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L' Atelier des photographes du XIX siecle
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30 juin 2012

Lille - Galeries Lilloises

  • GALERIES LILLOISES
  • Début Activité : 1880
  • Adresse : 45/47/49 Rue Nationale
  • Enseigne : Union Photographique Francaise
  • Maison Mère : 60 Rue du Chateau d' Eau puis Villa Colombier au 20 Rue Boulitte vers 1902 
  • Succursale à Neuilly : 58 Bis Avenue de Neuilly
  • Médaille d' Argent Exposition Universelle Paris 1900

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30 juin 2012

Saint Omer - Becquereau

  • BECQUEREAU Charles Jean Baptiste
  • Début Activité : 1883
  • Adresse : 42 Rue de Valbelle / 101 Rue Carnot
  • Associé à Belle (a un moment) successeur de Belle

La rue de Valbelle fut longtemps appelée rue du Mantel-de-Vair (manteau de fourrure) car elle était devenue le berceau de la corporation des fourreurs.

De la rue Allent à la rue Carnot, elle a porté tour à tour les noms de Mollinstraet au XIIIe siècle, de la Belle-Cloche, de la Tasse, du Chevalier-rouge au XVIIIe siècle, noms de diverses d'enseignes, rue de Mirabeau en 1792 et enfin celui des Six-fontaines.

En 1878 plusieurs maisons furent détruites afin d'élargir une partie de la rue. Le premier photographe de Saint-Omer, Charles Becquereau, avait son magasin au numéro 42. Il exposa dès 1880 les premières photographies de Saint-Omer dans son magasin. Ce fut ensuite Edmond Surelle qui s'y installa.

Dès le début du XXe siècle, celui-ci édita les premières cartes postales de Saint-Omer.

Le décès suspect de Me Surelle le 14 juillet 1909 et la fuite du photographe en Belgique donna lieu à son arrestation quelques jours plus tard. Quelque temps après, Paul Surelle succéda à son père et reprit le magasin de photographie.

Saint Omer, le 14 Aout 1909, Mr Surelle, le photographe de la rue de Valbelle, à Saint Omer, qui avait été arreté à Ypres, à la suite du décès mysterieux de sa femme trouvée morte à la suite de manoeuvres abortives, est rentré à Saint omer ce matin , une ordonnance de Non-Lieu ayant été rendu en sa faveur. (article de presse).  

 

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Actualité Saint Omer

En 1892, Becquereau immortalise les fortifications avant leur démantèlement

PUBLIÉ LE 20/11/2011 

À la fin du XIXe siècle, entre le bastion Saint-Venant, appelé à l'origine le bastion des Bouchers, et la porte Sainte-Croix

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se trouvait au milieu de la courtine une saillie appelée Jambon. Le bastion du Jambon (au centre de la photo) était de petite taille et ses faces ne mesuraient que six toises. Il était seulement prévu pour une vingtaine d'hommes. En dessous de sa plateforme en grès, se trouvait une casemate avec ses quatre pièces de canon. C'est à cet endroit que se situait le stand militaire pour le tir au fusil d'un côté, et le tir au revolver de l'autre, sur une butte placée dans l'encoignure du Jambon et dans celle du bastion Saint-Venant. Les tirs pouvaient se dérouler en toute sécurité pour la population car la hauteur des remparts à cet endroit était très grande. Au premier plan de cette photo on aperçoit les baraques et un hangar pour les militaires employés aux travaux de tirs. Sur la gauche une passerelle donne sur un petit kiosque au toit de chaume, elle permettait l'accès au stand de tir côté glacis par un chemin sinueux qui bordait les ouvrages extérieurs. Par l'intérieur de la ville, on y arrivait par des poternes et des escaliers encore visibles aujourd'hui. On peut apercevoir vers le fond, le premier château d'eau de la ville, derrière le bosquet d'arbres sur le bastion Saint-Venant. À droite sur la photo, on remarque également le belvédère de l'école de l'enclos Notre-Dame, accolé à une grande maison qui était à cette époque une école libre de jeunes filles tenue par les soeurs de la Sainte-Union. En bas et à gauche, le cours d'eau alimenté par les eaux des sources était appelé le fossé de ville, il longe les remparts pour rejoindre la porte de Calais. En temps de guerre, cette douve était comblée d'eau et le fossé avait alors pour rives, d'un côté le rempart et ses hautes murailles, et de l'autre la contrescarpe abrupte et accidentée. Cette photo de Becquereau a certainement été prise durant l'hiver de 1892-1893, peu de temps avant que ne débute le démantèlement des remparts décidé en mai 1889 par la municipalité en place. •

La Voix du Nord


 

17 juin 2012

Grignan - Nel Joseph

  • Joseph NEL ( Né le 19 octobre 1860 - La Fare-en-Champsaur dans les Hautes Alpes)
  • Marié à Grignan avec Marie Léontine PASTOURET
  • Profession : Horloger - Photographe
  • Récompense : 2 médailles et 5 Diplomes d' honneur Paris

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10 juin 2012

Une expo TALY à la Chapelle des Gillons

 Du 9 Juin au 1 Juillet 2012 à la Chapelle des Gillons (www.gillons.fr) à Chatillon Saint Jean (Drome), venez nombreux à l' Eposition sur LOUIS TALY (photographe de Romans Sur Isère)  

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Max et Myriam TALY , les Descendants de Louis sont présents pour partager la passion de la photographie et passer avec vous un merveilleux moment.

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