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L' Atelier des photographes du XIX siecle

L' Atelier des photographes du XIX siecle
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3 octobre 2020

Croix - Lechantre

  • G. LECHANTRE à Croix (59)
  • Adresse : 28 rue des Fabricants, Roubaix / 13 bis Grande Rue, Croix

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1 octobre 2020

Lille - E. Levaque

  • E. LEVAQUE - Lille
  • Enseigne : Grande Photographie Américaine
  • Adresse : de 1884 à 1888 12, Grande Place, Lille 

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23 septembre 2020

Valenciennes - Postille

  • Louis POSTILLE - Valenciennes
  • Adresse : 14 Rue Ferrand

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13 septembre 2020

Lille - Augustin ELSHOUD

  • Augustin ELSHOUD - Lille Fives
  • Adresse : 166 Rue Pierre Legrand 

Augustin Marie Henri Elshoud est né à Anvers (Belgique) le 27 juillet 1865. A 18 ans, il est orphelin de père et de mère. Dessinateur, il s’installe à Lille (Nord) en 1892 et s’y marie l’année suivante ; il a pour témoin le photographe Louis Delattre. Le couple vivra à Lomme (Nord) puis à Lille où leur fils Edgard naîtra le 3 janvier 1900 au 203ter, avenue de Dunkerque. Bien qu’il soit qualifié de dessinateur sur les actes de naissance de ses enfants, Augustin Elshoud est en réalité employé en tant que premier retoucheur dans les meilleurs ateliers lillois. En 1900, collaborateur du photographe Zarski, il obtient une médaille de bronze à l’Exposition universelle de Paris. Ses compétences lui valent d’être recruté en 1906 par Albin Raillon, photographe à Saint-Omer (Pas-de-Calais). Raillon avait commencé sa carrière comme retoucheur à Paris chez Eugène Pirou. En 1900, associé à son frère, il ouvre un atelier 85, rue Carnot à Saint-Omer qu’il quitte en juin 1905 pour s’installer à Calais. Il confie la gérance de son atelier audomarois à Elshoud qui y opérera jusqu’à l’automne 1911. On suppose que c’est après avoir quitté Saint-Omer, qu’Elshoud a travaillé à son compte à Lille dans un atelier situé 207, avenue de Dunkerque mais on est peu renseigné sur sa carrière de photographe dans le Nord. En mars 1936, quand son fils Raymond, cinéaste à Paris, se marie, Augustin Elshoud est photographe, domicilié à Saint-Amand (Nord).

Source : catalogue de l’exposition "Les photographes à Saint-Omer de 1839 à 1914" bibliothèque de l’agglomération.

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28 août 2020

Lille (La Madeleine) - Alphonse Kétels

  • Alphonse  Bernard Léon KETELS - La Madeleine Berkem
  • Adresse : 126 Rue du Pré-Catelan
  • Mariage : La Madeleine le 13 Mars 1899 avec SALVERIUS Jeanne

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28 août 2020

Dunkerque - William

  • WILLIAM à Dunkerque (Nord)
  • Date de début d'activité : 1862
  • Adresse : 10 Rue Maurienne
  • Photographe de Sa Majesté Léopold 1er - Roi des Belges

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20 août 2020

UTRECHT - La Pyramide d'Austerlitz

  • Gerrit Adrianus Vernout (photographe Haarlem), né à 29/08/1848, à Haarlem et décédé le 16 November 1913, Haarlem, Netherlands

La pyramide d'Austerlitz est une pyramide de sable et de terre, construite par des soldats de l'armée napoléonienne en 1804, située à Woudenberg, près d'Utrecht, aux Pays-Bas. D'une hauteur de 36 mètres, il s'agit d'un des points culminants des collines d'Utrecht.

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En mars 1804, le général Auguste Marmont est nommé commandant des troupes françaises et bataves stationnées en République batave. Il établit son camp près de Zeist, à une dizaine de kilomètres de la ville d'Utrecht, dans une plaine de landes propice aux manœuvres militaires et riches en ressources. Les 18 000 hommes sont répartis en trois divisions, installées dans trois sections appelées Bois-en-Ville, Marmontville et Petitville1. Le camp lui-même est appelé Camp de Zeist ou Camp d'Utrecht.

