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L' Atelier des photographes du XIX siecle

L' Atelier des photographes du XIX siecle
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18 juillet 2015

Lille - A. BLANQUART

  • A. BLANQUART - Lauréat de l' école des Beaux Arts
  • Date de début d'activité : 1894
  • Adresse : 21 Rue St Pierre St Paul - Entrée Particulière Place de la Nouvelle Aventure - Parvis de Croix
  • Enseigne : Photographie Artistique

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18 juillet 2015

La Bassée - R. CARRE

  • R. Carré - La Bassée (Nord)
  • Activité vers 1890 

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18 juillet 2015

Fourmies - DENIS

  • C. DENIS
  • Adresse : face à l' Eglise

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18 juillet 2015

Dunkerque - Louis. BROCHERY

  • Louis. BROCHERY
  • Adresse : 14 Place du Palais de Justice
  • A vérifier car on retrouve le nom de Louis Brochery photographe à Paris en 1886 et à Saint Quentin en 1892

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Recensement de 1906 du N° 14 Place du Palais de Justice à Dunkerque / Employeur César Falciny

Nom            Prénom Parenté Profession Origine Age Lieu Naiss.
  BROCHERY Louis chef photographe / falciny France 46 avignon
  LEMOINE Rose femme sans profession France 32 maubeuge
  BROCHERY Andrée enfant sans profession France 7 dijon
  BROCHERY Simonne enfant sans profession France 2 paris

18 juillet 2015

Caudry - H. REGNIER

  • H. REGNIER
  • Adresse : 16 Rue de Saint Quentin
  • Début Activité vers 1890

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17 juillet 2015

Charleville - Chaupe

  • CHAUPE - Charleville (Ardennes)
  • Actif de 1876 /1890
  • Adresse : 22 Avenue de la Gare puis 28 Rue Forest 
  • Enseigne : Photographie Artistique et Industrielle

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17 juillet 2015

Charleroi - Deton Cornand

  • Deton et Cornand
  • Photographe actif à Charleroi 
  • Adresse Charleroi - Rue de la Montagne, 42 (Cornand seulement) puis au 44 avec Cornand 
  • Succursales Liège, Mons, Anvers, Namur, Lille
  • Dates: vers 1880 - 1910
  • Liège : Boulevard d'Avroy,12 - en association avec Gonthier
  • Charleroi & Mons : association avec Deton

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17 juillet 2015

Saint-Amand-Montrond - CHARLES

  • B. CHARLES - Saint-Amand-Montrond (Cher)
  • Adresse : rue Nationale
  • Enseigne : Photographie Artistique
  • Ancienne Maison Méténier

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17 juillet 2015

Un Chat , Des Chiens ....

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17 juillet 2015

Toulouse - Baudillon

  • BAUDILLON - Toulouse
  • G. BAUDILLON Jeune - 50 Rue Alsace Lorraine ( angle de la Rue du Salé) avec le salon de pose a l' entresol / 2 Rue de Regans 
  • Armand-Antoine BAUDILLON (né en 1876) - éditeur de cartes postales à toulouse et Luchon
  • Enseigne : Photographie Centrale
  • Début Activité : 1900

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17 juillet 2015

La Bassée - Ch PETILLON

  • Ch PETILLON - La Bassée (Nord)
  • Adresse : Rue de Lens face à l' Eglise

 

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17 juillet 2015

Crest - Melle BRUYERE

  • Melle BRYUERE à Crest (Drome)
  • Enseigne : Photographie Bruyère
  • Début Activité : vers 1882
  • Enseigne : Photographie Crestoise
  • Adresse : En face de la Gare

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17 juillet 2015

Vals les Bains - Louis COSTE

  • Louis COSTE
  • Début Activité : vers 1890 
  • Succursale à Tain l' Hermitage (Drome)

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16 juillet 2015

Valence - FUMAT

  • FUMAT - Valence
  • Adresse : 48 Rue Madier Montjau

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16 juillet 2015

Métier

  • Métier à Définir

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16 juillet 2015

Frévent et Cayeux Sur Mer - GIGNAC

  • Gignac
  • Présent à Cayeux (Somme) et Frévent (Pas de Calais)
  • Enseigne : Photographie Moderne

 

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16 juillet 2015

Saint Nazaire - Théo GRERT

  • Théo Grert - Saint Nazaire

 

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16 juillet 2015

Un cycliste

Allez !!!

