bd de l' Est

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  • Alphonse POURTOY - Chaumont
  • Adresse : 29 Boulevard Gambetta près du Boulingrin

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20 mars 2010

Bar le Duc

  • Carte de visite du photographe Luc Mandar installé 13, Place Reggio à Bar-le-Duc (Meuse). François Boisjoly, auteur de l'ouvrage " La photo carte. Portrait de la France au XIXème siècle " (Lyon, éditions Lieux Dits), situe les débuts de son activité en 1870. Elève du photographe messin Gonzalve Malardot (1832-1871), Luc Mandar obtient une médaille d'argent au Concours de Bar-le-Duc en 1880. Inscrit dans l'Annuaire photographique de 1877, et dans la plupart des annuaires professionnels entre 1882 et 1898, Luc Mandar cède son affaire, d'abord située 13, place Reggio, puis, 77, rue de la Rochelle, à son fils vers 1898.

  • Aristide Oberlaender installé 77, boulevard de la Rochelle à Bar-le-Duc (Meuse) et successeur de la Maison Mandar.

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  • BREUIL - Photographe

  • Adresse : 12 Rue de Saint Mihiel

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  • Charles BOQUET - Bar le Duc
  • Activité entre 1880 et 1890
  • Adresse : 14 Rue Voltaire

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