Après plusieurs mois d'entraînement, le général Marmont, satisfait de l'état de ses troupes et afin de les garder occupés, ordonne en septembre 1804 l'érection d'une pyramide à degrés — en imitation de l'érosion des pyramides de Gizeh que Marmont avait vues pendant la campagne d'Égypte en 1798 — à proximité du camp d'Utrecht. La construction dure 27 jours et l'édifice est inauguré le 12 octobre 1804 et dédié à Napoléon Ier. Une boîte de plomb contenant un mémorandum sur la construction de la pyramide, les contrôles nominatifs de chaque régiment et quelques pièces de monnaies est enfoui au centre de l'édifice. La pyramide de 36 mètres est surmontée d'un obélisque en bois. Cette butte artificielle est alors baptisée Marmontberg (Colline de Marmont).

À l'été 1805, l'armée de Marmont devient le 2e corps de la Grande Armée et quitte la République batave à la fin du mois d'août pour prendre part à la campagne d'Allemagne qui se terminera le 2 décembre par la victoire française sur les Russes et Autrichiens à Austerlitz. Les commerçants installés en bordure du camp de Zeist s'établissent dans les campements, qui deviennent alors un vrai village. Pour prévenir la destruction de sa construction, Marmont fait l'acquisition des terres sur lesquelles la pyramide et établie, et en confie la garde à trois soldats retraités pour lesquels il construit trois fermes.

Le 17 août 1806, le nouveau roi de Hollande Louis, frère de Napoléon, renomme la pyramide en Pyramide d'Austerlitz, malgré les protestations de Marmont. Le même jour, il accorde le statut de ville aux trois camps de Bois-en-Ville, Marmontville et Petitville réunis sous le nom d'Austerlitz.

L'érosion faisant son œuvre sur une construction de sable, l'obélisque, sur le point de s'écrouler, est détruit en 1808. En 1816, après la chute de l'Empire, Marmont vend ses terres à l'avocat Hubert van Asch van Wijck, futur bourgmestre d'Utrecht et membre des États généraux des Pays-Bas. La zone est reboisée et le monument est peu à peu laissé à l'abandon.

En 1894, le propriétaire du domaine et maire de Woudenberg, Johannes Bernardus de Beaufort, entreprend la restauration de la pyramide et fait placer à son sommet un obélisque de pierre. La caisse de plomb est alors exhumé et son contenu, altéré par le temps, est versé au Rijksmuseum et sera perdu pendant la Seconde Guerre mondiale.

Peu entretenue pendant le xxe siècle malgré son classement en Monument national en 1970, la pyramide se dégrade peu à peu et est envahie par la végétation, devenant presque invisible. En vue de son bicentenaire, une restauration est entreprise entre 2001 et 2004. Les intempéries de l'été 2004 ont détérioré l'édifice et l'inauguration prévue en septembre ont dû être annulées.

Une nouvelle phase de restauration a lieu en 2007 et 2008, renforçant les pentes et restaurant les degrés. Le site rouvre à l'été 2008, avec un centre d'informations sur De Franse Tijd, la période française (1795-1813) pendant laquelle les Pays-Bas — alors successivement la République batave, le royaume de Hollande puis des départements de l'Empire français ont été satellites de la France. De nouveaux travaux de consolidations ont été effectués en 2010 et 2012, après de fortes tempêtes hivernales. (wikipedia)

14 août 2020

Bailleul - Hazebrouck (Nord) - Ypres (Belgique) : Antony PERMEKE

  • Léontine et Antony PERMEKE - ses deux fils, Maurice et Robert
  • Dates de lvie : Poperinge, 7,9,1858 - Ostende, 18.6.1923
  • Enseigne : Photographie Industrielle et Artistique
  • Activité : 1850-1899
  • Adresse à Ypres : 11 Rue au Beurre
  • Adresse à Bailleul : Rue d' Occident
  • Adresse à Hazebrouck : Grand Place
  • Successeur: Antony Maurice

Leontine Permeke (tante du peintre Constant Permeke et sœur de l'artiste Henri ) est issue d'un milieu artistique à Poperinge et a été la première femme photographe d'Ypres. En mars 1887, elle s'installe au 7 Rijselstraat où elle ouvre avec son mari Honoré Antony une maroquinerie. Là, le célèbre photographe bruxellois August Despret a ouvert sa succursale. De lui, elle apprendrait le métier de photographe. Elle n'est devenue photographe indépendante que lorsqu'elle a déménagé au 11 Boterstraat.