 

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10 mai 2015

La plus Ancienne Photo de Romans connue

Cet article de Romans Historique est paru dans le Dauphiné Libéré.

Le Dauphiné Libéré, 3 mai 2015

En centre-ville, la place Jacquemart est immortalisée par un objectif, en 1867

La plus vieille photo connue de la ville de Romans

Portant la légende « Horloge et place Jacquemart – Gendarmerie et prison – Vue prise du Champ de Mars – Août 1867″, cette photographie conservée aux Archives communales de Romans est la plus ancienne connue à ce jour.

Presque 150 ans nous séparent de cette magnifique scène de la vie quotidienne à Romans.

En 1867, la ville comptait un peu plus de 11 500 habitants et s’étant débarrassée d’une bonne partie des remparts qui l’enserraient depuis 700 ans, elle put commencer à s’étendre au nord. La gare, construite quatre ans plus tôt, vit passer son premier train le 9 mai 1864 et apporta une énorme prospérité à ce nouveau quartier où, de tous côtés, se sont élevés de grands ateliers, de belles habitations et de coquettes villas.

La scène principale de cette photographie représente le marché aux chevaux qui se tenait sur cette place depuis une trentaine d’années, après que la forteresse ou prison Mont-Ségur (ce qui signifie « Mont de sûreté ») qui se trouvait au pied de la tour Jacquemart eut été démolie. Des pieux étaient installés en permanence pour y attacher les animaux. On notera que la place est totalement découverte et qu’aux saisons chaudes, les pauvres bêtes devaient subir les assauts du soleil durant de longues heures. D’ailleurs, en 1904, plusieurs pétitionnaires demandèrent à la ville de faire planter une rangée de platanes autour de la place pour résoudre ce problème.

La nouvelle prison est cachée mais elle se trouvait à l’entrée de l’actuelle place Ernest Gailly. Construite en 1835, elle n’accueillait plus que les prisonniers pour vol et pour dettes, les criminels étant transférés à Valence. Elle fut ensuite convertie en école publique puis démolie en 1907.

On peut voir que les bâtiments qui entourent la place n’ont pas du tout changé depuis cette époque et deux commerces ont une enseigne facilement lisible : la pharmacie Liorat et une mercerie.

A droite, on remarque une lampe à gaz pour l’éclairage public. Après avoir longtemps éclairé les rues de Romans avec des lanternes à bougies puis des lampes à huiles, l’usine à gaz de l’avenue Adolphe Figuet, construite en 1844, permit d’obtenir un combustible assurant un éclairage moins coûteux et plus fiable. A l’époque de cette photo, il y avait déjà un peu plus de 150 lampes à gaz dans les rues de Romans. Il faudra attendre l’année 1908 pour que les rues de la ville soient éclairées à l’électricité.

Enfin, on ne pourrait pas terminer l’étude de cette scène sans parler du monument emblématique de la ville : la tour Jacquemart ! Aujourd’hui, la flèche porte un paratonnerre et une girouette mais on remarque qu’à l’époque, elle portait une boule dont les archives nous disent qu’elle était en cuivre doré. Le cadran de l’horloge a aussi changé. Et le bonhomme Jacquemart, quant à lui, n’a pas exactement la même silhouette que celle que nous lui connaissons. Et pour cause, après avoir revêtu plusieurs habits selon les périodes historiques, il a été complètement refait et remplacé en 1949 et plus récemment, en 2012.

L’Info en +

Au début du XIXè siècle, plusieurs expériences furent entreprises pour créer des images par l’action de la lumière mais il est historiquement reconnu que la première photographie a été réalisée en 1826 par Joseph Nicéphore Niépce, un inventeur de Chalon-sur-Saône. On estime que le temps de pose de cette première photographie a duré entre 8 et 10 heures ! Après la mort de Niépce, Louis Daguerre poursuit les recherches et met au point un système qu’il appelle daguerréotype et dont l’invention officielle date de 1839. Cette nouvelle technique permet d’obtenir des images après seulement une demi-heure de pose mais elle ne permet toujours pas de photographier des personnes et des objets en mouvement. En 1867, date à laquelle a été prise la photographie de la place Jacquemart, la technique avait énormément évolué et l’on pouvait même produire plusieurs exemplaires d’une image grâce à l’invention du négatif. Malheureusement, nous ne savons pas quel procédé a été utilisé pour réaliser la plus vieille photo connue de Romans.

