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L' Atelier des photographes du XIX siecle
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30 septembre 2012

Romans - Vaysse

  • Clément VAYSSE - Romans
  • Début Activité : 1900
  • Adresse : 19 Place de la République

Charles, Amant dit Clément VAYSSE
Né le 25 février 1867 (lundi) - Rochegude, Drôme et Décédé le 16 avril 1951 (lundi) - Vaison la Romaine 26 

Marié le 22 juin 1901 (samedi), Romans-sur-Isère, Drôme, avec Marguerite, Annette CHALOIN, née le 24 octobre 1864 (lundi) - Romans-sur-Isère, Drôme, 

Profession Photographe, il a participé à la Grande Guerre au Régiment du 110e régiment d'infanterie (110e RI) et Domicilié lors de la mobilisation à Rochegude 

Recensement de 1906 :

Année : 1906
Lieu : Romans-sur-Isère
Quartier : Quai Rivière
No des maisons : 10
Nom : CLÉMENT
Prénoms : Ulysse
Année de naissance : 1868
Age : 38 ans
Lieu de naissance : Rochegude (26275)
Nationalité : Française
Situation dans le menage : Chef
Profession : Photographe
Numéro de page : Page n°205/259

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30 septembre 2012

Petite histoire de la plage de Calais

Petite histoire de la plage de Calais (@Lavoixdunord )

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Un établissement de bains de mer s'érige

Les établissements des bains de mer au milieu du XIXe siècle. 

La plage et son cordon dunaire sont en ce milieu du XIXe siècle, un atout considérable pour Calais tournée vers l'industrie dentellière. Mais cette richesse doit être mise en valeur. En 1835, un projet d'aménagement voit le jour

Fidèle une fois de plus au contexte national - dans les années 1830, Louis-Philippe, alors au pouvoir, instaure une politique d'établissements d'utilité publique - Calais se lance dans une nouvelle aventure : les bains de mer.

Création d'un établissement de bains de mer 
La mode des bains de mer et le franc succès que remporte depuis quelques années le casino de Boulogne-sur-Mer, va influencer les décideurs calaisiens et les convaincre de l'utilité d'avoir un établissement de loisirs sur le bord de mer. Les journaux calaisiens comme l'Industriel rapportent dans leurs colonnes, qu'une réunion sous la présidence du docteur Mauricheau-Beaupré s'est tenue le 22 février 1835 au palais de justice (à l'époque, rue des Boucheries, derrière la Tour du Guet), pour évoquer la question d'un espace de loisirs. Un premier comité y est alors créé mais ce dernier peine à proposer des idées. Il faut attendre le 11 février 1837 pour qu'un second comité voit le jour, et se rapproche du ministre de la Guerre qui lui accorde une concession pour un terrain à l'est du port.
Quelques négociations plus tard, c'est à l'ouest que l'établissement verra le jour. Une association de soixante-dix-huit personnes « pour la construction et l'exploitation d'un établissement de bains de mer à la lame » naît. La durée de cette association est prévue pour dix années et elle est confiée à neuf administrateurs dont le docteur Souville, Tom Souville, l'ancien capitaine corsaire et Philippe Devot. Le 5 mars, sous la présidence de Jacques Leveux, la première pierre est posée. L'architecte de la ville, M. Villain en a imaginé les plans. L'inauguration a lieu quelques mois plus tard, le 18 juillet 1837. Le règlement intérieur précise que la saison commence le 1er mai, dès les premiers beaux jours (enfin, les bonnes années...).

Renforcer l'accessibilité de la plage 
Plusieurs aménagements voient le jour afin de renforcer l'accessibilité de la plage et du nouvel établissement. Un nouveau pont de bois à travers le bassin des Chasses est construit à la hauteur de l'établissement des bains. La sécurité des baigneurs est assurée par la société humaine de Calais dont le président n'est autre que Tom Souville.
Mais le plus important changement réside en la construction d'une gare à proximité de l'avant-port. Une liaison existait depuis septembre 1848 entre Paris et Saint-Pierre mais elle n'allait pas jusque la plage. Le 28 juin de l'année suivante, c'est chose faite, la liaison est enfin réalisée entre la plage et la Capitale. En août, la gare devient effective. Mais à l'époque, il fallait sept heures pour rejoindre Paris à Lille auxquelles il fallait en ajouter quatre pour arriver à Calais !