Au dos de certains CDV, Antony est en minuscules et PERMEKE en majuscules. La famille Antony - Permeke était également domiciliée à cette adresse. Honoré Antony - Permeke a été décrit comme "représentant" d'Auguste Despret à cette adresse (Journal d'Ypres, 11.3.1893), par la suite il a annoncé qu'il avait pris la propriété le 15.4.1897 après la mort de Despret "pour qui il avait voyagé pendant 12 ans". "Etablissement spécial pour les grandes commandes photographiques; copie et agrandissement en carbone ou peinture".  

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7 août 2020

Carvin (Nord) - E. Devigne

  • E. DEVIGNE 
  • Enseigne : Grande Photographie Carvinoise
  • Adresse : Rue Basse

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6 août 2020

Dureau à Joyeuse (Ardèche)

  • E DUREAU - Joyeuse (Ardèche)
  • Editeur de Cartes Postales

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6 août 2020

Vues de Calais en MAI 1895

  • Photographe inconnu - Prise de vue datées de 1895

Momument des Six Bourgeois

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 La Gare Maritime

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 La Gare Centrale

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L' Hotel de Ville de Calais

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30 juillet 2020

La Famille Impériale par Lévitsky

  • Serguei LEVITSKY (1819 - 1898)
  • Debut Activité : 1840 et fin en 1864 en studio
  • Adresse : 22 Rue de Choiseul - Paris
  • Vend à Augustin Aimé Joseph LEJEUNE

Il travaille entre 1859 et 1865 à Paris , cet employé de bureau à St Petersbourg en russie réalise des 1840 de magnifiques Daguerrotypes dont certains primés, en france. En 1850 il utilise le collodion et obtient en 1852 une médaille a Paris pour ses portraits Grands Formats.

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22 juillet 2020

Le Château Impérial de Compiègne

Château royal reconstruit entre 1755 et 1788 par Ange-Jacques Gabriel, Compiègne fut réaménagé à partir de 1807 sur ordre de Napoléon Ier afin de devenir une résidence impériale. L'architecte Berthault remania la décoration intérieure avec l'aide d'artistes et d'artisans renommés parmi lesquels Girodet, Dubois et Redouté pour les décors peints, Jacob-Desmalter et Marcion pour les ensembles mobiliers. Le jardin fut redessiné à l'anglaise et relié à la forêt de Compiègne qui en constitue toujours le prolongement direct.

En 1810, Napoléon y accueillit sa future épouse, l'archiduchesse Marie-Louise d'Autriche, exactement comme Marie-Antoinette y avait été accueillie 40 ans plus tôt. Une fois le mariage célébré à Paris, le couple impérial revint à Compiègne. La cour s'y installa de nouveau en 1811 en compagnie du petit Roi de Rome. Sous la Restauration, les princes de la famille royale effectuèrent de cours séjours à Compiègne. Suivant la tradition monarchique française, Charles X s'y arrêta en 1824 au retour du sacre à Reims et, en 1832, Léopold Ier de Belgique y épousa la princesse Louise,fille aînée de Louis-Philippe.

En 1848, le château devint domaine national. Le prince-président Louis-Napoléon y fit une visite lors de l'inauguration de la ligne de chemin de fer Compiègne-Noyon. Devenu empereur, il s'y rendit une première fois avec une centaine d'invités en 1852 parmi lesquels figurait Eugénie de Montijo, la future Impératrice. Ces visites se réitérèrent en 1853 et 1855. Des travaux de réaménagement furent alors entrepris dans certaines pièces tandis qu'une partie du mobilier était renouvelée dans le goût de l'époque. Seules deux constructions furent réalisées : une aile séparant la vaste cour des cuisines et un théâtre malheureusement inachevé. A partir de 1856, le château de Compiègne fut la résidence d'automne de la cour impériale. Débutèrent alors les fameuses « Séries » : pendant un mois et demi, les souverains conviaient chaque semaine une centaine d'invités acheminés par trains spéciaux. 