Jean-Yves Baxter

http://www.romanshistorique.fr/romans-sur-isere-la-plus-vieille-photo-connue-de-la-ville-de-romans

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9 octobre 2013

Cinéma Lumiere La Ciotat

Le plus vieux cinéma du monde rouvre ses portes à La Ciotat

Publié le mardi 8 octobre 2013

Le 9 octobre 2013, l'Eden Théâtre à La Ciotat (Bouches-du-Rhône) rouvre ses portes après des décennies d'abandon et plusieurs années de restauration. L'événement ne mériterait guère d'être mentionné s'il ne s'agissait du plus vieux cinéma du monde. Le 14 octobre 1895, quelques spectateurs assistent en effet dans cette salle, qui vient tout juste d'ouvrir, à une projection gratuite des premiers films tournés par les frères Lumière.
Antoine Lumière, industriel lyonnais, possède une résidence d'été dans cette petite ville, alors cité balnéaire. Il y tourne notamment l'un des films les plus célèbre de l'histoire du cinéma mondial, qui terrifia les spectateurs de l'époque : "L'arrivée d'un train en gare de La Ciotat". Si les frères Lumière avaient déjà organisé des projections privées - dont l'une le 21 septembre 1895 au Palais Lumière, à laquelle assistait Raoul Gallaud, ami des Lumière et propriétaire de l'Eden Théâtre - et si la première projection payante a eu lieu le 28 décembre 1895 au salon indien du Grand Café à Paris, il n'en reste pas moins que l'Eden Théâtre est la première salle à avoir accueilli une projection publique.
La salle connaît une grande réussite avant-guerre et dans l'entre-deux-guerres. A la fois théâtre et music-hall - sa vocation originelle - et désormais salle de cinéma, elle accueille les débuts de Fernandel, d'Yves Montand ou de Bernard Blier. Après la guerre, elle devient un cinéma de quartier dans laquelle des générations successives découvrent le cinéma... et les premiers émois dans l'ombre du balcon. Mais, en 1982, le gérant est assassiné en défendant sa recette contre des malfrats. Même si l'exploitation se poursuit jusqu'à la fermeture en 1995, l'Eden Théâtre part à la dérive, tout comme la ville de La Ciotat sombre dans la crise avec l'arrêt des chantiers navals.

Une mobilisation associative et le soutien des collectivités

Des associations comme "La Ciotat, berceau du cinéma" ou "Les lumières de l'Eden" luttent cependant pour sauver cette salle mythique. Elles obtiennent le rachat du bâtiment par la ville en 1992, puis l'inscription à l'inventaire des monuments historiques en 1996. Grâce au soutien d'artistes et de cinéastes et cinéphiles de renom - comme Bertrand Tavernier - un premier projet de restauration est lancé et, le 1er juin 2007, le hall d'accueil rouvre ses portes, en présence de Claudia Cardinale (voir notre article ci-contre du 29 mai 2007).
Mais il s'agit encore d'une restauration très partielle et les travaux restant à effectuer s'annoncent coûteux (5,5 millions d'euros). C'est finalement la désignation de Marseille comme capitale européenne de la culture 2013 et l'engagement du maire de la cité phocéenne en faveur du projet qui va débloquer la situation. Les collectivités se mobilisent - malgré quelques dissensions sur le dossier entre la région Paca et le département des Bouches-du-Rhône - et financent l'essentiel de l'investissement. Aujourd'hui la - petite - salle à l'italienne (166 places) a retrouvé tout son lustre, avec ses colonnes et ses fauteuils rouges (voir la visite virtuelle ci-contre), son escalier d'époque, son sol en marbre noir...
Avec une telle place dans l'histoire du cinéma et une telle mobilisation pour le sauver de la disparition, l'Eden Théâtre ne pouvait se contenter de projeter des blockbusters. Sa programmation est donc celle d'une salle d'art et d'essai, avec une large place aux classiques du cinéma, des actions pédagogiques à destination des écoliers ou l'accueil de festivals.  

Jean-Noël Escudié / PCA

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