Apogée et mort
de l'établissement 

En 1869, les principaux actionnaires des bains de mer calaisiens votent un budget extraordinaire afin d'améliorer leur établissement. Un restaurant est créé, le jardin (appelé le parc Sableville) est clôturé et on y applique un droit d'entrée de 10 centimes. Un kiosque voit le jour, des concerts, des tirs aux pigeons et des régates sont aussi organisés. La presse parisienne fait même l'éloge de la plage et de son établissement. Les actionnaires rédigent en cette fin d'année 1869, un rapport enthousiaste parlant de 282 abonnés contre 69 l'année précédente. On y trouve 152 Calaisiens, 59 Saint-Pierrois et 71 étrangers, des bruits circulent concernant l'installation de chalets.... Tout semble aller pour le mieux.
Mais, la guerre Franco-prussienne qui éclate en 1870 porte un sérieux coup au développement économique de la plage. A la suite de la guerre, les fortifications sont démembrées, la pittoresque Porte de la Mer par laquelle les touristes passaient est elle aussi rasée. En revanche, de nouvelles fortifications sont construites en 1879, qui modifient le littoral calaisien. Du jour au lendemain, l'établissement des bains de mer se trouve séparé de la mer par la courtine de fortifications, par un fossé et par un talus, la digue de protection. En 1893, un nouveau bâtiment sort du sable, le nouveau casino, construit sur la digue de protection à deux pas de la mer. En 1906, l'établissement des bains de mer est définitivement rasé.

Le nouveau casino de la plage

Le casino tel qu'il était visible en 1896. Sur la plage les premières tentes. 

Il est sorti de terre en 1893 et a connu ses heures de gloire jusque la Seconde Guerre mondiale. Une salle de spectacles, un restaurant et une salle de jeux attirent les touristes

Lorsque de nouvelles fortifications sont construites en 1879, l'établissement des Bains de mer se trouve séparé de la mer par la courtine de fortifications, par un fossé et par un talus, la digue de protection.

Très vite l'établissement périclite et laisse la vedette à un nouveau bâtiment qui sort du sable en 1893 : le nouveau casino.
Construit cette fois-ci directement sur la digue de protection, à deux pas de la mer, le nouveau Casino va connaître son heure de gloire jusqu'en 1939 quant éclate la Deuxième Guerre mondiale.

La genèse du Casino 
Ce casino construit aux abords immédiat de la plage est très intimement associé à Achille Bresson. Originaire de l'Yonne, où il naît en 1856, Achille Bresson a pendant de longues années assumé la direction du Kursaal d'Ostende en Belgique, lieu incontesté de villégiature littorale.
Lors d'un voyage à Calais, il identifie la nouvelle digue comme un futur lieu de promenade et il voit juste. Achille Bresson se présente au renouvellement du bail de la société des Bains de mer, mais n'est pas l'unique candidat. M. Lateux, alors directeur des Bains de mer et M. Guilbert, loueur de tentes et de chalets-baignoires se présentent aussi. Le projet de Bresson est retenu et il soumet à la municipalité, le 22 avril 1892, d'intéressantes propositions sur la création d'une nouvelle plage. Avangardiste, il utilise des préfabriqués qui ont été utilisés lors de l'exposition universelle de Paris de 1889. Il sollicite l'expérience de la famille Vilain, dont le père a élaboré les plans de l'établissement des Bains de mer pour dessiner l'architecture du nouveau bâtiment. Très vite le casino prend forme et en 1893, il est fin prêt. Dans cet élan d'aménagements, la digue est améliorée, elle voit ses trottoirs être carrelés et être illuminés par de l'éclairage public. A l'intérieur, tout est aménagé afin d'y accueillir au mieux les Calaisiens fortunés et les touristes du même genre.