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  • Photographe : Ernest François BENOIT (1842-1920)
  • Date de début d'activité : 1873
  • Adresse : 1 Rue Mounier (en face du chateau)

Fils d'un vigneron, Ernest François Benoit est né le 19 novembre 1842 à  Cuffies (Aisne). Le 1er novembre 1873, "Le Progrès de l'Oise" publie une annonce de la photographie E. Benoit 9, rue du Château à  Compiègne (Oise). Benoit ne se contente pas de faire des portraits, il propose des vues de Compiègne, de Pierrefonds et des environs. Agé de 31 ans, c'est déjà  un professionnel confirmé mais on n'est pas renseigné sur ses premières années d'activité. En 1881, il est recensé 1, rue Mounier où il va exercer là  jusqu'en 1908, date à  laquelle il cède son fonds à  Eugène Hutin (1883-1960). Il décède à  Compiègne le 11 janvier 1920.

22 juillet 2020

La Bourse du Travail

  • En 1861, la construction d’un lavoir municipal était décidée. Il se situera place Crèvecoeur, face à la mairie de Saint-Pierre-lès-Calais, l’actuel palais de justice. L’école primaire supérieure y était installée, dotée d’un minuscule gymnase, ainsi que le palais de justice, l’octroi, le conseil des prud’hommes. Dans la soirée du 20 mars 1918, des torpilles allemandes touchaient l’aile sud du lavoir.
  • La bourse du travail a été construite sur la place Crévecoeur sur l'emplacement de l'ancien lavoir, en face du palais de justice et à côté de l'église, dans le cadre des grands travaux des années trente. Le bâtiment fut conçu pour être mis à disposition des syndicats de Calais. Ce bâtiment était également conçu pour servir de marché couvert. Les travaux commencèrent en juillet 1937 et furent terminés peu de temps avant la guerre et non inaugurés officiellement. Le bâtiment fut réquisitionné par les Allemands pendant la guerre. Le marché couvert a été restauré en 1994 et des travaux de restauration des façades extérieures ont été entrepris en 1998. 
  • Poyé Roger (architecte à Calais entre 1911 et 1958) Ingrand Max (peintre) Ingrand Paule (peintre) Coin (sculpteur)

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La première pierre de la Bourse du Travail, fut posée le 17 avril 1938, à l’occasion du cinquantenaire de l’Union Française des Ouvriers Tullistes, en présence de délégués de Caudry et de Nottingham, par M. Auguste Boulanger. Elle fut scellée près de l’entrée, à l’intérieur de l’édifice. Un banquet de 200 couverts compléta la cérémonie.

Haute de 28 m, la Bourse du Travail vit sa construction projetée le 29 février 1936 et commencée le 20 août 1937.

Terminée en 1939, la Bourse du Travail devait être inaugurée en octobre. Séance du Conseil Municipal du 25 août 1939 (huit jours avant la déclaration de guerre) : les édiles votèrent une subvention de 5 000 francs pour les frais d’inauguration, soirée artistique en la salle des fêtes, manifestation sportive place Crèvecœur, et banquet. Les invitations étaient déjà imprimées quand la déclaration de guerre fit reculer la cérémonie et, en fait, la Bourse du Travail ne fut jamais officiellement inaugurée.

A la Bourse du Travail, la salle Auguste-Boulanger perpétue le souvenir d’un militant ouvrier (de gauche) qui fut conseiller municipal pendant une trentaine d’années, jusqu’en 1939. Elu en 1912 au Petit-Courgain pour la première fois Secrétaire de l’Union des Syndicats Ouvriers.