L'intérieur du casino 
Le Casino de Bresson est scindé en trois parties. Une salle de spectacles est sur la gauche, un restaurant et une terrasse au centre avec à l'étage, une salle de baccara (jeu de cartes) et à sa droite un pavillon avec la salle des Petits chevaux (voir photo). Le casino calaisien concurrence vivement son voisin de Boulogne-sur-Mer. Achille Bresson obtient en 1897, l'autorisation préfectorale de proposer des jeux d'argent (mais la salle de baccara n'ouvre qu'en 1909). Il y organise aussi des bals, des concerts et y fait venir des troupes de théâtre et de music hall de la capitale. Jean-Pierre Pruvot indique même dans son ouvrage, "Il était une fois les chalets de la plage, tome 2 ", que Bresson a été l'initiateur des premières représentations cinématographiques calaisiennes, en projetant des films muets.
Pour faciliter l'accès à ce nouvel établissement, la Chambre de commerce et la municipalité de Calais entament des travaux entre la ville et la plage. Mais il faut attendre la présidence d'Henri Hénon à la Chambre de commerce pour voir la construction de nouveaux ponts dont le pont éponyme (1906). L'avenue de la plage est percée en direction du casino à travers les fortification et au dessus du fossé. L'ancienne passerelle en bois est remplacée par un pont de pierre. Grosso modo, cette avenue se trouvait légèrement à gauche de l'actuelle avenue Raymond Poincarré. Elle était bordée de bancs et en son milieu se trouvait le monument érigé en l'honneur des marins du Pluviôse. Tout fonctionne pour le mieux pour cet établissement dynamique. Les différentes municipalités s'efforcent même d'aménager les abords de la plage. Pourtant, la Deuxième Guerre mondiale va sonner le glas de l'activité du Casino. Ce dernier est détruit dès le premiers bombardements.

La vie à la plage de Calais (1880-1939)

La plage doit beaucoup au casino

Une scène de la vie à la plage de Calais.

Depuis quelques semaines la plage de Calais est le sujet de la page histoire. Léger retour en arrière sur une époque qui a vu l'arrivée des chalets sur le sable

Quels points communs entre la plage du début du siècle et celle d'aujourd'hui ? Mise à part la présence de la mer et de son éternelle brise, du sable et navires passant au large, pas grand chose.

A l'époque, pas de bermudas, ni de planches à voile, ou encore de maillots de bain deux pièces. Mais alors à quoi pouvait bien ressembler la plage calaisienne et ses hôtes ?
La plage de Calais doit beaucoup à la construction du nouveau casino d'Achille Bresson. Construit sur la digue-promenade, il va véritablement lancer la mode des chalets, des tentes de bain... 

L'essor des chalets en bois et en toile 
D'abord fixés sur la digue, les premiers chalets gagnent rapidement la plage. Très vite, ils se décuplent et s'organisent sur deux rangées. A ces chalets fixes s'ajoutent les chalets mobiles tirés par des chevaux et les tentes de bain.
Les premiers chalets ont une forme plutôt atypique avec balcons, terrasses et toits pointus. Ils sont assez confortables et sont le plus souvent, dressés sur pilotis. Jean-Pierre Pruvot avance le nombre de cinq-cent pièces sur la plage à la veille de la Seconde Guerre Mondiale. A ces chalets fixes s'ajoutent les chalets mobiles, véritables voitures-baignoirs tous numérotées et tractées au plus près du flot par des chevaux qu'il fallait louer. Ces bâtisses roulantes permettaient aux baigneurs de se mettre à l'eau sans avoir à s'exhiber sur le sable. Enfin d'autres structures sont louées par les plagistes, les tentes en toile rayée tournant le dos au vent.
Destinés aux Calaisiens plutôt fortunés, les chalets ne sont malheureusement pas accessibles aux classes populaires. Et c'est ainsi qu'Achille Bresson se met à organiser des bains populaires pour les plus défavorisés en installant une vaste tente avec gardien où moyennant 20 centimes au lieu d'un franc pour les cabines individuelles, les moins riches pouvaient se changer et se sécher à l'abri des regards indiscrets.

Des plagistes très habillés 
Les premiers chalets ont permis aux plagistes de profiter de la plage en tout discrétion. Point d'exhibition corporelle en ce début de XXe  siècle.
Si aujourd'hui la mode est à la beauté du corps -muscles saillants pour les hommes, ventre plat pour les femmes, sous couvert d'un bronzage uniforme rien de tel à l'époque. La mode était à la culotte intégrale pour les hommes et de préférence, rayée. Les femmes étaient toutes aussi couvertes, avec pantalons bouffants, vareuses et légers décolletés en dentelle. Personne ne cherchait le bronzage, l'objectif recherché était de cacher le plus possible le corps, pour ne rien dévoiler. Il n'était pas rare de voir des familles entières se rendre à la plage tout en conservant la veste ou le gilet et se protégeant du soleil par une ombrelle.