La construction de la Bourse du Travail et du marché couvert répondait davantage au souci de lutter contre le chômage, plutôt qu’à une nécessité urgente. Le ministre de l’Intérieur Marx Dormoy accorda, en 1937, une subvention de 1 720 000 francs, pour ce projet estimé à 7 196 295 francs. Le reste fut couvert par emprunt. Les premières adjudications furent faites le 29 juin 1937. (architecte, M. Poyé).

La bourse du travail fut construite à l’emplacement laissé vacant par la démolition du « lavoir », en 1914-18 et transformé en square, terrain de 872,66 m².

Au rez-de-chaussée, se trouve le marché couvert, avec 38 étals pour la vente de la viande de la boucherie et de charcuterie et des comestibles. Au sous-sol, des caves dépendent directement de ce marché, avec resserres métalliques et grillagées, poste d’eau, chauffage central, etc.

L’entrée de la Bourse du Travail est aménagée au rez-de-chaussée en façade principale sur la place Crèvecœur. Elle est surmontée d’un haut-relief de Coin Robert, statuaire à Lille.

Au 1er étage, existe une galerie d’accès, huit bureaux de syndicats, une salle de réunion pour 60 à 80 personnes, une salle de réunion pour 150 à 200 personnes, et les services annexes.

Au 2e étage, huit bureaux de syndicats, une bibliothèque, et le rez-de-chaussée de la grande salle de réunion où ont lieu les meetings, fêtes, galas de boxe ou de catch, etc. (855 fauteuils et 196 strapontins).

Au 3e étage, deux bureaux de syndicats, la galerie de la grande salle de réunion, quatre salles d’archives et des services annexes.

Au 4e étage, enfin, il y a trois salles d’archives.

Le marché couvert de la Bourse du Travail fut mis en service en août 1942. Les Allemands avaient occupé le rez-de-chaussée depuis leur arrivée à Calais et venaient d’en lever la réquisition.

Après avoir été occupé par les allemands, l’édifice fut endommagé par des bombardements. A la libération, l’administration l’utilisa, en y installant un centre d’accueil et un garde-meubles. Un poste militaire français de météorologie s’y trouvait. Le Conseil Municipal du 10 août 1945 décida la création d’un poste de concierge, qui devait, de préférence, revenir à un déporté, retour d’Allemagne, et remplissant les conditions.

QUI ETAIT ROGER POYÉ ?

Né à Bailleul en 1885, Roger Poyé accumule très jeune les succès aux concours des sociétés d‘architecture. ll travaille à Lens avant d'obtenir, en 1913, son inscription sur la liste des architectes admis à présenter et à diriger des travaux pour des communes. C'est au titre d'architecte agréé qu'il travaille à la reconstruction de Calais après la Grande Guerre. Il se marie avec une professeur de dessin exerçant au collège Sophie Berthelot.
Tout en étant impliqué dans le fonctionnement de l'Ecole des Arts Décoratifs et Industriel, il est sollicité pour de nombreuses missions d'urbanisme au titre d’ « architecte conseil de la ville », poste qu’il occupe entre 1928 et 1944.
Mais Roger Poyé ne travaille pas que pour la municipalité calaisienne : il est engagé par des particuliers désireux de transformer leur habitat ou leur boutique, et par des organismes divers comme la Chambre de Commerce, la Caisse d'Epargne, l’administration des Hospices... On lui doit entre autres la Bourse du Travail, la Maternité, le bâtiment de l'Automobile Club du Nord de la France au 74 boulevard Jacquard, l’ancienne école primaire supérieure de garçons de la rue de Vic... ou encore l'église Notre-Dame des Armées aux Cailloux. Si son style, moderne et fonctionnel, ne fait pas forcément l‘unanimité, l‘empreinte de Roger Poyé dans notre ville est considérable. Aucune rue de la cité des Six Bourgeois ne porte pourtant son nom, souvent ignoré des Calaisiens.

22 juillet 2020

Bois en Ardres - Cucheval

  • Henri Cucheval - Bois En Ardres
  • Date de début d'activité : vers 1890

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22 juillet 2020

La Famille Impériale

  • La Famille Impériale par Henry Ashford and Thomas Bristo Ashford
  • Atelier Photographe : Ashford Brothers - London - 76 Newgatestreet

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Vers 1862, Henry Ashford (né vers 1834, Sproughton, Suffolk) créa une société d'édition photographique avec son frère aîné Thomas Bristo Ashford (né vers 1831, Sproughton, Suffolk). La société d'édition photographique a d'abord été sous le nom d' Ashford Brothers et opérait à partir du 76 Newgate Street, City of London . Lors du recensement de 1861, Henry Ashford avait été décrit comme un «photographe», mais il est clair que Henry et Thomas Ashford étaient principalement des éditeurs de photographies dans les années 1860.

Ashford Brothers of Newgate Street, Londres, a publié des portraits en carte de visite de célébrités célèbres de l'époque qui avaient été prises par d'autres photographes professionnels. Au cours des années 1860, La société Ashford Brothers agirait en tant qu'agent des photographes, reproduisant les tirages photographiques et distribuant les cartes de célébrités finies aux papeteries et autres points de vente.

Ashford Brothers & Co. est devenu bien connu pour ses "cartes composites", des photographies de cartes de visite comportant de douze à mille petits portraits sur une seule petite carte. 

Le partenariat entre Henry Ashford et Thomas Bristo Ashford ( exerçant sous le nom d' Ashford Brothers & Co. ) fut dissous le 28 septembre 1867. Il semble qu'entre 1867 et 1868, les deux frères aient travaillé indépendamment dans l'édition photographique. Henry Ashford a travaillé comme marchand de photographies à Queen Street, Cheapside, Londres, avant d'être mis en faillite à la fin de décembre 1868. Apparemment, peu de temps après, Henry Ashford a émigré en Australie. Il semble que Thomas Bristo Ashford a continué comme éditeur de photographies au 97 Newgate Street, Londres jusqu'en 1876.

À partir de 1877, Thomas Bristo Ashford gagna sa vie en tant que «papeterie fantaisie» au 97 Newgate Street, Londres . Le recensement de 1881 enregistre Thomas Bristo Ashford, quarante-neuf ans, et sa femme Henrietta à leur résidence au 20 Bellefields Road, Lambeth [Thomas Bristo Ashford avait épousé Henrietta Ashford (née en 1824, Witnesham, Suffolk) en 1857]. Lorsque le recensement de 1891 eut lieu dix ans plus tard, Thomas B. Ashford travaillait toujours comme papetier de luxe et vivait à Lambeth. L'épouse de Thomas Ashford, Henrietta, était décédée à Lambeth l'année précédente à l'âge de soixante-six ans.

En 1894, Thomas Ashford travaillait dans une ferme à Clement's Hill, Broxted, près de Dunmow dans l'Essex. Le père de Thomas Ashford, Robert Ashford, avait été fermier dans le Suffolk et au cours des six dernières années de sa vie, Thomas a suivi la même profession.

Thomas Bristo Ashford est décédé dans sa ferme de Broxted, Essex en 1901, à l'âge de 70 ans. (source :photohistory-sussex)

22 juillet 2020

Napoléon II - L' Aiglon

  • Napoléon François Charles Joseph (1811-1832), roi de Rome, empereur des Français, prince de Parme, duc de Reichstadt.

En savoir plus sur Napoleon.org

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22 juillet 2020

Photographes de Calais en 1927

 LISTE DES PHOTOGRAPHES presents sur Calais en 1927 (source Annuaire Ravet Anceau)

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22 juillet 2020

Carte Mignonette - Photographe OTTO

  • OTTO 
  • Date de début d'activité : 1885 à 1898
  • Adresse : 3 place de la Madeleine / 15 rue Royale
  • Réalise un portrait de Paul Verlaine en 1890

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19 juin 2020

Lille - Auguste Léopold Touly

  • Auguste Léopold TOULY né le 20 Avril 1869 à Lille
  • Date de début d'activité : 1898
  • Adresse : 54 Rue de Saint Etienne

Marié le 23 avril 1894 à Lille avec Marie Marguerite CAYEZ, née le 20 juillet 1870 - 9 rue des Moineaux - Paris 1er, et décédée le 20 avril 1950 à Saint Cloud, Hauts de Seine à l'âge de 79 ans

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