Les activités de la plage 
Jusqu'en 1936 et l'instauration des premiers congés payés, la plage n'était prise d'assaut que les dimanches. Sur l'eau aucune planche à voile, ni surf à signaler. Sur le sable, la mode était, en ce début de siècle, aux traditionnels châteaux de sable et au creusement de digues pour les enfants, à la recherche de crevettes aux abords de l'unique épave de la plage et aux balades à dos d'ânes. A l'époque, il existait au large du Casino, une épave qui ne se découvrait qu'à marée basse. Elle était inévitablement prise d'assaut par les enfants qui espéraient tous y dénicher les quelques crevettes et autres crabes prisonniers de la marée. D'autres encore s'adonnaient au creusement de digues et de trous mais pour l'occasion rien n'a changé. Enfin, M.Sergeant proposait un tour de plage sur le dos de ses ânes faisant ainsi le bonheur des petits et des grands.

Et les chalets reviennent...

Scène de vie dans les années 60, au fond, les nombreux marchands de glace. 

Dernier volet aujourd'hui retraçant l'histoire de la plage de Calais, de la fin de la Première Guerre mondiale à la fin des années soixante. Une plage qui prend petit à petit la forme que l'on connaît actuellement

Si au cours de la Première Guerre mondiale, les touristes anglais délaissent quelque peu la plage, les Calaisiens eux, continuent de la solliciter.

Il faut seulement attendre la fin du conflit pour que de nouveaux aménagements, comme la construction d'un court de tennis à proximité du nouveau casino, revoient le jour.
Brutalement interrompue par un conflit que personne à l'époque ne pensait voir durer quatre ans, la saison d'été 1914 a vu fleurir aux abords de la plage des dizaines d'affiches de mobilisation. Dès le 3 août 1914 au petit matin, les premiers torpilleurs de la base navale de Calais, l'Escopette et le Durandal, suivis par la flotille des sous-marins sont de sortie pour une surveillance du Détroit. Très vite la guerre se met à hanter les esprits. A 7h55, le Frieda Mahn, navire allemand est intercepté au large de Calais, mais la guerre n'étant pas encore déclarée, le trois-mâts est relâché. A 18h45, la guerre devenait officielle mais l'embarcation était déjà bien loin... D'un point de vue touristique, peu de choses sur cette période. Aucune interdiction n'est faite aux civils quant à l'accès de la plage. Cette dernière reste entièrement libre. Par ailleurs, les travaux de Georges Wiart indiquent aucune destruction, aucun chalet n'a été détruit par les bombardements aériens parce qu'en réalité peu de bombes sont tombées sur la plage de Calais. En revanche de nombreuses mines dérivantes s'y sont échouées occasionnant quelques belles frayeurs aux badauds.

L'entre-deux guerres et le retour de la prospérité 
Le calme revenu, les touristes étrangers affluent de nouveau sur le sable calaisien. Dès la fin de l'année 1918, Achille Bresson, concessionnaire du Casino reprend les travaux mis en veille durant ces quatre années de conflit. La municipalité se joint même à lui, essayant de développer le caractère balnéaire de la cité des Six-bourgeois. Charles Morieux, Hans Apeness et Léon Vincent s'y affèrent mais sans succès. Il faudra attendre 1968 pour voir d'importants changements.
Le Casino se modernise. La terrasse de café se prolonge sur toute la longueur des bâtiments et dans la salle de jeux, les parties de boules apparaissent. La salle de spectacle baptisée le Lido permet d'organiser de nombreux spectacles, concerts et conférences. C'est d'ailleurs dans cette salle que le peintre et écrivain calaisien Georges Andrique reçoit en 1937, la Rose d'or pour récompense.
Sur le bord de mer, des chalets commerciaux remplacent ou viennent compléter les chalets privés. Sur l'avenue de la plage, un square est aménagé contre les murs du fort Risban où est inaugurée une stèle en l'honneur de l'aviateur calaisien Gilbert Brazy. Petit à petit les chalets calaisiens rejoignent Blériot-Plage sans qu'aucune digue ne permette leur accès. Et c'est à cet égard que le fermier de la plage fait élaborer un chemin que l'on appelait jadis "les planches". La plage vit tranquillement jusque l'été 1939.
Une fois de plus, la mobilisation vient interrompre les vacances d'été et pour six années cette fois. Au terme de cette période, plus rien de debout ou presque au-delà du parc Saint-Pierre. La plage, le port, les habitations, tout est rasé. En mai 1940, le port et la plage de Calais sont rayés de la carte par les Allemands, le reste suit dans la foulée. Pendant cinq ans, le nord de Calais est interdit aux civils. Seuls quelques personnes autorisées par la Kommandantur peuvent y pénétrer. A la libération, c'est le chaos, il ne reste plus rien hormis les énormes blockhaus du front de mer.

« Résurrection » ou « désolation » ?

L'année 1946 redonne espoir aux amoureux de la plage. L'heure est à la reconstruction et très vite la plage renaît. Monsieur Barrez fait reconstruire la brasserie de la digue (le Petit Casino détruit par une tempête en 1987) et quelques commerçants viennent s'installer sur l'ancien rond-point. Les premiers chalets font timidement leur apparition, on en dénombre 70 en 1949. Trois ans plus tard, Gaston Berthe maire de Calais, fait voter au conseil municipal, la construction d'une digue pour relier Calais à Blériot-Plage. Celle-ci porte toujours son nom. Enfin, la plage de Calais obtient la physionomie que nous lui connaissons aujourd'hui, vers la fin des années soixante. L'urbanisation du front de mer commence avec d'abord, la construction de l'immeuble Rodin puis celle des maisons de la digue Gaston Berthe. Petit à petit, les friteries, les boulangeries et les dunes de sable périclitent au profit des promoteurs immobiliers et autres parkings goudronnés.
Ainsi s'achève cette rétrospective consacrée à l'histoire de la plage de Calais. Pour plus d'informations, voir les ouvrages de Jean-Pierre Pruvot disponibles au Salon Leroy, 2 rue de la paix.
29 septembre 2012

Lens - Nivault

  • A. NIVAULT - Lens
  • Adresse : 16 Rue Victor Hugo / 13 Rue la Gare
  • Spécialité pour enfants - Se déplace à Domicile

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15 septembre 2012

Berck Sur Mer - Van Blitz

  • Salomon Emmanuel VAN BLITZ - Né le 3 mars 1848 - Utrech, Pays Bas 
  • Enseigne : Photographie d' Art
  • Date début d'activité : 1887 
  • Adresse : 4 Rue Carnot à Berck - salon de pose dans le jardin / Rue Rothschild
  • Adresse : 37 Rue de Passy à Paris
  • Editeur de Cartes postales 
  • Marié le 26 octobre 1876, Paris 4ème, avec Adrienne ROTHSCHILD décédée le 14 juillet 1881
  • Marié le 27 décembre 1886, Berck, avec Marie BERRY

nom de scène de Madeleine Van Blitz - actrice française.

Née le 4 octobre 1887 à Berck (Pas-de-Calais) - Décédée le 18 janvier 1965 à Paris à l'âge de 77 ans -Lieu d'inhumation: Berck (Pas-de-Calais)

Elle étudie au Conservatoire de Nice et fait ses débuts au théatre à Marseille en 1912. C'est en 1930 qu'elle entame une carrière au cinéma. Elle impose rapidement, à la scène comme à l'écran, sa silhouette plantureuse et ses joues rebondies de brave femme au cœur d'or, qui garde son franc-parler.
En 30 ans, elle jouera dans près de 80 films en France et en Allemagne.
Son jeu subtil, même si ses emplois ne favorisent pas les nuances, l'amènent chez Marcel Carné (Les Portes de la nuit, Le jour se lève), Max Ophüls, Maurice Tourneur, Georg Wilhelm Pabst (Don Quichotte, 1933, où elle est mémorable dans le rôle de la femme de Sancho Pança)

En 1962, elle livre ses souvenirs dans Cinquante ans sur les planches, avec une préface d'Edwige Feuillère.

 

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